Vous savez que parmi les sujets phares de Ca Se Saurait figure en bonne place la pilule contraceptive : cette révolution contraceptive extraordinaire, qui génère malheureusement chez de nombreuses femmes des effets secondaires.
Ma consœur journaliste Pryska Ducoeurjoly y revient dans un article détaillé que je vous invite à lire…
Elle y aborde, entre autres :
- l’influence des lobbys pharmaceutiques dans la propagation et l’instauration de la pilule comme premier moyen de contraception au monde
- la manne financière que tout cela représente
- le rôle des médecins dans tout cela
- le fait que l’on alerte sur les dangers de la prise de contraceptifs hormonaux depuis les années soixante-dix…
- les préjugés entourant les méthodes naturelles et écologiques de contraception comme la symptothermie qui ne sont pas aussi peu fiables qu’on voudrait le faire croire
Tout un paragraphe revient sur l’expérience dont je vous fais part sur Ca Se Saurait. Des bénéfices immenses que j’ai eus à arrêter la pilule contraceptive que j’ai prise durant dix ans. Elle évoque aussi mon livre à paraître J’arrête la pilule qu’elle envisage déjà comme “un best-seller potentiel” et que vous êtes effectivement nombreuses à attendre au vu des dizaines de mails que vous m’envoyez chaque mois.
Bref, allez lire La pilule : libération ou prison ? de Pryska Ducoeurjoly. De mon côté je travaille dur à décortiquer le vrai du faux sur ce sujet particulièrement sensible et vous pourrez lire les résultats de mon enquête dès septembre 2017 aux éditions Les Liens qui Libèrent dans J’arrête la pilule.
Merci à vous toutes pour les témoignages nombreux et fournis que vous publiez sous mes quatre articles relatifs à l’arrêt de la pilule contraceptive. Ils me sont précieux pour mieux défricher ce sujet et ils m’aident notamment dans la rédaction de cet ouvrage qui vous apportera des solutions concrètes pour comprendre :
- En quoi la pilule peut-être néfaste pour la santé
- Comment vous pouvez arrêter votre pilule si vous le souhaitez (sans que cela soit trop brutal pour votre corps)
- … et enfin quel moyen de contraception vous avez à disposition pour la remplacer
En savoir plus sur la pilule, ses effets sur le corps ou l’environnement en lisant mon enquête J’arrête la pilule, fruit d’une année d’investigation :
bonjour, je découvre votre blog. Bravo pour votre décision et votre liberté de parole. A 41 ans, j’ai arrêté la pilule il y a un peu plus d’un an. Je l’aurai prise en tout 12 ans dans ma vie. Mon parcours et ma prise de conscience sont différents, voici mon article : http://ptisablog.canalblog.com/archives/2017/07/06/35446027.html
Bonjour Ptisa et merci pour ce gentil commentaire, votre article est très fort, j’ai beaucoup aimé le lire, il a été écrit avec les tripes ! Vous risquez d’aimer mon livre ^^
salut! voici mon témoignage s’il intéresse quelqu’une !
A l’âge de 17 ans, n’ayant ni règles ni seins j’ai pris la pilule dans le but de devenir une “femme”, et j’ai pris quelque chose comme 7 kilos en moins de deux semaines, sans manger plus. (j’arrive à peine à y croire quand j’y repense) Depuis lors, j’ai développé une sorte de phobie pour les hormones et j’ai toujours refusé de prendre la pilule.
le premier rapport que j’ai eu sans préservatif de ma vie était avec mon copain de l’époque; bam je suis tombée enceinte – les mois qui ont suivi cet événement, nous avons pratiqué le retrait (et il n’y a pas eu d’autre accident)
suite à cela, j’ai choisi de prendre le stérilet au cuivre – résultat après avoir très bien fonctionné (mais tout en m’apportant les premières douleurs prémenstruelles de ma vie à un point où je me tordais de douleurs plusieurs jours par mois, en plus de perdre énormément de sang; j’ai aussi commencé à subir – et faire subir- des sautes d’humeur dramatiques. Avant la pose de mon stérilet, j’étais toujours surprise d’avoir mes règles: elles arrivaient sans crier gare, sans douleur, et s’achevaient au bout de deux jours ou trois), il s’est infecté au bout de deux ans et pendant des mois j’ai connu l’enfer!
odeurs vaginales nauséabondes (je passe les détails) et urine orange, douleurs prémenstruelles terribles pendant la moitié du mois, libido en berne (et sécheresse vaginale) résultat: un gynéco me l’a enlevé sur le champ dès qu’il a vu les conséquences à l’échographie: j’avais une vraie infection que j’ai dû traiter aux antibiotiques très très forts, et mon stérilet était tombé: bref, je n’étais plus protégée du tout (j’ai eu de la chance de ne pas tomber enceinte)
toi qui as un stérilet dorénavant, fais donc très attention aux premiers signes anormaux!!!
maintenant à 24 ans je viens de commencer la pilule (pas le choix, je suis en couple depuis un an) et je me suis rarement trouvée aussi laide de toute ma vie – mon visage est brun de taches, mes cernes sont violettes, mes pores dilatés et mes poils incarnés sont revenus alors que j’avais traité le problème au laser – sans parler évidemment de mes jambes flasques et potelées. j’ai déjà des symptômes ahurissants au bout de quelque chose comme 5 jours (et ce n’est pas dans ma tête: j’avais naïvement cru le gynéco qui m’avait dit que ma peau allait devenir nickel dans la foulée et que si je mangeais moins, je ne grossirais pas. mon oeil!)
bref beaucoup de blabla pour dire que pour moi, seul le retrait semble fonctionner, bien que je mesure les risques (et la frustration pour ces messieurs) que ce soit stérilet au cuivre ou hormones type pilule, c’est l’enfer pour moi. le stérilet dans un petit utérus (de femme sans enfant) est dangereux et je m’en convaincs enfin (après m’être moquée de ces vieux toubibs que je croyais rétrogrades)
je ne sais pas trop quoi faire maintenant mais une chose est sûre: j’arrête la pilule dès aujourd’hui.
Bonne journée à toi!
Bonjour “Anonyme”,
Merci pour ton témoignage, c’est toujours intéressant. Je n’ai plus mon stérilet depuis près d’un an désormais car après deux années de douleurs je l’ai enlevé. Bref, je ne l’ai pas supporté. Je fonctionne désormais personnellement avec la symptothermie (connaissance du cycle en fait) et méthodes barrières en période fertile (préservatifs et diaphragme) et ça me convient parfaitement (ça permet de n’avoir à se protéger que 10 jours par mois quand il y a risque et le reste du temps tu peux faire ce que tu veux en toute sécurité). Je détaillerai ces méthodes dans mon livre à paraître si cela t’intéresse (cf. http://www.ca-se-saurait.fr/jarrete-la-pilule/)
Bonjour, j’ai reponDu au sondage. J’ai arrete la pilule il y a une quinzaine d’annees apres l’avoir prise pendant plus de 10 ans. On parle beaucoup de libido retrouvée mais très peu du pic de libido élevé pendant l’ovulation, que j’ai découvert après son arrêt, et qui pour moi est un moment fort du cycle de la vie d’une femme, et je me suis sentie amputée sans cette sensation quand j’ai essayé de reprendre la pilule. Pour moi c’est réellement une castration chimique dont on ne parlait pas du tout il y a dix ans. Je suis heureuse de découvrir que cela devient un sujet d’actualité! J’ai hate de decouvrir le livre.
Merci Babaomiel et à très vite alors (on parlera justement exactement de cet aspect dès le chapitre I qui explique le fonctionnement de la pilule).
Bonjour,
Déjà merci pour ce site extrêmement intéressant et qui fait beaucoup de bien. Je veux arrêter la pilule après 11 ans de diane 35, et j’ai vraiment hâte que votre livre sorte. Avez-vOus une Date de sortie? Peut-on le précommander quelque part?
Bonjour Justine et merci pour votre intérêt, le livre sortira chez un grand éditeur que je ne cite pas pour des raisons de discrétion éditoriales mais vous pourrez le trouver partout, chez votre libraire ainsi que sur Internet donc vous n’aurez aucun souci pour vous le procurer. Il sortira après la rentrée littéraire de 2017 🙂
Je travaille à temps plein dessus depuis le mois de novembre et jusqu’en mai et, pour être en plein dedans, je peux vous dire que ça va être passionnant ! La pré-commande sera certainement disponible cet été, je vous invite à vous abonner à ma newsletter pour être prévenue le jour J 🙂 (ce sont uniquement les derniers articles qui vous sont envoyés) (pour ce faire, rendez-vous tout en bas de cette page, sélectionnez “Humeurs” ou “Newsletter tous articles”)
Merci pour la lecture de cet article très interessant. Je n’ai pris la pilule “que” deux ans. Leeloo, une microdosée qui m’a pourtant gênée : les seins qui deviennent des enclumes que je ne pouvais plus ne serait-ce qu’effleurer, des migraines et une baisse de libido. Je n’avais pas eu l’impression de grossir, pourtant, dès les premiers jours d’arret, j’ai fondu, pour reprendre mon “poids d’adolescente” qui est en fait mon poids de forme normal.
Depuis (ca fait trois ans), j’apprends seule (avec mon mari) une méthode de contraception naturelle. J’ai pris seule l’initiative de calculer et de gérer mon cycle grâce à mes observations de glaire et ça marche très très bien … Aucun raté.
Quand j’en parle, on hurle au scandale. “Tu es folle”, “inconsciente”, “tu préfères une IVG à la pilule !” et j’en passe … Ma sage-femme a insisté pour me prescrire un sterilet au cuivre, mais la pose a echoué. Comme quoi, mon corps n’en voulait pas !
Si votre livre peut bousculer les consciences, j’ai vraiment hâte qu’il sorte ! Que les femmes se rendent compte qu’on leur a menti .. EN partie. Et qu’elles le paient très cher !
Salut Rozie,
Oui ce livre, comme tout ce que je fais, ne cherche pas à savoir ce qui est politiquement correct mais je pars d’un constat : de plus en plus de femmes arrêtent la pilule et s’en plaignent pour des raisons allant d’effets secondaire forts à des préoccupations purement écologiques. Le but est de leur répondre, faire le point, leur apporter des solutions pour trouver autre chose d’aussi efficace et puis lancer un peu le débat public aussi 🙂
Merci pour ta disponibilité.
Je ne suis pas franchement ravie de me dire que je suis partie pour au moins 3 à 6 mois de chute de cheveux 😀 (dans le meilleur des cas, le pire des cas étant que cela continue à cause de la composition d’Optimizette). J’ai eu une chute de cheveux de près d’1 an qui a débuté fin 2014, sans avoir rien changé dans mon mode de vie, je pense que c’était une mutation classique de mes cheveux car depuis ils sont un petit peu plus épais et beaux. Je n’ai rien remarqué concernant le volume, la perte devait être compensée immédiatement… mais quel carnage dans la douche. Ca ne m’était jamais arrivé. Si je dois les perdre à nouveau, merci bien !
Ah les joies d’être une femme…
Parfois tout cela me désespère. J’ai 25 ans, en couple depuis 7 ans et pas pressée d’avoir d’enfants. Mais se prendre autant la tête et avaler autant de cochonneries c’est fatiguant.
Encore une fois, vivement ton livre !
Oui c’est franchement pénible mais il faut se dire que c’est un moment pénible mais qu’une fois que ce sera fini, ce sera fini pour de bon ! Lors des grossesses, changements de saison ou suite à des carences alimentaires ça pourra de nouveau arriver mais sinon tes cheveux se porteront comme ils se doivent, naturellement !
Bonjour Sabrina,
Après réflexion ces 3 derniers jours, je pense ne pas reprendre Jasminelle. C’est vraiment une petite bombe à retardement.
Je me donne encore 2 mois (voire 3) pour voir si je supporte ma nouvelle pilule progestative, et autrement eh bien j’appliquerai ta méthode via ton livre pour me sevrer et arrêter les hormones. On verra si je me décide vers le stérilet ou les préservatifs (en plus d’observer mes cycles pour amadouer la symptothermie.). Je me suis profondément désemparée actuellement.
Mon seul souhait pour le moment est de ne plus avoir les cheveux qui tombent. La peau, les boutons, je pense pouvoir les gérer si jamais les désagréments arrivent.
Je te jure que je ne suis pourtant pas très superficielle mais ce problème de cheveux me rend assez dingue ^^
Bonne journée à toi
T’inquiète, nous te comprenons toutes ici et tu n’as pas à avoir honte, tu ne veux pas souffrir, c’est tout 🙂
Concernant Jasminelle je t’invite à aller regarder ce documentaire édifiant de la RTBF sur ce que contient cette pilule qui la rend plus dangereuse que d’autres et t’invite quand même à t’en faire prescrire une autre en attendant de prendre ta décision.
Grosses bises.
NEWS : la chute de cheveux s’est arretée 🙂 ils sont moins gras, mais je n’ai pas encore retrouvé mon cycle de lavage tous les 4j. je suis a 3j. Qu’importe. je garde cette pilule pour l’instant, meme si mes cycles font un peu ce qu’ils veulent. Mais au moins je ne serai pas chauve 😀 ^^
maintenant que je me suis debarassee des oetrogenes, il ne me manque plus que la progesterone, Je me sens dans la bonne direction pour pouvoir arreter totalement à la sortie de ton livre. vivement !
Je suis en plein dedans chaque jour et je peux te dire que ça va être quelque chose ce livre.
Hâte, hâte ! A très vite 🙂
Oui je suis bien consciente de cela, le truc c’est que la pilule que l’on m’a prescrite en remplacement de Jasminelle, “Optimizette”, a des effets négatifs sur les cheveux, étant composée de progestérone uniquement. La chute peut donc être due soit à l’arrêt de Jasminelle, soit au dosage d’Optimizette si on a un terrain androgène… Je ne saurai pas faire la différence.
Combien de temps as-tu pu observer une chute de cheveux ? Est-ce que ça a duré au dela de 3 mois ?
Oui ça a duré un bout de temps, beaucoup de cheveux sont tombés les trois premiers mois puis ça s’est calmé doucement jusqu’au 6ème mois mais la repousse se faisait en même temps.
Clairement j’ai vu beaucoup de points positifs à passer au naturel aussi, je ne ferai jamais demi tour 🙂
Juste ce souci de perte de cheveux là… m’énerve pas mal ! Encore ce matin dans la douche…
Ca me donne presque envie de reprendre ma Jasminelle directement à la fin de ma plaquette (alors que je suis censée la tester au moins 3 mois).
BREF ! Je vais réfléchir…
Hâte de te lire à nouveau, et surtout dans ton prochain ouvrage 🙂
Elie, si tu as lu mon article sur les effets de l’arrêt de la pilule tu devrais savoir que la chute de cheveux est tout à fait normale lors de l’arrêt de la pilule (particulièrement la tienne, je le sais je prenais Jasmine qui est similaire et ces pilules contiennent malheureusement certains produits qui font que tes cheveux tombent quand tu arrêtant, c’est normal, ça va passer quand tu auras passé le cap et retrouvé ton climat hormonal normal). Perso j’ai perdu beaucoup de cheveux à l’arrêt mais j’en ai retrouvé tellement derrière que je le referai sans souci ! Avec ces histoires de pilule il faut être patiente sinon tu arrêtes pour rien et tu ne sauras jamais ce qui t’attend.
Bonjour,
Je me demandais si tu prenais une contraception ? J’ai bien suivi ton arrêt de pilule et également de stérile cuivre. Alors aujourd’hui, qu’as-tu choisi ?
J’ai changé de pilule en passant de Jasminelle (4e génération, mini dosée oestrogènes et progestérone) à Optimizette (progesterone uniquement), car la mention “si vous avez deja eu des migraines ophtalmiques ne prenez PAS Jasminelle” m’a fait bondir. Cela augmenterait le risque d’AVC. Je la prenais depuis 10 ans sans AUCUN désagrément, mais depuis 4 ans je fais 2 fois par an des migraines opthalmiques. Dans le doute j’ai préféré changer. Bonjour les règles interminables, la chute de cheveux, après 1 mois d’utilisation… J’attends encore 3 mois et je vois si je retourne vers Jasminelle ou pas… Je sais que ce n’est pas un bon choix mais au final je me sens tout à fait bien avec cette pilule…
Salut Elie,
Eh bien face au fait que je ne veuille plus d’hormones et que le stérilet cuivre ait échoué je fonctionne depuis juin avec la symptothermie (dont parle Pryska dans l’article, Pryska qui fait totalement partie de ce mouvement Sympto, moi je teste mais je suis totalement indépendante, je ne “roule” pour personne et je n’ai aucun avantage à vous parler d’un moyen de contraception plutôt que d’un autre).
Je précise cela parce que mes lectrices savent que je dis toute la vérité sur ce que je teste sans conflits d’intérêts, ni idéologie et c’est important de le préciser.
Je teste donc la symptothermie depuis plusieurs mois et cela me convient parfaitement pour l’instant. Il suffit de prendre sa température 15 jours /mois et d’observer son cycle avec cet indice couplé à d’autres indices (couleur et texture de ce que tu “trouves dans ta culotte” + auto palpation du col de l’utérus si tu le souhaites et cela te dit quand tu ovules et donc quand tu dois soit te protéger soit t’abstenir de rapports si tu ne souhaites pas tomber enceinte). Donc ça implique encore, en plus d’apprendre la méthode, le préservatif ou le diaphragme en période de risque de grossesse (période qui tombe à 10 jours /mois quand tu connais bien tes cycles et la méthode).
J’en parlerai dans mon livre J’arrête la pilule qui paraîtra chez un grand éditeur en 2017. J’ai testé quasiment toutes les méthodes de contraceptions et je vous dirai aussi si écologiquement la pilule est dangereuse pour l’environnement (rejet d’hormones via les eaux usées, etc.), bref ce sera un grand livre sans jugement sur la pilule, ses dangers (réels ou supposés, les mythes, etc.) et par quoi la remplacer si on veut l’arrêter.
On parlera aussi de toutes celles à qui la pilule convient évidemment donc tant mieux si ce moyen de contraception te convient 🙂 C’est souvent en l’arrêtant quelques mois que les femmes se rendent compte si oui ou non certains petits désagréments dus quotidien étaient du à la pilule… ou pas ^^
Merci pour ta réponse.
Il est dans ma nature de privilégier que ce qu’il y a de “mieux” pour ma santé. Toutefois je trouve que c’est parfois très difficile, lorsqu’on entame un long chemin pour des résultats souvent moindres. Par exemple pour les cheveux, devoir se passer de sèche-cheveux, lisseur, shampoings volumateurs bourrés de silicone car ces produits sont nocifs pour nos cheveux, fait que je me retrouve avec une tignasse plate, pas très volumineuse, mais en bonne santé. Alors que ma copine utilisant les Garnier les plus cracras, est toujours bien coiffée. Ce n’est qu’un petit exemple superficiel j’en conviens ^^ et je continue de garder ma routine naturelle pour mon quotidien.
La pilule est une des seules choses qui me reste de “nocif”. Mais, ne ressentant pas d’effets secondaires, ai-je bien raison de chercher la petite bête et aller m’embêter avec une autre pilule certes moins nocive, mais qui au final rend mes cheveux gras, me les fait perdre également, et peut-être me donnera des kilos en plus et des boutons plein la figure (surprise, je le saurai d’ici quelques mois…). Je ne sais pas. Je me remets un peu en question… Si cette pilule me va, peut être devrais-je la continuer quand même… Je suis perdue ^^
En tout cas oui je guette la sortie de ton livre avec impatience car de toute façon, si je pouvais trouver une solution à tout ceci ce serait avec plaisir !
Oui, rassure-toi tu décris exactement ce que nous sommes très nombreuses à ressentir.
Pour ce qui est des cheveux, mon parcours apporte une réponse qui est à l’opposé de ta réflexion d’aujourd’hui. Il y a certes parfois quelques changements au passage au naturel mais c’est juste le temps de trouver ce qui te convient, comme pour tout. Perso mes cheveux sont bien plus beaux depuis le naturel (forts, très brillants, plus volumineux et aucune fourche alors que je vais au coiffeur une fois par an en moyenne) et en plus j’ai le plaisir de savoir que je ne pollue ni la nature ni, mon corps à chaque douche 🙂
Depuis que j’ai arrêté la pilule mes cheveux ont poussés en masse et sont donc bien plus volumineux qu’ils ne l’étaient quand j’étais sous pilule, malgré les shampoings au silicone. Mais c’est mon parcours, tu ne pourras savoir si ce sera ton cas qu’en essayant, pas de méthode miracle !
Tout ça est donc une démarche également écologique. Je comprends que l’on préfère rester non écolo et “belle” et que l’on puisse croire qu’en se mettant au naturel on devienne moins belle mais c’est souvent la réflexion de celles qui n’ont justement pas franchi le pas. Donc je t’invite à tester et à voir ce qu’il en est pour toi.
Pour la pilule malheureusement c’est la même chose, ce n’est qu’en l’arrêtant que des milliers de femmes se sont rendues compte (moi compris) des petits effets quotidiens qu’elle avait), si on ne l’avait pas arrêté on ne l’aurait jamais deviné. J’avais les mêmes réflexions que toi avant. Et oui, il faut le dire, certaines vont payer très cher le fait de vouloir arrêter la pilule après des années de prise (cela dépend de ta pilule, de ton corps, etc.) et il faudra alors être forte pour passer ce mauvais moment. Dans mon livre je compte bien parler de tout ça parce que je l’écris en me basant sur vos témoignages, je ne veux pas juger, je vous poserai les faits vous en ferez ensuite ce que vous voulez. Je sais à quel point c’est difficile donc j’en ferai vraiment un livre qui vous parle, pas un réquisitoire anti-pilule stérile ou un livre déconnecté de la réalité.
Vivement que tout ça soit publié alors !
La pilule est une calamité pour les femmes. La liberté ne vaudra jamais ce prix.
Le rapport avec éjaculation pendant les 15 jours de fertilité a pour vocation naturelle la procréation.
On ne dompte pas la nature, on s’y soumet, s’y adapte.
S’il n’y a pas de désir d’enfant et néanmoins une envie légitime de tendresse et de plaisir, on adopte d’autres façons de s’unir.
C’est connu des sociétés spirituellement élevées qui n’ont pas ce genre de dilemmes entre sécurité et liberté/épanouissement réservés aux sociétés “immatures”.
Le temps viendra aussi pour ça, ces étapes de prise de conscience progressive sont nécessaire, d’où ton courageux travail de sensibilisation (parfois ingrat, mais tu as l’habitude !).
Ingrat comme tu dis ^^
Surtout que la majorité des gens avec qui j’en débat ou qui “prennent mal” mes articles (ceci dit je dis ça mais j’argumente tellement qu’il n’y en a pas qui viennent frontalement puisque ce que je dis est prouvé et tout simplement évident donc il n’y a rien à dire contre) mais bon, disons que la majorité de nos citoyens ne s’informent pas ou ne sont pas informés sur le sujet donc souvent ne comprennent pas de prime abord pourquoi je peux dire que la pilule est néfaste.
Mais bon, c’est mon boulot hein donc je le fais sans en attendre plus de reconnaissance autre que le simple goût de l’honnêteté et du travail bien fait. Je fais ma part avec énergie, le reste ne m’appartient pas, c’est à chacun d’agir en son âme et conscience.
Bonjour, je peux comprendre que la pilule ne convienne pas à certaines personnes, mais pour moi ça a été un vrai bonheur de la prendre et cela fait 32 ans que je la prend !! Puberté précoce à 8 ans et demi (ovaires et seins polykystiques) avec douleurs de règle à vouloir me mettre des coups de couteau dans le ventre et la poitrine, règles très abondantes et cela 15 jours par mois …. Je prends donc la pilule sans interruption depuis l’âge de 12 ans (avec essais d’autres contraceptions qui ne m’ont pas convenues puisque retour de l’inflammation des kystes à chaque cycle, hémorragie et douleurs atroces) et sans aucun souci pour tomber enceinte à l’arrêt de celle-ci, 4 mois pour le 1er, 3 mois pour la deuxième et 4 mois pour ma troisième que j’ai eu à 42 ans (j’en ai 44 actuellement). Je ne ressens pas les effets secondaires dont vous parlez. Je pense qu’il faut étudier chaque cas au coup par coup, chaque personne est différente et ce qui ne va pas à l’une peut parfaitement convenir à une autre… Après, je peux comprendre aussi votre satisfaction à l’arrêt de celle-ci si tous vos symptômes ont disparus mais je ne pense pas que la pilule soit une si mauvaise contraception …
Salut Chris,
Bien sûr il y a toujours des cas particuliers (qui n’enlèvent rien au malheur de la majorité) et le vôtre fait qu’en fait vous aviez un déséquilibre hormonal de base qui a trouvé sa solution dans le traitement hormonal que constitue la pilule, voilà la raison qui fait que votre cas n’est pas vraiment comparable à celui d’une femme au climat hormonal normal, apaisé (donc à la majorité). Mais merci d’avoir pris le temps de nous écrire, encore une fois, c’est une évidence, chacune fait ce qu’elle veut, nous ne sommes pas toutes pareilles mais quand l’ultra majorité des femmes dit subir des effets indésirables systématiques à la prise d’un traitement aussi courant et systématisé que la pilule cela ne peut être tu. Tout cela encore sans parler du volet écologique…
Votre cas est ultra minoritaire et pour vous la pilule a représenté une bénédiction puisque vous nécessitiez un traitement hormonal. Certaines femmes, minoritaires encore il semblerait, disent ne ressentir absolument aucun changement à la prise de la pilule mais combien vont découvrir à son arrêt qu’en fait ben si, la pilule avait des effets mais que, comme moi, elles ne l’avaient pas remarqué car cela s’était installé avec le temps… combien vont faire ce constat ? Combien encore ne sauront jamais que certains produits contenus dans leur pilule ont généré un cancer, une maladie chez elles (en plus d’avoir totalement ruiné leur flore intestinale par une prise longue durée) ?
Bref, les preuves sont sous nos yeux et dans nos ressentis tellement majoritaires qu’ils ne doivent plus être “minimisés” sous X ou Y prétextes. En plus du fait que, notre système de traitement des eaux actuel, rejetant encore près de la moitié de nos eaux sales directement dans la nature nous courrons droit à la catastrophe écologique. Personne n’en parle, il suffit pourtant d’aller regarder les rapports des observateurs des animaux d’eaux douces en France qui tirent tous la sonnette d’alarme depuis des années. Nous sommes en train de porter très gravement atteinte à notre environnement, ne serait-ce que pour cette raison la pilule devrait être remise en question. A moins que le projet de notre pays ou de l’humanité ne soit de rester sur Terre encore 50 années puis de se dire “bon ben voilà, on le savait mais on n’a pas voulu agir, maintenant TOUTES nos eaux sont totalement polluées, les animaux sont malades et leurs populations totalement féminisées par les œstrogènes rejetés par nos soins, bon ben les gars, que chacun se débrouille mais désolé c’est fichu, on a bousillé notre environnement, il ne se régénérera pas ! Bonne chance aux suivants!”.
Enfin bref, rien n’est facile, cela paraît injuste mais en fait il faut comprendre que nous ne pouvons agir en enfants capricieux et inconscients car cela n’implique pas que nous. C’est de notre futur collectif dont il s’agit. D’autres solutions existent alors pourquoi vouloir s’entêter à la faire prendre à la majorité des femmes, pourquoi la leur imposer sans leur proposer d’autres alternatives quelque chose de cher, polluant et qui en plus les fait souffrir d’effets secondaires importants ? La réponse est à chercher du côté de la crédulité des patients qui délèguent totalement leur santé aux mains des médecins sans chercher à s’informer par eux-mêmes et surtout du côté des profits engendrés par les labos pharmaceutiques chaque année.
Voilà, si ça ça ne suffit pas pour arrêter de systématiser la pilule à toutes les femmes, je ne vois pas ce qu’il faut de plus… Je n’ai jamais dit que la pilule ne pouvait pas convenir certains cas particuliers mais je préférerais justement qu’elle se cantonne à ces quelques cas plutôt que de détruire tout sur le passage de la majorité.
Coucou !
Je ne peux que t’encourager dans cette démarche dans laquelle je me sens moi aussi très impliquée. Après presque 10 ans de pilule aussi je l’ai arrêté et ai pu constater tout le mal qu’elle me faisait.
On me rit souvent au nez lorsque j’aborde ce sujet comme si j’étais une folle furieuse du naturel, en me disant qu’il n’existe pas de preuve scientifique avérée etc etc mais au fond celles qui l’ont vécu avec leur corps n’auront pas besoin de plus de preuves.
Petit détail qui me chagrine dans ton article, c’est que tu dis que l’on est fertile 15 jours par cycle, il me semble que c’est bien moins que ça d’après mes lectures sur le sujet des indices combinés.
Gros bisous !
Oui, encore une fois dans mon approche je dis ce que je pense et ai éprouvé dans mon corps comme de millions de femmes donc on ne va pas se taire juste parce que certains ne sont pas d’accord ça c’est sûr. Concernant les 15 jours ben c’est à peu près ça quand on débute la symptothermie avec de bonnes marges (c’est-à-dire 7 jours avant le premier jour possible d’une ovulation qui aurait lieu le plus précocement possible dans le cycle, 7 jours étant la durée de vie maximale avec marge d’un spermatozoïde, + la durée de l’ovulation (normalement très courte mais + une marge également de quelques jours derrière elle pour être sûre, ça s’affine ensuite après plusieurs cycles d’indices combinés et quand la femme prend confiance en ses observations et connaissances d’elle-même mais pour une efficacité contraceptive absolument sûre et fiable ça fait presque 15 jours du cycle en rapport protégé).
Je me base sur le manuel de la fondation symptotherm disponible ici en accès libre et que j’ai lu et relu puisque je pratique depuis juin.
Coucou,
je vous suis à 100 pour cent, je l’ai arrêtée il y a maintenant 7 ans.
Je l’avais arrêtée d’un coup, j’ai ” douillé” pendant 2-3 cycles ( migraines terribles notamment…) puis c’est rentré dans l’ordre.
Au début, ça a été top, le moral est remonté en flèche pendant au moins 2 mois. Mais ça n’a pas duré.
Mais je ne suis pas bon juge: j’ai un traitement à vie à cause d’une hypothyroïdie et j’ai été sous anxiolytiques pendant des années et je suis actuellement en sevrage de ces autres camisoles chimiques, avec tous les effets que cela entraîne, dur dur! Mais on s’accroche. Je me pose les mêmes questions par rapport au Levothyrox ( médicament pour remplacer les hormones thyroïdiennes).Est-ce que ce n’est pas ce truc qui fait que je me sens souvent plombée, déprimée, que mes cheveux sont de plus en plus fins et clairsemés? Les médecins disent que c’est un traitement à vie mais ma confiance en eux est carrément limitée…
Une dernière réflexion: quelle aubaine, pour ceux qui s’enrichissent avec la procréation médicalement assistée, que la fertilité soit constamment en baisse! Les traitements coûtent une fortune et les gens sont prêt à tout quand ils veulent absolument un enfant. Moi, je n’en veux pas mais quand ça devient obsessionnel, les gens sont prêt à sacrifier énormément, je veux dire par là, leur argent et leur santé.
Bonjour,
pour votre information, j’ai une amie qui devait prendre des médicaments à vie pour sa thyroïde, mais qui a pu les arrêter grâce au traitement homéopathique donné par un médecin généraliste et homéopathe, sur une période de un an. Il est situé rue des Pyrennées, à Paris, Docteur B. Voyez si l’homéo peut fonctionner pour vous?
Je pense que si tu en parlais avec tes grand-mères, arrière-grand-mères…, elles te répondraient qu’elles auraient tout de même bien aimé l’avoir. Nous, on a le choix. Bisous.
C’est déjà fait et ne crois pas que moi ou Pryska ne soyons pas féministes ou disions ça en l’air. La vérité est la suivante : la pilule a des effets délétères sur le corps des femmes. Moi aussi ça m’emmerde, je préférerais que ce soit autrement mais comme je le dit dans le chapitre de Métro, boulot… bonheur qui traite du sujet ” :
J’espère que cela t’aide mieux à cerner mon état d’esprit sur le sujet 🙂
De plus, il faut savoir que la pilule n’est que la seconde révolution et qu’elle n’a pas bouleversée les taux de natalité malgré le mythe. Progressivement, et quasi uniquement grâce au retrait, les couples occidentaux ont vu leurs taux de natalité diminuer jusqu’à 2,7 enfants /femme jusqu’en 1870 (plus aucune génération de femmes nées après 1870 a eu + de 2,7 enfants/femme), suite à la pilule le taux est passé à 2 donc pas de révolution même si un confort de choix calendaire de l’arrivée de l’enfant et une plus grande fiabilité. Il faut le savoir.
Nos grand-mères non plus n’étaient absolument pas éduquées à connaitre leurs cycles et pourtant quand une femme apprend à reconnaître les 15 jours du mois durant lesquels elle sait qu’il peut y avoir grossesse si rapport non protégé, tout est plus facile. Enfin, disons que la nature fait que nous sommes fertiles 15 jours par mois donc quand on cherche à contrer ça chimiquement ou mécaniquement ben la réalité c’est que ça a des conséquences (tout ça dit sans jugement aucun, simple observation). C’est malheureux mais c’est comme ça. Et je préfère faire avec et respecter mon corps avec un moyen de contraception respectueux plutôt qu’avec un médicament qui m’apporte des effets indésirables, pollue les cours d’eau (de manière telle que je ne vois pas comment on va pouvoir continuer à prendre cette pilule encore longtemps sans totalement détruire l’environnement aquatique, il faut le savoir). Bref, la pilule m’ayant rendu la vie impossible, le stérilet étant devenu insupportable de douleurs après deux années, je n’ai eu le choix comme de nombreuses autres femmes de me tourner vers une contraception naturelle et écologique, la seule qui respecte totalement mon corps.
J’ai énormément lu sur les avortements et cette époque horrible où les femmes avaient peur d’un rapport tellement elles envisageaient déjà l’aiguille qui suivrait. Donc n’ai crainte tout ce que je dis je ne le dis pas à la légère, c’est le fruit de mon expérience, d’heures de lectures, de centaines d’échanges mails avec des utilisatrices de pilule.
Donc on a le choix, oui, le seul choix de subir pleins d’effets secondaires et de polluer totalement nos eaux pour ne pas subir une grossesse non désirée (concernant la pilule). Ce “choix” est très limité et ne pourra durer éternellement faute de dégrader totalement l’environnement. Nous sommes des milliers, si ce n’est des millions de femmes actuellement, à refuser de brider nos corps, de les faire souffrir alors qu’on peut faire autrement (même si oui, parfois c’est plus “contraignant” de mettre effectivement un préservatif 15 jours par mois)…
Voilà où on en est. Bien sûr, tu l’auras compris, oui je suis très heureuse que nous soyons libres de faire ce choix. J’ajoute juste que ce choix n’enlève rien à nos responsabilités et que sur le sujet il va falloir les prendre, chacun en son âme et conscience. Je ne veux pas avoir à dire un jour à ma fille : “oui alors ma puce si aujourd’hui toute notre nature est détraquée et polluée c’est parce que j’y ai contribué avec la pilule parce que tu sais, je savais que d’autres solutions existaient mais j’avais flemme, je voulais faire l’amour totalement librement et sans barrière plastique donc bon ben, voilà, désolé mais tu sais, toi, comme tu ne peux plus la prendre (maintenant qu’on s’est rendu compte que c’était trop polluant et que ça avait trop de conséquences néfastes sur le corps des femmes), toi, tu vois, tu vas devoir apprendre à faire autrement“.
Alors oui c’est injuste que, de par notre nature, nous soyons aujourd’hui face à ce genre de dilemme mais ce n’est pas en niant la réalité que nous allons avancer.
Voilà, perso j’anticipe cela. Après chacun ses convictions je n’ai aucun problème avec ça, mais j’ai les miennes et elles ne sont pas là par hasard 🙂
Bon, j’ai écrit un pavé qui dépasse peut-être un peu ta remarque mais comme c’était l’occasion ^^
Bises féminines 😉
Ce pavé est tout à fait justifié. Il complète très bien tout ce que tu as pu écrire jusqu’ici sur ton blog.
Je te rejoins totalement sur les maux de tête : je n’en ai plus depuis que j’ai arrêté la pilule (ça fait un an). Sans compter toutes ces fois où je me dis “eyh, mais j’ai pas fondu en larme là…” dans une situation un peu délicate. Mon copain pensait que j’étais trop sensible. Si aujourd’hui je me vexe toujours aussi facilement (on ne peut pas tout mettre sur le dos de la pilule non plus), je ne pleure plus pour un rien.
Et pour info, si j’ai sauté le pas, c’est un peu grâce à toi ! J’ai pas suivi tes recommandations, j’ai tout arrêté du jour au lendemain mais c’était un réel besoin psychologique ou bien mon téléphone et ça sonnerie me rappelant “l’heure de la pilule” allait finir par passer par la fenêtre… Le pire dans tout ça : c’est que je me suis fait moraliser par ma gynéco… “Ah, mais c’est pas bien… blablabla…”.
Tu évoques les cours d’eau, on pourrait se demander pourquoi aujourd’hui tant de femmes ont du mal à concevoir un enfant… d’ailleurs, entre l’eau du robinet aux hormones et l’eau en bouteille au plastique toxique et polluant, j’en serai presque à essayer de trouver une recette pour fabriquer mon eau moi-même (ironie…)
Merci pour ton combat, j’achèterai sûrement le livre pour faire passer le message.
Merci Adeline 🙂
Pour info on commence déjà à savoir que l’épidémie d’infertilité est due :
– à la toxicité de notre environnement (pesticides dans nos aliments, perturbateurs endocriniens omniprésents dans nos produits d’hygiènes et les plastiques qui entourent nos vies, pollution aux microparticules) tout cet ensemble de choses qui engendrent des perturbations sur le bon fonctionnement général de nos organes et parfois sur les organes génitaux pendant toute la vie mais pire encore, durant la vie utérine lorsque nos organes sont justement en pleine fabrication
– aux ovaires mises au repos des dizaines d’années avec la pilule et qui ont du mal à repartir voire s’atrophient et développent pleins de problèmes à l’arrêt (kystes multiples par exemple), endométriose, etc.
Tout ça on le sait déjà mais j’y reviendrai dans le livre puisque cela semble encore trop méconnu… C’est juste que l’on écoute que la médecine chimique de nos jours, tout ça les bons naturopathes et autres pratiquants de médecines douces le savent depuis très longtemps ! Il suffit juste de s’écouter les uns les autres. Aujourd’hui, qui cherche à savoir trouve des réponses. Les solutions sont sous notre nez et elles n’ont rien d’extraordinaire ^^