Grande saga santé-beauté que vous avez suivi avec attention, l’arrêt de la pilule est le geste qui a eu le plus de retentissement sur ma vie ces dernières années.
NB : retrouvez plus d’informations sur la pilule et son impact sur le corps des femmes ou l’environnement en lisant mon enquête d’une année : J’arrête la pilule. Sur le site du livre vous retrouverez en libre accès :
- de nombreux témoignages sur l’arrêt de la pilule, la baisse de la libido, les pressions médicales,etc.
- un grand sondage “Les femmes et la pilule” réalisé auprès de 3 600 femmes (avec plusieurs questions sur le sevrage)
- des articles sur la contraception
- et toutes mes interventions médiatiques sur le sujet
Voici les trois premiers volets de cette saga :
“J’ai testé pour vous arrêter la pilule après 10 ans de prise …partie 1 : les effets”
“J’ai testé pour vous arrêter la pilule après 10 ans de prise … partie 2 : le sevrage progressif”
“J’ai testé pour vous arrêter la pilule après 10 ans de prise …partie 3 : le stérilet”
J’ai arrêté la pilule en avril 2014 suivi de deux mois et demi de sevrage (méthode décrite dans la partie 2 : le sevrage progressif). Voici mon ressenti après vingt mois sans pilule.
Article mis à jour en janvier 2018 soit trois ans et demi après l’arrêt de la pilule.
Comment je me sentais avant et après le sevrage :
Vous retrouvez le détails de la chronologie des effets dans la partie une ci-dessus, mise à jour. Globalement :
- Avant l’arrêt je me sentais comme “sclérosée”, mon corps n’était plus comme avant, je grossissais facilement et peinais terriblement à perdre du poids, je respirais mal et devais ouvrir la bouche pour inspirer en montant quelques marches, mes ongles étaient cassants, mes cheveux se faisaient de plus en plus fins et rares, ma peau était sèche (trop pour mon âge) et ma libido plutôt en berne (cf. pour la pilosité, l’acné, le poids et la libido les effets de la pilule venaient de l’anti-androgène drospirénone).
- Suite au sevrage, l’emballement hormonal avec effets secondaires vraiment indésirables a duré trois mois très fort et six mois moyennement. Trois mois, de juillet à octobre, durant lesquels j’ai eu une dizaine d’imperfections très visibles sur le visage et six mois pendant lesquels cela s’est calmé mais j’avais encore des imperfections dans le dos qui m’empêchaient de me vêtir comme je l’aurais aimé.
Le chamboulement hormonal a commencé très fort quatre mois après la fin du sevrage. Je sentais que mon corps reprenait ses droits et pas qu’un peu, c’était violent. Douleurs de règles assez fortes alors que je n’en avais jamais avant, kystes aux ovaires douloureux qui vont et viennent à chaque cycle (kystes liquidiens qui explosent douloureusement à l’ovulation ou avant les règles), glandes sébacées qui s’affolent avec acné sur le visage et dans le dos (et un peu sur le décolleté), cheveux gras. Le tout très fortement pendant quatre mois post sevrage puis avec diminution progressive jusqu’à aujourd’hui. Tout s’est normalisé après deux ans environ.
La peau et les cheveux sont redevenus moins gras dès quatre à cinq mois après le sevrage. Avant, je devais me laver les cheveux tous les deux/trois jours, aujourd’hui mes cheveux tiennent jusqu’à cinq jours sans lavage et ma peau est redevenue lisse avec tout de même régulièrement quelques imperfections (je précise que je n’ai jamais eu d’acné de ma vie avant la pilule donc in fine mon corps ne s’est pas totalement régulé 20 mois après l’arrêt).
Avant de vous parler des avantages retrouvés à l’arrêt de la pilule, passons par la case désagréable des effets secondaires.
Les inconvénients de l’arrêt de la pilule :
Arrêter la pilule est à long terme un avantage mais à court terme c’est parfois un vrai parcours du combattant, il faut le savoir. D’après les nombreux témoignages lu, j’estime à 15 % le nombre de femmes qui vont subir de gros chamboulements physiques à l’arrêt de la pilule. Particulièrement celles qui prenaient une pilule contenant un anti-androgène comme la drospirénone ou la cyprotérone (ex : Jasmine, Jasminelle ou Diane 35). Ces hormones anti-androgènes limitent la production d’hormones androgènes dont la plus connue la testostérone. Or les hormones androgènes : ont tendance à augmenter la libido, la pilosité (y compris les cheveux donc), à limiter la prise de masse graisseuse et à augmenter la sécrétion de sébum (qui favorise l’acné).
J’estime à 15 % le nombre de femmes qui vont subir de gros chamboulements physiques à l’arrêt de la pilule. Particulièrement celles qui prenaient une pilule contenant un anti-androgène comme la drospirénone ou la cyprotérone (ex : Jasmine, Jasminelle ou Diane 35)
En arrêtant brutalement (ou même comme moi avec un sevrage insuffisant de trois mois) votre corps, chamboulé, se met à produire beaucoup trop de ces hormones androgènes qui étaient auparavant artificiellement limitées par la pilule.
Résultat : grosse pousse de cheveux (après une grosse chute due au changements hormonaux divers), poils plus nombreux (épilations plus régulières), perte de poids facilitée, libido plus élevée (mais également agressivité) et… acné (car emballement de la production de sébum).
Arrêter la pilule ça a été pour moi :
- des imperfections sur le visage dès le 3ème mois post-sevrage (très présentes quatre mois puis moyennement 6 mois, quasi disparues aujourd’hui après 16 mois post-sevrage mais malheureusement encore régulières)
- des imperfections sur le dos (alors que je n’en avais jamais eues) dès le 3ème mois post-sevrage (qui ont laissées quelques traces qui 14 mois plus tard sont encore légèrement présentes mais s’en vont doucement)
- la re-découverte des règles douloureuses (les règles sous pilule étant fausses)
- des kystes douloureux aux ovaires dès 4 mois post- sevrage et apparemment aujourd’hui disparus (plus de douleurs)
Après 20 mois d’arrêt de la pilule (dont 17 post-sevrage) ma peau n’est jamais redevenue totalement comme avant. Mes pores sont très légèrement plus visibles, je suis redevenue sujette comme tout le monde aux points noirs (très légers mais avant je n’en avais strictement aucun), mes cheveux ne sont plus secs aux racines à J+6 du shampoing comme sous pilule, j’ai une vraie zone T et une vraie peu mixte qui a tendance aux imperfections.
******Après 24 mois d’arrêt de la pilule les imperfections sont très diminuées, j’en ai toujours quelques unes en permanence mais c’est léger et se camoufle facilement. Mes pores sont également plus resserrés.*****
*****Trente mois après l’arrêt : ma peau n’est pas encore tout à fait redevenue celle d’un adulte, quelques imperfections par-ci par-là plus régulièrement que je ne devrais à mon âge (presque 29 ans), en revanche mes cycles sont très réguliers et indolores.*****
*****Trois ans après l’arrêt de la pilule ma peau est presque celle d’une trentenaire (sans acné), même si j’ai quand même plus d’imperfections que beaucoup de femmes de mon entourage. Plus aucun acné dans le dos ou le décolleté. Mes cheveux, ongles sont normaux, mes cycles très réguliers et absolument pas douloureux et mes règles ont bien diminuées (quatre jours à peine dont deux de fort flux). Bref, je suis très heureuse, tout va bien et je n’ai plus cette impression de ne pas “contrôler mon corps”.*****
“… suite à un arrêt de pilule le système hormonal mettrait trois à six mois à se remettre en marche, à ne plus subir les effets hormonaux de la pilule (d’où apparition de l’acné uniquement quelques mois après l’arrêt) et l’organisme mettrait jusqu’à deux ans pour se remettre à fonctionner de façon totalement autonome et équilibrée.”
Avant j’avais une peau comme photoshopée de très près, jamais un seul bouton mais une peau déshydratée en permanence dont aucune crème n’étanchait la soif et qui commençait à se rider. Aujourd’hui, j’ai une peau qui vit en fonction de mon cycle, qui a tendance à briller sur la zone T mais qui est aussi moins sèche.
D’après mes lectures et l’avis de gynécologues, suite à un arrêt de pilule le système hormonal mettrait trois à six mois à se remettre en marche, à ne plus subir les effets hormonaux de la pilule (d’où apparition de l’acné uniquement quelques mois après l’arrêt) et l’organisme mettrait jusqu’à deux ans pour se remettre à fonctionner de façon totalement autonome et équilibrée.
Vous devez savoir tout cela avant d’arrêter. Vous pouvez n’avoir aucun effet comme vous pouvez subir jusqu’à deux années de perturbations hormonales pas toujours faciles à vivre.
Anesthésiée, je l’étais avant d’arrêter cette pilule.
Les avantages de l’arrêt de la pilule :
A côté de ça j’ai récupéré ma crinière de lionne avec une pousse extraordinaire de cheveux et je suis heureuse que ma peau ne soit plus autant déshydratée (même si cela demande plus d’attention niveau soins).
Et le moral dans tout ça ?
Je redécouvre le syndrome prémenstruel avec des humeurs juste avant les règles. Une sorte de “nettoyage mental” que j’essaie d’apprendre à maîtriser, mais qui est très puissant. Je ne le considère pas comme une chose négative puisque je préfère ressentir, le bon comme le mauvais, plutôt que d’être anesthésiée. Car, anesthésiée, je l’étais avant d’arrêter cette pilule. Insidieusement, avec les années, je ne l’ai pas senti mais les hormones de la pilule (qui mettent en sommeil le cycle pour faire croire au corps que l’on est enceinte) avaient pris les commandes du vaisseau, et pas forcément pour le meilleur ! Après dix ans d’hormones, mon corps a du apprendre brutalement à redémarrer, et cela a généré de grosses sautes d’humeurs et des douleurs sur les six mois post-sevrage. Entre les douleurs de règles, la douleur mentale pré-menstruelle, et les kystes qui se sont invités à la fête, j’ai ré-appris très précisément où était mon utérus et mes trompes ! Les douleurs se sont calmées après les dix premiers mois pour ne jamais revenir.
“Insidieusement, avec les années, les hormones de la pilule avaient pris les commandes du vaisseau et pas forcément pour le meilleur !”
Mais toutes ces douleurs sont accompagnées de grands bonheurs et re-découvertes : la libido, la légèreté du corps…
La libido est revenue de manière assez incontrôlable dans un premier temps, comme une déflagration interne qui m’a submergée. Elle s’était éteinte doucement avec les années, et je savais, je sentais que quelque chose clochait, qu’au fond ce n’était pas “moi”. J’avais raison. Le leurre physique de la pilule, qui fait croire au corps que nous sommes enceinte, génère une baisse de la libido après plusieurs années de prise. C’est mon expérience et celle de beaucoup de femmes.
Je n’exagère pas quand je dis aujourd’hui que j’ai l’impression de revivre. Je serais prête à recommencer sans hésiter (les douleurs, l’acné, etc.) parce que ça en vaut vraiment la peine ! L’impression de retrouver mes seize ans, une pulsion de vie totalement folle.
“Je serais prête à tout recommencer (les douleurs, l’acné, etc.) parce que ça en vaut la peine ! L’impression de retrouver mes seize ans, une pulsion de vie totalement folle.”
La légèreté, je la décris ainsi, car à l’arrêt de la pilule mon corps s’est automatiquement délesté de quelques kilos de graisse sur le ventre, les hanches et les fesses, sans que je ne change quoi que ce soit à mon mode de vie. Mon corps semble plus sensible qu’avant, plus réactif, plus fort, plus mobile : il n’est plus “sclérosé”. Il bouge, il vit sans entraves, il faut l’expérimenter pour le croire.
Depuis que j’ai arrêté la pilule mon esprit suit cette libération du corps, il est à la fois plus fort en émotion, mais aussi plus stable, étrangement. Les vagues vont et viennent (désir, remise en question), mais elles sont naturelles. Je sens que c’est moi, et j’y prends plaisir.
Plaisir parce qu’en comparaison à l’époque où je prenais la pilule je me sens tellement plus vivante !
Le plus marquant c’est le ressenti. Etant hypersensible je ressentais déjà beaucoup mais là c’est différent. Ce qui m’a le plus choqué en arrêtant les hormones c’est de me sentir moins “morte”. C’est fou non ?
Je retrouve l’envie, les pulsions. Je suis plus “en mouvement” et le corps transmet tout cela au cerveau.
Bref, pour moi, arrêter la pilule c’est au final me sentir plus vivante ! Un voyage que je ne regrette pas.
Routine cosmétique visage à l’arrêt de la pilule :
Comme on m’a très souvent demandé comment j’avais affronté cette période particulière côté cosmétiques voici ma routine, adaptée aux peaux à tendance acnéiques, pour vous aider à mieux passer ce cap. C’est en fait un savant mélange entre hydratation et assainissement :
– Démaquillage naturel maison “J’ai trouvé le démaquillant bio, pas cher et efficace !
– Ne laver le visage à l’eau qu’une fois tous les deux jours max (Pourquoi se laver le visage à l’eau c’est le mal…)
– Hydratation avec hydrolat de rose + crème MuLondon (à la lavande en ce moment plutôt que rose) qui traite et nourrit ou avec ma crème maison et à chaque fois une goutte d’AlgoZinc (actif au zinc pour traiter les imperfections et aider la peau de chez AromaZone)
NB : attention, même si votre peau change et devient grasse, elle a besoin d’hydratation et une huile végétale ne suffit parfois pas (cf. Hydrater ou nourrir sa peau : quelle différence ?)
– Faire de temps en temps des masques miel-cannelle ou au rhassoul ainsi qu’un gommage doux (au sucre, café ou avec un savon exfoliant)
– Ne mettre que du maquillage minéral et naturel qui n’aggrave pas le problème : “Lily Lolo, le maquillage minéral bon pour votre peau”!
En savoir plus sur la pilule, ses effets sur le corps ou l’environnement en lisant mon enquête J’arrête la pilule, fruit d’une année d’investigation :
Bonjour,
Alors personnellement je tente d’arrêter la pilule Diane 35 depuis 7 mois. J’ai 32 ans et je prenais la pilule depuis mes 20 ans, uniquement pour soigner mes problèmes de peau. Et ça y est, les effets indésirables que j’avais déjà à l’adolescence reviennent ! Ils m’avaient tellement manqués : cheveux gras, boutons sous-cutanés douloureux qui créent des cicatrices sur la peau, peau grasse, boutons dans les dos… Le cycle menstruel est normal mais j’ai l’honneur d’avoir mes règles durant 1 semaines et demie, contre 3 jours avec la pilule.
Pour l’instant j’ai moins de boutons qu’a l’adolescence !
J’ai maigri et me muscle plus vite.
Dans tous les cas je ne vois pas vraiment d’intérêt d’arrêter cette pilule, mis à part torturer ma peau et redonner de l’argent à des dermatos qui me prescrivent des crèmes qui abiment la peau.
Le seul hic de la pilule est qu’elle m’a fait prendre 2-3 kilos et fait perdre un peu de libido.
Depuis que j’ai arrêté la pilule, je me renferme et suis déprimée.
Donc pour moi la pilule restera un miracle contre ces satanés boutons.
Malheureusement un miracle qui, comme beaucoup de miracles médicamenteux a souvent un coup payé par ailleurs, (en l’occurence augmenter son risque d’accidents thromboemboliques mortels pour lutter contre une acné contre laquelle on pourrait lutter autrement si on s’en odnnait un peu la peine…) mais je comprends absolument ton soulagement ! 🙂
Je suis en plein arrêt de pilule et qu’elle ne fut pas ma peur de voir mes cheveux tomber en masse au bout de 3 mois d’arrêt… la tentation de reprendre la pilule est grande mais votre article me redonne espoir à me dire que les cheveux vont repousser et se réguler ! Aviez vous utilisé un shampoing ou une routine particulière ?
Bonjour Morgane, même si’l peut y avoir une chute, chez 99,9 % des femmes ça repousse très rapidement en 3 à 6 mois donc oui, pas de panique. Pour le reste il suffit de les chouchouter et de ne pas trop les agresser (donc évitez les hennés/colorations/permanentes et shampoings contenants des sulfates) et n’hésitez pas à faire une cure de compléments type levure de bière pour aider la repousse ou freiner la chute 😉
Bonjour j’ai arrêté la jasmine après 17 ans de prise…j’ai de long cheveux et c’est ce qui fait ma personnalité depuis toujours.depuis 4 mois je perds en masse.tres difficile pour moi de subir cela…je me demande quand cela va s’arrêter. J’ai le moral à 0 je n’ai plus la joie de vivre à cause de ça. Visiblement sur les analyses ma testosterone et dhea est basse. Je fais des injections de biotine en ce moment + tisane de sauge et complètement alimentaire mais rien n’y fait je suis désespérée
Hello Leslie, malheureusement les dosages sont souvent peu fiables dans le sens où ils peuvent laisser penser que “tout va bien” alors qu’en fait non, cela peut aussi être des problèmes sur les récepteurs hormonaux (endommagés oud éficients) et ça c’est impossible à analyser…
Bonjour 🙂
Ton témoignage confirme ce que je pense… et ce qu’aucun spécialiste ne veut vraiment entendre.
J’ai arrêté la pilule en avril dernier après l’avoir prise pendant 9 ans, pour des raisons d’acné. Un jour, je me suis demandée d’où venaient mes changements d’humeur. Je me suis toujours dit que c’était moi, que j’avais ces phases entre déprimée et folle de joie, et ce, plusieurs fois dans la journée. Puis j’ai été lire les effets secondaires de cette petite pilule que je prenais sans me poser de questions. Je l’ai arrêtée après avoir pousser ma réflexion plus loin, et après avoir simplement commencer le livre que tu conseilles.
C’est comme si mon corps engourdi revivait. J’ai eu une poussée de libido – et ce encore aujourd’hui – que j’ai remarquée tellement ce sentiment était neuf! Et ces changements d’humeur, qui me donnaient l’impression de vivre des journées en dents de scie, étaient moins fréquents. Mes règles, je les vis vraiment : elles s’annoncent, me rendent un peu flagada de temps en temps, mais bizarrement cela me dérange pas.
Mais l’acné est réapparue dans mon dos, partout, bien pire qu’avant. Ces boutons rouges parsèment mon dos, ils zèbrent ma peau, ils tiraillent mon épiderme. Je n’ose pas regarder cette peinture de rouges dans le miroir. Lorsque j’ai parlé de mes changements d’humeur à ma gynécologue et un potentiel lien avec la pilule, elle a balayé mes arguments. Lorsque j’en ai parlé à ma généraliste, c’est comme si je n’avais jamais mentionné cela.
Alors aujourd’hui je me sens comme une écervelée, comme une jeune femme qui a décidé de ne plus prendre ce qu’on lui avait donné sans lui expliquer, comme la responsable d’un dos que je n’ose montrer. Et ce sentiment, il grandit et me pèse, comme l’acné dans mon dos. Pourtant, je ne sais quoi faire. Je ne sais vers qui me tourner, car je n’ai plus envie d’écouter ceux qui ne cherchent pas à écouter mon ressenti. Je n’ai aucune connaissance en médecine, mais je connais mon corps et mes sensations. Celles-là même que je ne savais plus ressentir.
Comment savoir ce qui est juste à faire ? Comment être certaine que je ne suis pas responsable de mon propre mal ?
C’est sans doute comme une bouteille à la mer que je jette ici, j’en suis consciente.
Merci de m’avoir lue,
Elyne
Salut Elyne,
Non, il ne faut surtout pas te sentir coupable, tu n’es pas responsable des effets idnésirables qu’a ta contraception même après laprise, cela s’appelle le syndrome post-pilule et un certain nombre de femmes en souffrent c’est juste qu’en France on ne connaît pas ce phénomène et on n’écoute pas les femmes à ce sujet, la société a encore beaucoup de mal à vouloir voir en face les effets indésirables des contraceptiosn hormonales du coup les femmes se retrouvent seules à chercher des solutions pour affronter la tempête hormonae que constitue parfois l’arrête de la pilule …
Si tu lis l’anglais je te conseille le très bon livre de la docteur Jolene Brighten “Beyond the pill”, un livre entier consacré aux problèmes post-pilule et à comment les régler (au naturel). Le meilleur (et le seul) qui existe actuellement. Sinon en Français tu as aussi le livre “Mamamelis” gynécologie au naturel, pleins de conseils pour l’acné ou les troubles du cycle qui indiquent souvent un dérèglement hormonal qu’il faut identifier puis traiter).
Tu as aussi les très bons sites de Dr Brighten et de Lara Briden qui expliquent énoooooormément de choses (à traduire en faisant “clic droit/Traduire” sur ton navigateur Google Chrome si tu ne lis pas l’anglais 🙂
Voilà, en esprant t’avoir aidée 🙂
PS : beaucoup de femmes à qui j’ai conseillé du DIM (diindolylméthane, 250mg/jour ont réussi à diminuer beaucoup leur acné grâce à ce petit complément tout bête (un extrait naturel de brocoli), à tester ! Le mien est celui-ci : https://www.amazon.com/DIM-Supplement-BioPerine-Treatment-Inhibitor/dp/B006KL4TYG/ref=pd_rhf_ee_p_img_1?_encoding=UTF8&psc=1&refRID=0Z8ZQ0TYJREWP4481PAC
Bonjour Sabrina,
Depuis l’arrêt de ma pilule je suis moi aussi sujette aux kystes ovariens qui vont et viennent comme ils le souhaitent.
Généralement dès que j’entre dans ma période d’ovulation, je ressens une douleur à l’ovaire droit. Je sais que c’est ça, car un a explosé une fois, ce qui m’a envoyé aux urgences, tordue de douleur (et de panique). Là bas on m’a confirmé que c’était des ovaires bénins, remplis de liquide, et que c’est fréquent à l’arrêt de la pilule.
Comment et quand sont-ils partis pour vous ? Est-il nécessaire de prendre un traitement ? Je sors d’un RDV chez mon gynécologue pour qui la seule solution est de reprendre la pilule aka hors de question.
Cela fait seulement 2 mois j’ai arrêté et mon corps reprend ses marques avec des effets secondaires qu’on adore, et je me dis que les kystes en font partie et qu’ils disparaitront quand tout ce sera calmé…
Merci d’avance pour votre aide.
Bonjour Clo,
Pour moi ça s’est assez vite normalisé (apparition au 4ème mois environ) et ça s’est calmé progressivement avant le 8ème mois il me semble (ça a duré moins de 6 mois).
Merci pour ta réponse. J’aurais une dernière question est-ce que tu as pris du Gatillier dès lors que tu as constaté ta chute de cheveux ? Merci beaucoup pour les articles que tu fais. J’ai lu également ton livre dans lequel on apprend énormément. Je n’ai vraiment pas envie de reprendre cette pilule.
Oui, j’ai commencé à ce moment-là. Avec plaisir et courage ! Sinon, saches que tu as aussi de supers compléments en vente libre pour t’aider globalement à traiter les troubles du cycle, il s’agit de ¨Prepause” et de Endocalmil des laboratoires Inebios, super produit que j’ai conseillé à de nombreuses femmes et avec succès (ça permet généralement d’apaiser la plupart des troubles du cycle ou liés au cycle en 2 à 3 mois avec généralement des effets dès le premier mois 🙂
Bonjour,
J’ai ru énormément d’acné lorsque j’ai arrêté ma pilule et cela m’a traumatisée. Je souhaite tenter l’expérience du sevrage mais il y a très peu de références sur internet sur cette pratique. Je compte procéder à la méthode d’un jour sur deux et non du découpage. Je me demande quels sont les effet sur les règles car sauf erreur de ma part, ceci n’est pas notifié dans vos articles. Avez vous eu des règles en continu pendant toute la durée du sevrage?
Je vous remercie pour votre réponse qui me permettra de prendre la bonne décision, Marilou.
Bonjour Marilou, il n’y a ni règles ni études sur la pratique du sevrage c’est donc à chacune de faire comme elle le sent (vous pouvez dfemander à un médecin mais généralement ils ne sont aps au courant). J’indique dans cet article une façon de se sevrer et je vous invite à lire également les commentaires où des femmes témoignent, vous trouverez sûrement votre bonheur : J’ai testé pour vous arrêter la pilule avec sevrage… partie 2 : le sevrage progressif
Perso je n’ai pas eu mes règles durant le sevrage mais à la fin.
Bonjour,
Je souhaiterai vous faire part de mon expérience. Après 11 ans sous Jasminelle, j’ai décidé, à 30 ans, d’arrêter cette fichue pilule dans l’optique d’avoir un bébé. J’étais paniquée à l’idée d’arrêter: peur du retour de règles naturelles (avant la pilule j’avais mes règles tous les 2-3 mois), angoisse de l’acné, de la chute de cheveux et de la pilosité. Je lisais beaucoup de chose sur ce sujet puis je suis tombée sur cet article. Le sevrage m’a paru un bon moyen pour permettre à mon corps de se réguler normalement. J’ai débuté 6 mois sevrage en mars 2018 en coupant mes comprimés (2 mois 3/4 de comprimés puis 2 mois 1/2 et enfin 2 mois 1/4). La découpe est un peu fastidieuse mais j’étais équipée: coupe comprimé, gélule vide dans laquelle je mettais les comprimés et pilulier pour préparer mes pilules à l’avance chaque semaine. Durant le sevrage, quelques boutons mais rien d’extraordinaire. J’ai eu mes règles chaque mois au début puis en juillet plus rien. Le sevrage s’est terminé en septembre. Mes règles sont revenus naturellement le 2 novembre 2018. En décembre pas de règle, bon en même temps vu mes cycles à rallonge aucune inquiétude. Puis des douleurs à la poitrine sont apparues, de plus en plus fortes. Le 31 décembre je fais un test de grossesse (sans grande conviction)… positif. J’ai encore du mal à y croire. Après 11 ans de pilule, je ne m’attendais pas à tomber enceinte si vite, même pas gynécologue avait l’air surprise (elle qui me disait fin novembre que ça peut prendre du temps après une longue période sous pilule). Enfin voilà, je dois accoucher en septembre 2019, 1 an après la fin officielle de la pilule, la boucle sera bouclée. Et je ne compte pas reprendre ces satanés hormones. Depuis le début de ma grossesse, des petits boutons sans gravité sont apparus en haut de mon dos, sur ma poitrine, sur mon menton et mon front mais c’est quasi imperceptible et ce sont les joies de la grossesse :). Merci en tous cas pour l’article sur le sevrage, cela m’a permis de relativiser sur l’arrêt de la pilule. Si j’ai une fille, je me suis jurée de l’informer sur la pilule et ses effets avant qu’elle ne prenne quoi que ce soit.
Merci beucoup Marion pour ce témoignage intétessant et qui prouve qu’il faut absolument développer des contraceptions sans effets secondaires pour éviter que des femmes aui arrêtent la pilule se retrouvent avec des grossesses non désirées ! (ce que je demande dans mon dernier livre “Marre de souffrir pour ma contraception” et avec d’autres féministes dans une tribune publiée dans Libération
On le rappelle également ici : il faut une autre contraception quand vous vous sevrez de la pilule (DIU ou préservatif, ou diaphragme + méthode de connaissance du cycle type symptothermie !!)
Bon , tu as l’air de bien le vivre mais pour toutes les jeunettes qui nous lisent soyez prudentes 🙂
Bonjour sabrina je voulais te tenir au courant, pour donner de l’espoir aux filles qui ont arrêter la pilule et qui ont des soucis d’acné et de grosse chute cheveux, mon bilan après presque 2 ans d’arrêts tumultueux est plus que positif j’ai arrêter en août 2017 ma Pilule Diane 35 (qui n’en n’est pas vraiment une) et le minoxidil qui m’avait été prescrit pour mon alopécie androgenique et acné, jusqu’à il y a quelques mois mes cheveux se faisaient très rare clairsemés au dessus du front sur les côtés avec plein de troux, j’avais de l’acné j’ai même songer à me raser la tête mais aujourd’hui presque tout mes cheveux ont repousser en tout cas toujours un trou au dessus du front mais qui ne se voit presque plus ils sont plus beaux, plus épais que sous pilule et minoxidil pourtant j’étais très clairsemés, j’ai pris et prend toujours quelques compléments alimentaire j’utilise des shampoings bio une brosse en bois des lotions anti chute bio, de l’ortie fraîche en tisane gélule et lotion maison, de l’huile de ricin en massage, je ne me suis jamais sentie aussi bien dans ma tête, j’ai une belle peau avec des cicatrices mais bon on peut pas tout avoir, j’ai des cycles sans douleur et précis alors que j’avais des kystes ovariens à répétition et des douleurs affreuses au ventre et au corps, merci car en relisant ton expérience sa m’a donner la force de persévèrer et j’espère que mon bilan après deux ans encouragera d’autres filles à pas lâcher !!!! Je vais commander des deux livres dès que je peux, encore merci pour ton excellent travail de journaliste et le contenu de ton blog Facebook… Continue tu aides beaucoup de personne à ouvrir les yeux
Merci beaucoup Laura pour ce retour qui en aidera surement certaines et merci encore pour ce gentil message ! <3
Hello,
Je tombe sur ce site par hasard, mais qui me parle vraiment!
J’ai pris la pilule minidril pendant 9 ans pour le confort des rapports avec mon amoureux.
Avant ça, j’avais des règles hyper douloureuses, donc à l’époque j’ai bien apprécié d’avoir moins mal… J’avais à contrario la chance de n’avoir jamais de bouton.
J’ai commencé à avoir des problèmes d’acné après 4 ans de prise. Au début c’était 1 bouton par an, ensuite 1 tout les 6 mois, et à la fin c’était tout les mois.
Je n’avais jamais fait le rapprochement entre pilule et acné, ni les copines, ni les médecins qui m’ont suivie.
J’ai décidé d’arrêter la pilule car d’une part, j’en avais marre de prendre ça, sans savoir à quoi m’attendre après 9 ans de prise; et d’autre part parce que nous avons eu le désir d’enfant.
J’ai arrêté tout d’un coup croyant naïvement que les bébés arrivent à la demande (ouais ouais) mais j’y reviendrai.
Donc quand j’ai arrêté la pilule, l’acné n’a fait que s’emballer de plus belle, j’étais défigurée surtout pendant la 2 ème année. Après ça s’est calmé tout en gardant le rythme 😉
Mon cycle est resté irrégulier pendant toute la première année, avec parfois des règles de 1 journée, parfois pas du tout… C’était très déprimant.
Au bout de 3 ans on a enfin réussi à mettre en route bébé, naturellement. Ceci dit on avait déjà commencé les démarches PMA. Joie et soulagement…
Donc moi qui n’ai jamais été vraiment tranquille avec l’acné depuis quelques années, ça a empiré avec la grossesse. Merci mes hormones.
Heureusement j’ai fait connaissance avec une branche médicale hors norme que sont les sages femmes! Cette fois, plus de prescriptions d’antibiotiques et autres trucs agressifs qui n’ont jamais été efficaces pour moi. J’ai eu une prescription d’homéopathie (sulfur et kalium) en plus du petit gel douche naturel à base d’aloe vera. Et bien les copines je vais vous dire, c’est magique. J’ai commencé à 3 mois de grossesse, maintenant je suis à 7 mois et il ne me reste plus que quelques cicatrices. Enfin tranquille!
Merci d’avoir mis le sujet de la pilule sur la table, c’est encore tellement marginal! Je vais me procurer tes ouvrages 🙂
Bonjour Léa et merci beaucoup pour ce témoignage très touchant et pleins d’espoir 🙂
Eh bien je te souhaite une bonne lecture et à très vite !
Bonjour à toute les lectrices,
Laura P., j’espère que tu repasseras sur ce blog, j’aimerais vraiment échanger avec toi.
En effet, mon expérience est similaire à la tienne (Diane 35 et les déboires de trous dans les cheveux).
Voici mon histoire :
J’ai toujours eu les cheveux très fins (héritage de ma famille maternelle, mais pas d’alopécie, même à 70 ans haha).
Jeune, je n’avais pas une masse de dingue (avec des cheveux fins, c’est impossible, mais j’avais beaucoup de cheveux avec un épis persistant au niveau du tourbillon, mais ça c’est l’implantation cappilaire de naissance). A la fin de la puberté, au niveau capillaire tout était ok, j’avais de l’acné depuis l’adolescence mais rien de dramatique.
J’ai commencé à prendre la pilule à 17 ans (en hiver 2009), sous “pression” de mon copain de l’époque, ça ne me posait pas de problème puisque beaucoup de filles de mon âge le faisaient. C’était Leloo et Minidrill tandis l’un, tandis l’autre pendant 5 ans.
Pendant ce temps, mon acné a empiré, j’ai pris du poids aussi mais ça c’est stabilisé ensuite. Mes cheveux n’ont pas bougé, même si je les malmenais un peu (coloration 1 fois/an, shampoing tous les jours et pas de soins ou vitamines).
A 22 ans, j’avais toujours pas mal d’acné. En début 2014, j’en ai parlé à un médecin qui m’a présenté La Diane 35 comme une solution miracle. Après 10 ans d’acné, dont 5 ans empiré (par, je le réalise maintenant, la pilule). J’ai tout de suite accepté aveuglement.
La Diane 35 a bien marché au bout de 3/4 mois. J’avais plus de boutons, à part, un microkyste trimestriel et un autre lors de la semaine d’arrêt de pilule comme pour me menacer de ce qu’il allait arrivé si j’arrêtais.
Et pourtant, les 2 ans de prise qui ont suivi, ont changé des choses profondes en moi. J’avais toujours été d’une nature optimiste et joyeuse, même dans les moments les plus durs de ma vie, mais là j’étais juste triste et pessimiste, ma libido au point mort.
Le pire ça a été pour mes cheveux… c’est très net sur les photos, j’ai perdu en masse dès la première année et j’ai 2 trous qui se sont creusés à l’arrière de ma tête (que je n’avais pas remarqué à l’époque)
Durant ces 2 ans j’étais l’ombre de moi-même, mais je mettais ça sur le compte de mes cours en IAE, très exigeant, prenant tout mon temps et mon energie avec pas mal de stress.
Et puis au printemps 2015 à 23 ans, j’ai arrêté d’un coup. J’étais au Japon en stage pour 5 mois et je ne pouvais pas la renouveler. Et je l’oubliais régulièrement, et depuis plusieurs mois, on était déjà sous capote avec mon copain de l’époque donc bon.
J’ai perdu encore un peu de masse de cheveux, mais je n’ai pas souvenir d’avoir été trop marqué (malgré les cheveux partout dans la salle de bain), j’ai les boutons qui sont revenus un peu (mais rien de comparable à quand j’étais sous Liloo ou Minidrill).
Le boum a été vraiment un an plus tard après l’arrêt de la pillule (printemps 2016), mon “corps” s’est réveillé, je suis sortie de ma torpeur et j’ai réaliser que je n’aimais plus la personne avec qui je vivais, j’étais trop anesthésiée pour le réaliser avant. D’un coup, j’avais une fureur de VIVRE. Je voulais du voyage, de la passion et des fêtes, danser, être libre. J’ai quitté mon ex, ça m’a fait beaucoup de mal car c’était quelqu’un de gentil, mais tellement étouffant…
Le deuil de la relation passé, j’étais redevenue la personne positive et joyeuse. J’avais pas récupéré toute la masse de cheveux perdue, mais j’avais moins de trous. Je vivais heureuse et épanouie. J’ai aimé passionément, j’ai voyagé pendant 2 mois. Mais malheureusement durant, mon voyage, l’acné est revenu… Je réalise maintenant que c’était dû à du stress (fin d’études, début de la vie active) et à des carences alimentaires.
Je rentre en France fin 2016, je suis frappée par le chômage et je suis angoissée de ne pas trouver de travail, et paf. Un matin, j’ai un sein qui a triplé de volume. Suspicion de cancer à 24 ans, tests et RDV en urgence mais en fait rien aux echos, je vois medecins sur medecins. Et puis un gyneco me dit, au petit bonheur la chance : “ça doit être un desordre hormonal” mais sans faire de test ou de bilan, rien. “La meilleure solution c’est de reprendre la pilule, vous preniez quoi avant l’arrêt?.”
En février 2017, me revoilà donc sous Diane 35. Je n’aurai jamais du la reprendre, mais j’étais si ignorante des effets pervers de cette petite chose à l’époque… Et on ne remet pas en doute la parole d’un medecin ! Je me le pardonne aussi car avec plein de microkyste sur la tronche et un sein qui fait le triple de l’autre, voili voilou…. Maintenant, je réalise que c’était seulement de la psychosomatisation du à un haut niveau d’anxiété :/
Je l’ai reprise en continue pendant 3 ans. Mon sein est redevenu normal. Ma peau est devenue impeccable, mais mes cheveux, ma libido et mon moral se sont fait petit à petit la malle au fur et à mesure des mois… J’ai aussi développé un psoriasis avec deshydrose (eczema quoi) aux mains, 3 mois après la reprise (je sais pas si c’est lié mais bon).
En 2018, un an après la reprise j’avais reperdu de la masse capillaire (oui, encore), mais je pensais que c’était dû à la chute saisonière que j’ai surtout au printemps.
Aout 2018, on part un an en PVT au Japon avec mon nouveau compagnon. Quelques mois plus tard, hivers 2019 après 2 ans de Diane 35, rebelote, le moral au plus bas et grosse depression avec attaques de panique quotidienne. Je perds énormément mes cheveux, je pleurs tout le temps alors que pourtant, tout va bien dans ma vie, je voyage, je travaille, je suis bien et amoureuse de mon compagnon. Et pourtant, je suis moralement au plus mal.
Juillet 2019, retour en France avec l’intention ferme et definitive de me reprendre en main. Je commence une psychotérapie, je fais un check-up de ma santé (RAS) et je me fais suivre par une naturopathe pour mes problèmes de psychosomatisation (puisque des soucis de santé bien présents malgré le RAS du Check-up). La naturo me fait prendre conscience de pleins de choses ! Je fais beaucoup de recherches sur ma depression et là je découvre par de nombreux témoignages que Diane 35 peut provoquer et/ou empirer la depression.
En novembre 2019, nouvelle grosse crise depressive, encore une fois pour une futilité (petite tache qui ne se voit pas sur une dent). Je suis à bout, j’en ai marre de ces hormones, je veux redécouvrir mon corps et puis je suis suivie par un dermato, un medecin, une psy et une naturo. Ils m’encouragent à arrêter, le medecin me donne du stresam pour passer le cap de la crise, le dermato me donne 2 crèmes pour limiter les dégats acnéïques potentiels de l’arrêt, la naturo fait un travail de fond sur le foie et la psy calme mon inquiètude d’arrêt de pilule, tout en travaillant sur de vieux traumatismes.
Début décembre 2019, j’ai arrêté la pilule. L’acné est revenu surtout dans le dos mais Rien de dramatique, un peu sur le decolleté, très peu sur le visage même si j’ai la peau plus grasse qu’avant, soit un microkyste au menton par mois à l’ovulation, c’est tout (5 en 5 mois). Avec les soins qu’il faut ils partent en 1 semaine et laissent presque pas de trace. Mon cycle est pas tout à fait régulier mais rien d’alarmant.
Aujourd’hui, mon malheur, mon gros problème c’est les cheveux.
Je perdais déjà pas mal mes cheveux avec Diane 35, surtout au printemps durant les 3 dernières années de prise, sans doute amplifié par quelques carences alimentaires et avec ma depression de l’année dernière mes trous se sont creusés : aux tempes, surtout côté droit et à l’arrière du crane j’en ai 3, c’est pas qu’ils n’y a plus de cheveux, mais ils sont clairsemés et trop fins pour cacher mon crane et je n’ai pas assez de masse ailleurs pour les cacher… Et là j’ai mal et là j’ai très peur ! Ils tombent enormement depuis quelques semaines, par centaines ! C’est devenu une obsession, j’ai tellement peur que ce ne soit pas reversible ou encore pire que cela empire ! En plus, mon cuire chevelu est très gras, au bout du 2ème jour sans shampoing c’est sale et on voit encore plus les trous !
Voilà Laura, comme on t’a diagnostiqué une AAG et que finalement 2 ans plus tard après l’arrêt de la Diane ça semble être revenu à peu près à la normal et que comme moi tu l’as arrêté puis reprises pour l’arrêter à nouveau. Cela me donne de l’espoir 🙂
Et j’en ai désespérément besoin ! Mes idées sont sombres et en plein confinement je ne peux pas faire de bilan hormonale pour savoir ce qu’il en est :/
J’espère que mon long, très long témoignage pourra apporté quelque chose à quelqu’un. Je ne sais pas si d’autres personnes ont une expérience similaire ?
On pourrait se soutenir 🙂
C’est la première fois que je témoigne sur un site/forum. J’ai lu tous les commentaires sous cette article et la bienveillance sur ce groupe m’a convaincue de partager mon fardeau, mon angoisse.
Laura et Sabrina, je lis et lierai encore souvent vos témoignages car ça me donne de l’espoir (espoir de repousse et d’un retour à peu près à la normal, vers un mieux général), ça me fait du bien et je vous remercie d’avoir fait des majs régulière jusqu’à +2ans et +3ans.
Ma naturo me suit et m’aide pour tenter de sauver mes cheveux, je vois le dermato en juin, j’espère qu’il sera à l’écoute et bienveillant et m’aidera dans cette crise capillaire qui dure depuis plus de 2 ans. Je ne manquerais pas de faire à mon tour des majs.
Merci infiniment si vous m’avez lu jusqu’au bout
Bonjour Flora et merci pour ce beau et long témoignage qui est très intéressant. Je n’ai pas grand chose à ajouter si ce n’ets merci pour ton gentil message et ta confiance <3
En revanche ce que tu as vécu avec le kyste peut absolument être dû à des troubles hormonaux et pas juste "au stress" puisque les kystes peuvent aller et venir au gré des fluctuations hormonales.
Courage, quand on cherche activement on finit souvent par trouver la cause et résoudre le problème !
Bonjour Laura,
Je me permets de venir vers toi. J’arrêter la pillule Diane 35 il y a 3 mois et demi. Et depuis je perds mes cheveux et l’acné est de retour. Q’est ce qui a fonctionné pour toi ?
Bonjour Hélène, on vous conseille d’essayer de trouver le trouble hormonal profond qui génère ces problèmes (bien que, après l’arrêt de la pilule il est bien d’attendre plusieurs mois pour voir si ça se normalise). Pour certaines, la simple prise de compléments comme Prépause permet de remettre le cycle d’applomb et d’éviter un surplus d’oestrogène qui génère acné et SPM, pour d’autre ce sont des tisanes de gattilier.
Merci pour ta réponse. Je vais me faire suivre par une naturopathe pour essayer de sauver mes cheveux. Pourrais-tu me dire pendant combien de temps tu as perdu tes cheveux de façon anormale ?
Ca a duré quelques mois, je dirais environ 5/6 mois et dès le 4ème mois après arrêt total de la pilule.
Sous pilulle depuis 10 ans, je ne me suis jamais vraiment posé la question sur les bienfaits (ou méfaits) de ce type de contraception. Malgré la prise de la pilule, j’ai toujours eu de l’acné tous les mois plus ou moins apaisée par la pilule mais sans non plus être révolutionnaire. Jusqu’au jour où j’ai demandé à ma gynéco de me changer de pilule car je ne voulais plus de boutons à 25 ans. Alors sous Deso20, on m’a prescrit la Yasminelle et là, ça a été la descente aux enfers. Je suis devenue dépressive avec des sautes d’humeur pas pour rire, des pleurs après chaque dispute avec mon copain sur des sujets futiles, une irritabilité permanente, un côté négatif surpuissant… Du coup, 4 mois plus tard, rdv chez la gynéco encore, pour lui dire que je ne reprendrai plus jamais cette pilule-là et que je me sentais dépressive. Sa solution : me trouver un dosage plus adapté; étant donné que, selon elle, ma dépression est surement passagère et plus que probablement pas liée à ma pilule… Test de la Helen pendant 5 mois, l’humeur un peu mieux mais sans plus, les boutons m’ouais et puis des règles pendant la prise de la pilule et j’en passe. Enième rdv chez la gynéco, je suggère de repasser à ma pilule que j’ai prise pendant 9 ans, la Deso20, vu que tant qu’à faire, ça allait même si quelques boutons, la gynéco n’y voit pas d’inconvénients (ou n’a même pas cherché à en trouver ou à chercher une autre solution). 3 mois plus tard, je me rends compte que ça ne va pas du tout, j’ai plus de libido, j’ai des sécheresses vaginales qui me font redouter de passer du bon temps avec mon copain. Lui pense que je n’ai plus envie de lui, moi j’ai juste mal, ça plombe notre couple.
Après 2-3 recherches sur Internet (et oui, ce fidèle moteur de recherche) “manque de libido”, “sécheresse vaginale”, les résultats qui apparaissent accusent presque tous la pilule.
Alors je réfléchis (entre temps j’avais acheté votre livre sans l’avoir vraiment commencé) et je fais des liens, tout est à peu près lié aux moments où j’ai changé de pilule, je décide que je veux arrêter. J’ai peur d’en parler à mon copain, lui rêvant d’un enfant mais je veux encore attendre pour x raisons. Je lui en parle, en pleurs, en disant que je n’en peux plus, sa première réaction “je peux me protéger moi s’il faut”. Et là, la révélation ! Moi qui redoutais de lui dire qu’il allait falloir trouver un autre moyen de contraception, l’idée est sortie de sa bouche directement sans que je n’ai quoi que ce soit à dire.
Et depuis (1 semaine seulement), retour de l’acné en force mais j’ai lu votre livre entre temps et je crois que je préfère avoir de l’acné plutôt que de prendre ce poison dont on nous explique absolument PAS tous les méfaits!
Bonjour Delphine,
Merci pour ce beau témoignage qui se termine bien et de manière effectivement assez innatendue puisque ces messieurs font souvent la gueule et mettent la pression pour refuser le préservatif (ce qui fait bien rire les femmes qui ont envie de leur dire “Chéri, essaie les hormones et je peux t’assurer que tu trouveras ça finalement assez léger comme inconfort !” 😉 )
Eh bien belle et longue vie contraceptive à vous deux qui représentez ces nouveaux couples où (enfin !) les hommes écoutent leurs femmes, sont empathiques et force de proposition 🙂
PS : en plus du préservatif qui peut effectivement diminuer le plaisir de monsieur, quelques conseils pour une contraception qui favorise un maximum le plaisir sexuel :
* testez les préservatifs les plus fins du monde (Protex 002 ET 001, ça change la vie de bien des messieurs)
* testez le diaphragme de temps en temps si tu es partante (petite coupelle très fine en silicone à placer au fond du vagin avec un spermicide avant le raport et à enlever plusieurs heures après), assez efficace (cf. annexe de mon livre pour les chiffres) même si moins que le préservatif puisque le sperme “squatte” le vagin (ultra efficace si en plus retrait
* moi j’ajoute en plus la symptothermie qui me permet tout simplement de connaître mon cycle pour savoir quand on peut tout simplement se passer de ces méthodes barrière 🙂
Bises !
Bonjour!
Je viens ici partager un remède miraculeux contre les effets dévastateurs de l’arrêt de Diane !! J’ai parcouru bon nombre d’articles sur le sujet, et personne ne semble connaître ce traitement, pourtant salvateur!! J’ai pris Diane pendant 17 ans!!! Je l’ai très bien tolérée, peau nickel…. mais ma libido avait disparu complètement!! J’ai 35 ans et j’ai décidé d’arrêter la pillule il y a 1 an. 3 mois plus tard, je n’ai pas échappé au pire: acné sur le front et les mâchoires, peau grasse, et perte de cheveux en masse. Au bout de 6 mois j’ai consulté un dermato, qui connaissait très bien le problème, et qui m’a parlé de la spironolactone. Là, j’ai dit: ah non, pas encore une hormone!! Mais en fait, rien à voir, ce n’est pas une hormone! c’est un médicament à la base contre l’hypertension, qui agit en bloquant les récepteurs androgéniques. Contrairement à Diane 35 qui empêche leur production, la spironolactone elle ne l’empêche pas, mais masque leur effet. 1 mois après avoir commencé ce traitement, mon acné a totalement disparu, et ma peau est redevenue moins grasse. La dermato m’a dit qu’il fallait prendre ce traitement pdt 1 an, le temps que la production hormonale se régule d’elle même… Ca fait 1an, et je redoute un peu l’arrêtn mais ma dermato m’a dit qu’il n’y aurait pas d’effet rebond… on verra, mais en tout cas, ça m’a permis d’éviter le rush de la 1ère année…
Voilà, je partage cette info, car il est très rare d’entendre parler de ce traitement sur les forums!!
Bonjour Marjo et merci pour l’info !
Bon, je sais d’avance que certaines ne voudront pas à nouveau prendre un médicament mais sait-on jamais pour les cas désespérés qui n’en peuvent plus de criser devant leur glace chaque matin…
Bonjour à toutes,
Merci infiniment pour cet article que je relis régulièrement et qui m’encourage. J’ai 28 ans, j’ai pris la pilule Jasminelle pendant 10 ans et j’ai arrêté d’un coup il y a 14 mois (je ne savais pas ce qu’était le sevrage). Au bout de 10 ans de pilule : peau parfaite, aucune douleur pendant les règles MAIS troubles de l’humeur, essoufflement, libido à 0, migraines, cellulite (et oui même sur ça cette bitc* de pilule a un impact, en tous cas pour moi).
Au bout de 14 mois d’arrêt de pilule : 3-4 boutons sur la gueule la moitié du mois (les 10 mois d’avant c’était pire), pores dilatées, perte de cheveux qui s’est enrayée avec un traitement oral + local, quelques douleurs pendant l’ovulation MAIS moins de variations d’humeur, plus d’essoufflement, libido d’un lapin à l’adolescence, plus de migraines et quasiment disparition de la cellulite …
Contraceptif : préservatif, si si je vous jure c’est très bien .. j’ai jamais compris ce procès fait au latex. Les mecs qui disent qu’ils n’aiment pas c’est juste qu’ils ont de l’appréhension lors du moment M.
Honnêtement pour les filles qui hésitent encore : cette pilule c’est de la MER**
Allez bisous et courage aux meufs qui comme moi passent 2h devant le miroir de la salle de bain pour voir si entre temps leur bouton a baissé de volume.
PS : faîtes pas la même erreur que moi : n’essayez pas d’assécher vos boutons c’est PIRE
Je me reconnais tellement sur l’aspect « zéro libido » devenu désormais « comme un lapin en à l’adolescence ». Les filles, essayez, c’est révolutionnaire !
Bonjour Babou,
Je me permets de te remercier pour ton témoignages car j’ai également arreté la pillule après 15 ans. J’ai été ravagée par l’acné. Du coup je me demandais pourquoi assécher les boutons ne fait qu’empirer?
Merci beaucoup.
Elodie
Bonjour Sabrina ,je poste régulièrement pour donner des nouvelles de mon arrêt de pilule qui m’a entraîner une alopécie androgénique enfin selon le corps médical parce qu’ils n’ont pas l’air d’en savoir plus que moi même parfois moins, difficile à assumer mais je voudrais savoir ce que toi et les lectrices pensent,car d’après mes recherches je ne suis pas là seule à qui on a prescrit en première intention cette pilule qui n’avais pas aucun soucis capillaire avant de prendre diane 35 et qui des le premier arrêt à enclencher un processus de sensibilisation à la dht ou hormone mâle des cheveux , je me suis lancer pour projet d’écrire un livre sur ce sujet et quelques pistes de solutions autre que la pilule ou minoxidil(qui est assez dangereux quand on sais que en réalité sa agit sur les glandes endocriniennes et pas juste comme vasodilatateur je fais des recherches je teste des traitements , j’aimerais participer à ma façon pour aider les femmes et jeunes filles à accepter ce genre de problème et ne pas croire que la pilule guérit elle ne fait que masquer le temps que l’organisme la supporte , alors Les filles attention avec les hormones sa peut déséquilibrée l’organisme sur le long terme , merci Sabrina de ton travail de journaliste sans partie pris je lis tout tes articles
Bonjour Laura, merci pour ton message et je t’envoie toutes mes bonnes ondes pour ton livre même si je sais le sujet être très complexe. D’ailleurs, je prends mon temps, mais je rédige moi-même un guide l’après-pilule au naturel et la difficulté c’est que chaque femme a, de base, un climat hormonal différent puis qu’ensuite chacun prend un produit différent… En tout cas j’ai suffisamment entendu de témoignages comme le tien pour prendre le sujet au sérieux et ne pas nier qu’il yait sûrement un lien, reste à trouver lequel et comment le traiter pour agir dessus !
Bonjour Sabrina,
j’avais déjà posté il y a quelques temps suite au sevrage de Jasmine et 1 an apres. Résultat des courses, presque 3 ans après l’arrêt de la pilule mon acné n’a tjs pas disparu et au contraire même. Pourtant j’ai essayé énormément de traitements, qu’il soit naturels ou pas. Et il semblerai que mon pb soit hormonal, et quil remonte à l’adolescence. Je devais déjà etre opk avec un taux de testostérone élevé. Je n’ai pas eu d’acné sous Jasmine grâce à la drospirenone, un anti androgènes puissant. Du coup, difficile de n’envisager autre chose que Jasmine. Étant donné que je voyage bcp pour le moment, je ne vais pas avoir le choix de reprendre la pilule à mon grand désespoir.. surtout que je commemcais à bien connaitre mon corps grace à la symptotermie…
Voilà pour la petite histoire.
Je sais qu’on est carencé en oligo-éléments, vitamines et minéraux quand on est sous pilule. Pensez vous qu’il peut être utile de prendre un mix de compléments alimentaires, ou faire des cures pour aider le foie à detox toutes ces hormones de synthèse ? Cure de spiruline, chlorelle ou autres… j’espère pouvoir arrêter des que ma situation sera plus stable et continuer avec une cure de gattilier et autres plantes hormones-like.
Voilà si vous avez d’autres bons conseils je suis preneuse 🙂
Merci !!
Bonjour océane, à nouveau je ne vous donnerai pas de conseils médicaux, en revanche oui une cure pour soutenir le foie et l’aider est toujours bienvenue et concernant les vitamines c’est aussi délicat car une prise “automatique” sans prise de sang n’est pas recommandée puisqu’elle peut entraîner une surdose de telle ou telle vitamine (ce qui peut mener à certains problèmes de santé) aussi si vous voulez vous supplémenter en vitamines il faut d’abord faire des tests sanguins, ne le faites pas à l’aveugle. Bon courage et n’hésitez pazs à regarder du côté des autres méthodes de contraceptions non hormonales si a vôtre vous pèse : DIU (stérilet), préservatif, diaphragme…
Bon courage !
Merci pour vos conseils, Le seul soucis avec les autres moyens contraceptifs c’est que mon acné recidive, étant opk la seule solution est de supplementer mon alimentation en anti androgènes, Comme avec la drospirenone que l’on trouve dans la pilule Jasmine. J’ai vu que le palmier nain pouvait être efficace. Je vais l’allié au gattilier pour voir si mon acné s’améliore, sinon je n’aurais pas le choix que de reprendre la pilule, pour un temps.
Que pensez vous des traitements naturels comme Le Resveratrol, ou encore La N acetyl cystéine, Licorice glycyrryzha glabra (réglisse) pour réduire les androgènes ? Lesquels sont les plus efficaces ? Je prends déjà du gattilier pour réduire la testo mais apparemment pas assez puissant…
merci 🙂
Je pense qu’il faut prendre avec précaution tout traitement, même naturel ou phytothérapeutique qui joue sur les hormones, ceci dit bien pris ça peut aussi faire des miracles donc il faut essayer selon ses envies. Il a également par exemple le complexe Prepause (pour l’hyperoestrogénie de la préménopause, donc idem pour remonter la progestérone, je suis moi-même en train de tester). Mais avant tout il est certain qu’il faut agir sur le foie car c’est lui qui synthétise/épure nos hormones ou surplus donc il faut avant de commencer tout traitement s’assurer que le foie est opérationnele et non engorgé sinon cela peut s’avérer contreproductif.
Bonjour , merci pour ce site qui est une mine d’or …
Je vais arrêter ma pilule Daily Gé pour projet bébé et aussi je ne veux plus d’hormones dans mon corps oh plus jamais !
J’ai déjà arrêter la pilule pdt 7 mois l’année dernière mes règles sont revenues tt de suite et pas grand chose à signaler…pour x raison j’ai repris la pilule il y un an en septembre 2017 et là le carnage vertige pdt un long moment et surtout une acné hormonale constante jusqu’à ya pas très longtemps … je n’ai que deux ou trois boutons à l’approche des règles maintenant…j’ai l’impression que mon corps a accepté la pilule ( je sais pas pourquoi j’ai persisté avec tous ses effets secondaires ) ou ma routine naturelle a bcp aider pour éradiquer cette acné hormonale , je n’en sais rien …
Pensez vous que ma pilule ai pu me donner cette acné hormonale ? Vous l’avez bien compris j’ai très peur de retrouver cette acné hormonale à l’arrêt comme beaucoup , ça été très difficile à vivre ..
J’ai beaucoup hésité aussi à faire un sevrage mais comme je retrouve mes règles à chaque arrêt et n’ai comme effet secondaire que de « l’acné hormonale « je ne sais pas si ça vaut le coup …
Ah la la de tte façon faut l’arrêter donnez moi du courage …
Encore merci on se sent moins seule grâce à vos investigations …
Bonjour tout le monde,
Je prends diane 35 depuis 2ans et 7 mois exactement depuis MARS 2016 et je souhaite l’arrêter sans trop d’effet rebond (j’avais un peu d’acnée sur le menton), un sevrage de 2 mois serais suffisant vous pensez ?
je la supportais trés bien au tout début 0 effets secondaires et arrêt net mes boutons sur le menton au bout de 4 mois et puis tout à commencé à changer en AOUT 2017 soit 1 an et demi pile après mon tout premier cachet ! ( mon dieu que je regrette d’avoir complexer pour 3 pauvres boutons sur le menton .. que nous sommes bête nous les filles ;)), ma peau est toujours actuellement sans aucun bouton NOTHING mais … oui il y a un gros MAIS.
Ma peau est certe sans aucune imperfection mais elle est grasse sur les zone T oui sans acné 😮 je ne comprends pas … j’ai commencé en AOUT 2017 à développer une hyperseborrhée surtout au niveau du cuir chevelu grosse crise !! gras gras et encore gras … (absolument pas présente avant la prise de diane) et… le drame ! j’ai vécu l’automne 2017 (OCTOBRE-NOVEMBRE) comme l’enfer ? oui c’est le mot 🙂 perte de cheveux sous la douche en masse !!! et puis l’automne est passé m’amputent tout de même légèrement de ma masse globale mais je me suis dis que ça passerait aha … la séborrhée était toujours là. Ma chute c’est calmé nettement !, presente tout de meme plus que la normale mais moins que c’est deux mois d’automne il faut l’avouer. malgré les vitamines pour les cheveux ect .. pas de miracle ! et la rebelote automne 2018 OCTOBRE nous sommes à peine le 7 et je vois deja ma masse souffrir alors que j’avais les cheveux avant ça, tres epais, depuis je l’ai trouve plus fin malheureusement.
rebelotte pour cet automne en MASSE sous la douche … donc je commence à me demander si ma chère diane ne serait pas entrain de me flinguer niveau hormonal 🙂 vous voyez ?
mon cas est un peu particulier car je le vis en ce moment même ! donc seul solution qui s’offre à moi: arreter diane et voir ce qui ce passe sans hormones ! la grande aventure quoi ! je continuerai de témoigner pour l’évolution de mon cas ! de toute façon faut tenter car là c’est une catastrophe entre la perte de cheveux et la séborrhée il est temps que j’agisse !
Voila voila
😀
Bonjour Genfama,
Oui, il est tout à fait possible que les chamboulements hormonaux soient reliés à ces problèmes capillaires divers mais personne ne pourra vous dire quelle doit/peut être la durée d’un sevrage puisqu’il n’y a aucune étude là-dessus. Si vous souhaitez arrêter la pilule ce sera à vous de décider comment et il n’y a pas de règles, certaines réagissent d’une manière, d’autres d’une autre (comme chaque pilule est différente et chaque corps aussi). Bon courage et n’hésitez pas à revenir témoigner ici, vous trouverez sûrement du soutien 🙂
Bonjour j’ai vu ton message je me permets de te répondre car j’ai eu pas mal de soucis avec mes cheveux à cause de la diane moi j’ai commencé à perdre mes cheveux à sone premier arrêt à mes 18 ans je l’ai donc reprise, arrêter plusieurs fois et il est vrais je n’avais pas de bouton mais peau grasse mes cheveux étaient bizarre mais on me disait il me fallait prendre la pilule pour éviter l’alopécie , j’ai aussi essayer le minoxidil qui une fois arrêter accélére la chute pendant un temps , j’ai tout arrêter d’un coup il y a un an et demie , j’ai eu des symptômes boutons peau encore plus grasse odeur de transpiration cheveux qui parte en masse avec troux mais je te rassure il faut que le corps se réajusté tout s’est réguler je n’ai plus de bouton plus de problème santé je maigris mes cheveux j’ai encore un trou au dessus du front et sur les coté sa c’est épaissie, je fais des séances de led sur le cuir chevelu sa m’aide beaucoup et sa traite l’alopécie en tout cas je préfère être clairsemée et en bonne santé que avoir plein de cheveux mais subir des effets secondaire affreux bon courage
OUI C’EST AUSSI CE QUE JE PENSE LAURA !
j’arrête la pilule de façon progressive sur 6 mois (même si ça ne fait que 2 an et demi de prise de diane) !
si pour moi il s’avère que ce soit une alopécie androgénetique je préféré être clairsemé et en bonne santé ! surtout qu’a la base j’ai pris diane pour un probleme d’acné tres leger AUCUN PROBLEME DE PEAU GRASSE ET ENCORE MOINS DE CHEVEUX …. j’ai du toujours avoir un taux d’androgène élevé c’est de famille donc l’important est de ce soigné naturellement et viré toute ses hormonses de synthese qui masque tout.
il faut un peu de courage enfaite aha
Bonjour les filles, je viens apporter mon témoignage aux nombreux autres. J’ai arrêté ma pillule Jasminelle par sevrage au mois de Mars 18 (malgré les avis négatifs de mon entourage). J’avais, étant adolescente, de l’acné et il m’était inconcevable de retrouver cette peau à 28 ans ! Voila pourquoi j’ai choisi de me sevrer. J’ai fait cela pendant 5 mois et j’ai arrêté définitivement en Aout 2018. Pour le moment, je m’aperçoit que ma peau à tendance a être plus grasse ainsi que les cheveux, j’ai quelques boutons lors de mes règles mais rien de très grave, je perds par contre beaucoup mes cheveux !!! Niveau Humeur, je me sens tés bien dans mes baskets, et je ne regrette pas l’arrêt de ma pillule. Bon courage à toutes !
Merci Frappa pour le témoignage (et te souhaitant que tout aille bien car, même avec sevrage progressif, il faut souvent attendre 3/4 mois sans rien du tout pour voir si des effets secondaires type acné arrivent… ou pas !). Bises.
Hello, j ‘ai arreté Jasminel depuis 6 mois et je perds enormement de cheveux
je suis très inquiète. As tu repris la pillule après ? As tu récupéré de la masse ?
As tu pris la décision d’arreter finalement ? comment ton corps a t’il réagit ?
Merci beaucoup
Bonjour Cécile, tout est expliqué en détail (et mis à jour dans les plusieurs volets de l’article indiqués en début d’article). Donc, non je n’ai jamais repris la pilule et mes cheveux sont bien mieux depuis (malgré une chute de cheveux suite à l’arrêt), comme chez de nombreuses femmes (et comme pour beaucoup après une grossesse, par exemple), cette chute est uniquement hormonale et temporaire, beaucoup semblent même retrouver plus de masse de cheveux après l’arrête de la pilule qu’avant.
Pour tes autres questions, j’y réponds largement dans l’article ci-dessus, je me sens beaucoup mieux. Enfin si tu veux encoooore plus de détaisl je te conseille d’acheter J’arrête la pilule, mon enquête d’une année sur la pilule qui contient bien plus d’informations et des informations qui ne sont pas “que” mon témoignage mais des informations qui touchent toutes les femmes 🙂
Bonjour Sabrina,
Mon commentaire sera très différent des autres… J’ai commencé mon sevrage en février j’ai choisi de le faire lentement car il y a une quinzaine d’années de cela j’avais déjà essayé d’arrêter la pilule (Diane) et j’avais été frappée d’acné. C’était terrible, j’ai attendu 3 mois et je l’ai reprise. Je n’ai pas vraiment de désagréments quand je prend la pilule (maintenant Moneva) mais c’est vrai que ça me fait bizarre de me dire que depuis mes 15 ans je prends des hormones, j’ai bientôt 39 ans.
J’ai donc commencé un sevrage long pour que ça se passe le mieux possible, et si tout d’abord j’ai vraiment appréhendé le retour des boutons ce n’est pas ça qui me fait hésiter pour pas dire que je pense la reprendre. Effectivement, au mois d’avril j’ai pu constater un retour des imperfections et surtout des points noirs mais rien d’insurmontable, ni de dramatique. Par contre, ce que je n’avais pas envisagé c’est l’effet sur l’humeur. Moi je suis d’une nature gaie, heureuse certes un peu angoissée mais ça va. Seulement voilà depuis le mois de mai je suis d’une vulnérabilité effrayante et je pleure au moins une fois par jour, mon ciel est devenu tout gris… Je remets en question l’ensemble de mes choix, de ma vie… C’est insupportable pour moi et j’en arrive à me dire que si mon corps, et surtout ma tête, a besoin de ces hormones tant pis, parce que là c’est ingérable…
Beaucoup de gens me disent que j’ai fait un long chemin et que je devrais “supporter” un peu tout ça car ça finira par aller mieux… C’est facile d’avoir un avis mais on fait tous et surtout toutes comme on peut avec nos propres ressources…
Mon principal regret ce n’est pas de la reprendre, cette expérience m’a permis de constater qu’il fallait que je travaille des choses sur moi et puis je ne dois rien à personne, non ce qui est triste c’est d’avoir commencé et en même temps à l’époque c’était la contraception idéale. A 15 ans je n’avais pas particulièrement d’acné pour prendre absolument Diane mais je voulais une peau “photoshopée”, aujourd’hui mon corps semble ne plus savoir fonctionner et la pilule lui apporte un certain équilibre, visiblement…
Je ne veux surtout pas que mon témoignage soit vu comme un découragement, il illustre que nous sommes toutes différentes et que les surprises de l’arrêt ne sont pas toujours celles que l’on croit… A toutes celles qui ont réussi : bravo le chemin est compliqué, aux autres : l’important c’est de faire ce que l’on juge le mieux pour soi comme on peut le supporter, et toujours avec bienveillance.
A Sabrina, un grand merci d’avoir soulevé cette question et encore félicitation pour votre ouvrage !
Bonjour Coralie et mrci pour ton témoignage.
Tout d’abord saches qu’ici tu ne seras jamais jugée, en tout cas certainement pas par moi qui suis en totale empathie avec toi car je sais, pour l’avoir vécu, ce que tu ressens. C’est déjà assez difficile à vivre, on ne ve pas en plus se juger !
Je t’envoie au contraire tout mon soutien et je suis en revanche très triste, voire en colère, à la lecture de témoignage de femmes bloquées comme toi dans la prise d’hormones synthétiques, devenues un cercle vicieux (ce que je raconte dans le chapitre 4 du livre).
Quand j’ai traversé ces bouleversements hormonaux à l’arrêt, j’ai souvent pensé que j’allais reprendre ma pilule. C’était insupportable, horrible, cela impactait toue ma vie privée, professionnelles (d’où ma colère que ce ne soit pas mieux pris en charge par la médecine, trop souvent impuissante, voire qui ne croit pas en l’existence, de ce phénomène). Je suis donc plutôt très triste et pleine d’empathie à la lecture de ton témoignage et je te remercie d’être venue ici te confier, je suis sûre que cela en aidera certaines, quel que soit le choix final <3
Toutes mes bonnes ondes pour la suite de ton parcours contraceptif 🙂
Bonjour Sabrina,
Tout d’abord merci pour tes articles sur l’arrêt de la pilule, je l’ai relis régulièrement pour garder le moral.
Je me suis sevrée de Diane 35 en commençant fin septembre 2017. Après un sevrage de 7 mois (espacement des comprimés), j’ai pris le dernier comprimé le 20 avril.
Depuis je suis libre !!!
Par contre niveau peau c’est très bof, mon acné a changé de nature (plus trop de microkystes mais des bosses rouges qui poussent et qui parfois sortent :/ pas glamour).
Je n’ai pas de perte de cheveux mais la peau et le cuir chevelu qui graissent plus vite.
Et là je viens de l’apprendre : des ovaires micro polykystiques. J’espère que c’est juste dû au sevrage/ arrêt de la pilule. Je n’ai plus de règles depuis le début du sevrage (même pas de spotting).
Est-ce que selon ton expérience et les témoignages recueillis, c’est un effet “fréquent” lié à l’arrêt de la pilule ? Je l’ai prise au moins 10 ans..
Je ne baisse pas les bras, même si l’acné est difficile à vivre pour moi (j’ai déjà eu 3 traitement roaccutane !! pour une acné modérée mais persistante).
J’ai un traitement à base de plante donné par mon médecin + fer car j’ai une grosse carence. Je mange équilibré (pas de produits industriels, pas de lait/viande/poisson/oeufs, bcp de légumes, graines, légumineuses etc), fait régulièrement du sport..
J’ai commencé il y a 20j le gattilier + tisane achillée.
Avec tout ça j’espère réduire au max les effets et comme tu le dis, ça finira bien par s’arranger avec le temps, il faut juste être patient..
Merci encore pour tous tes conseils sur ce site !
Amélie
Mlaheureusement impossible de savoir sic ela est dû ou pas aux hormones de synthèse…
Salut Amélie
Personnellement je suis intimement convaincue que c’est la pilule ou son arrêt (4 ans de Jasmine) qui a provoqué le SOPK chez moi. J’étais réglée comme du papier à musique avant de la prendre, j’avais déjà fait des échos qui ne montraient aucun problème. Je suis dégoutée car j’en souffre depuis 1 an et demi que j’ai arrêté la pilule et cela ne va pas en s’arrangeant car j’ai des douleurs de plus en plus souvent. Là tout de suite j’ai mal à mon ovaire droit, ça me lance carrément dans la jambe quand je la soulève quand je marche :/. Niveau poids pareil c’est de plus en plus compliqué car je prends du poids sans raison et impossible de le perdre, ce qui est un des effets du SOPK.
J’ai pourtant eu mes règles il y a 3 semaines au bout de 7 mois (!) grâce à quelqu’un sur cette page qui m’a conseillé de prendre Feminagem. Je ne veux pas crier victoire trop vite et je reste prudente mais je continue à le prendre en espérant avoir mes règles le prochain coup.
Je ne sais pas quoi faire pour ces fichus kystes. C’ets fou le nombre de femmes qui en souffrent. J’ai lu des choses intéressantes sur les cataplasmes d’huile de ricin, je vais tenter le coup. Niveau alimentation je mange sainement à et indice glycémique bas, donc à ce niveau là je ne peux pas faire grand-chose. Parfois je pense carrément à une ablation de mon ovaire droit si ça ne s’arrange pas…
🙁
Si ça peut vous consoler, je prépare une suite à J’arrête la pilule avec un “guide pratique de l’après-hormones au naturel” pour vous donner un maximum de pistes naturelles pour arrêter de souffrir et ne pas en arriver à de telles extrémités. Vraiment triste…
Super nouvelle! “Comment gérer les désagréments du SOPK que la pilule vous a gentiment provoqué à l’insu de votre plein gré?”
Ca ça y sera bien sûr et en bonne place !
La question sera même “comment s’en débarasser” (beaucoup de filles n’en ont plus après quelques mois/années) 🙂
Sabrina, hâte de lire ton prochain article ! Merci pour tout ces bons conseils en tout cas, ca m’a bcp aidé ✌️
Avec plaisir mais ce ne sera pas un article mais … un livre entier ^^ 🙂
Salut lili,
Tout d’abord ya vraiment pas de quoi c’est avec plaisir que je partage tous ces bons conseils en espérant que ça marche
Concernant le régime ma naturo ma bien dit de carrément éradiquer tout ce qui pouvait provoquer une inflammation dans l’organisme donc le gluten, les produits laitiers et aussi le sucre également. (Au moins pdt 3 mois et après tu réintroduit petit à petit et tu vois si ton corps le supporte) Elle m’a parlé aussi de monodiet pour nettoyer l’organisme ou si tu te sens à l’aise avec le jeune c’est conseillé aussi. Et De manger le plus possible de légume cru, en jus ou cuit à la vapeur..
Après elle m’a prescrit un traitement homéopathique pdt 4 mois.
Honnêtement je n’ai pas tjs suivie sont traitement à la lettre il m’arrive parfois de faire des écarts mais depuis que j’ai changé mon alimentation et que j’ai commencé mon traitement je suis de nouveau bien réglée !
Je vais refaire une prise de sang dans 2 mois pour voir si mes kystes ont diminués je t’en dirai des nouvelles 😉
Merci de m’avoir répondu Océane.
Ma naturopathe m’a aussi parlé de faire des diners mono diète detox à base de légumes verts vapeur, mais rien de plus.
Si je fais tout pareil que toi on verra bien si mes symptômes s’arrangent! Tu me redonnes espoir! Mais j’ai besoin de plus de précisions. Par exemple quand tu dis éradiquer le sucre, est-ce qu’on peut quand même manger des fruits ou des aliments comme du chocolat à 70% (oui parce que hum, une journée sans chocolat pour moi c’est une journée de perdue ^^)? Et ton traitement homéopathique, de quoi s’agit-il?
Hey lili,
pour les fruits ya pas de soucis mais le matin de préférence au petit dej. La monodiet tu peux la faire sur 3 jours pour nettoyer ton foie et après ca elle m’a conseillée de faire au moins 1 jour de jeune par semaine ou alors si c’est trop tu peux commencer seulement 1 jour par mois quand tu as tes règles. Par contre elle m’a bien dit plus de chocolat, ni de sucrerie ou sucres transformés, sauf les fruits. Plus de café non plus. Ni de produits transformés, ni de gluten, ni de produits laitiers. Pour le traitement c’est un cocktail de plantes fait spécialement pour moi par rapport à ce que j’ai (dont le SOPK) je pourrai pas te dire exactement ce que c’est mais tu peux demander à ta naturopathe quelle te prescrive un traitement similaire. Si tu veux je t’envoie la composition. J’ai 7 flacons et je dois prendre 20 gouttes de chaque, chaque jour matin et soir. Ma naturo et également gynécologue ce qui aide bcp. Je sais pas où tu habites mais si tu le souhaites je peux te donner son adresse !
Wow effectivement c’est un traitement de choc. Mais je suis prête à essayer même si ça risque d’être dur, surtout qu’il ne s’agit que de quelques mois. Voici mon adresse mail pour que tu puisses m’en dire plus sur ta naturo et sur ton traitement à base de plantes: [NDLR j’enverrai ton adresse mail à Océane pour éviter de la divulguer ici Sabrina] . Je suis en région parisienne. Peut-être fait-elle des consultations par téléphone ou Skype?
Intéressant cette idée de monodiète pendant les règles. Moi c’est en en période péri-ovulatoire que mes kystes me font le plus souffrir.
En tout cas c’est super que tu aies pu trouver une gynéco qui soit naturo, ça ne court pas les rues, et que tu aies vu des résultats positifs.
Salut Amélie, j’ai lu ton commentaire et on est pas mal dans le même cas que toi. J’ai pris Jasmine pdt 7 ans et à l’arrêt de celle ci j’ai développé un SOPK, amenorrhée pdt plus d’un an, c’est revenu petit à petit en allant voir une naturo qui m’a mit sous homeo pdt 4 mois avec un régime hard (pas de gluten ni de produits laitier ni de sucres !!!) c’est revenu au bout d’un mois et Jsuis bien réglées depuis je me suis même mise à la sympto termie pour avoir un bon suivie de mes cycles ! (J’ai également un stérilet mais je compte l’enlever, c’est apparemment mauvais quand tu as un SOPK car ca induit une inflammation). Jai fais Roaccutane comme toi mais c’est revenu, moins dur qu’avant mais quand même et en plus de ca mtn je fais des allergies au soleil donc pas top. Par contre, jai testé un ptit remède miracle c’est un probiotique issue d’une fermentatation en cascade de legumes, fruits et minéraux. Idéale pour réparer ta flore intestinale qui doit être enflammée suite aux nombreux traitements chimiques. Ca s’appelle Regulatpro du Dr. Niedermier tu peux le trouver en bio et ca marche aussi sur la peau pour l’acné tu mets la moitié du regulat avec la moitié d’eau dans un flacon et tu t’en mets avec un cotons sur le visage matin et soir. Ta peau va nettement s’améliorer ! Et pour les cicatrices d’acné si tu en as moi j’utilise de l’huile végétale de Calophyllum avec de huile essentielle d’helichryse italienne que tu trouves en bio également. Tu mélanges 3 pression de calophylle avec seulement 1 goutte d’helichryse dans ta main et tu masses ton visage avec pdt au moins 5 minutes ! Pour revenir au SOPK si tu réduits l’inflammation avec une alimentation équilibrée et de l’homéopathie tout rentrera dans l’ordre 😉 bon courage à toi ✌️
Merci beaucoup pour ces pistes de conseils et pour le témoignage détaillé, très intéressant ! 🙂
Salut Océane, merci pour tes conseils. C’est vraiment chouette d’avoir cette page pour pouvoir s’entraider.
Pourrais-tu nous donner plus de détails sur ton régime anti SOPK?
Ma naturo m’a dit que mon alimentation était nickel et qu’il n’y avait pas grand chose à faire de côté là, mais quand je vois l’aspect drastique de ton régime je me dis que je n’en suis pas là et que j’ai peut-être une carte à jouer. Ma naturo m’a juste parlé de faire des espèces de diètes detox (que des légumes verts cuits à la vapeur au diner), mais je ne sais plus sur combien de jours il fallait le faire pour pouvoir assécher un kyste douloureux.
Je mange un peu de gluten (mais le moins possible: 1 Wasa Fibres ou 30g de muesli max par jour), un peu de fromage le matin ou le midi, et le sucre que je mange c’est celui présent naturellement dans les fruits ou compotes sans sucres ajoutés ou encore dans mon chocolat noir à 70%. Parfois je me fais plaisir et occasionnellement je vais manger des biscuits beurrés du commerce ou un gâteau fait maison avec du sucre de coco.
Merci Océane et merci à toutes pour vos réponses 🙂
Sabrina, j’ai hâte de lire ton livre sur le post-pilule !
Je pense que je vais tenter le sans gluten, on va dire que c’est la dernière chose à tenter dans mon cas…
J’ai de l’huile de calophyllum dans mes placards, je vais la ressortir.
Courage à toutes !
Hey! j’ai 18 ans et je prend la pilule depuis plus d’un an. Après être passé par trois pilules en si peu de temps, j’ai décidé d’arrêter la pilule, et de passer à un stérilet sans hormones. ma première pilule me donner des sueurs nocturnes, et j’ai arrêter la seconde pour une pilule contre l’acné (Triaphémi) que je prends depuis maintenant 7 mois, qui marche très bien pour mon acné… Mais voila, j’ai fini par me rendre compte d’une accumulation d’effets indésirables qui au départ ne m’avaient pas parut en lien avec la pilule: peau sèche, ongles plus aussi longs qu’avant, maux de tête trop fréquents, baisse de la libido, humeur changeante sans aucune raison : agressivité et pleures, je n’ai jamais autant pleuré en si peu de temps pour des raisons aussi peu insignifiantes.
Alors aujourd’hui j’arrête d’empoisonner mon corps et je reprends le contrôle de celui-ci, en sachant très bien que je vais mal vivre le retour brutal de mon acné, j’espère parvenir a dompter ma peau avec les produits les plus naturels possibles comme les huiles essentielles, etc.
La pose du stérilet se fera le mois prochain, et j’ai hâte car je ne supporte plus mon comportement avec cette impression d’être constamment agacée et “dépressive”!
Soyons fortes ensembles pour reprendre les rênes de notre corps!
Merci pour ton témoignage Hélena, je te souhaite le meilleur !
Bonjour,
Voici mon expérience 1 an après l’arrêt de Diane 35.
J’ai pris Diane 35 pendant 19 ans (dés l’age de 15 ans et jusqu’à mes 34 ans). Cette pilule m’a donné une peau superbe et m’a aidé à prendre confiance en moi. Mais pour diverses raisons il était temps d’arrêter.
J’ai commencé le sevrage en mars 2016, j’ai fait un sevrage sur une période de un an. C’est un peu long mais je l’ai fait comme je le sentais et j’ai attendu d’être vraiment prête dans ma tête pour l’arrêter (car soyons honnête, le retour des boutons sur le visage, c’est très difficile à vivre et il faut absolument être prête pour ne pas craquer).
Pendant l’année de sevrage, rien de spécial, aucun changement flagrant, j’ai diminué les doses très très lentement. Puis en mars 2017, j’ai franchit le pas d’arrêter complètement.
Après quelques semaines, ma peau et mes cheveux sont devenus TRES GRAS.
Pour les cheveux….j’ai pu gérer avec un shampoing par jour (alors qu’avant je n’en faisais qu’un par semaine).
Par contre pour la peau c’était plus compliqué car plus je nettoyais ma peau plus le sébum apparaissait. Je brillais seulement 30 minutes après le nettoyage. Donc à la fin de ma journée de travail…je vous explique même pas à quoi je ressemblais. Et les boutons sont revenus progressivement. En juillet: une dizaine de boutons en permanence sur le visage et également dans le dos.
On relativise toujours en se disant qu’il y a toujours pire que son propre cas mais c’est très très difficile à vivre et l’estime de soi en prend un coup. J’allais me coucher en pleurant et quand je me levais et que je passais dans ma salle de bain, j’avais envi d’aller me recoucher pour que personne ne voit mon visage.
“Petit point positif, j’ai perdu 6 kg (en 6 mois) sans rien changer à mon alimentation puis mon poids s’est stabilisé tout seul.”
Entre juin 2017 et décembre 2017, j’ai essayé différents produits pour peau acnéique.
Au final, voici mon rituel quotidien (ce n’est qu’à titre informatif):
Au réveil : Eau micellaire Bioderma + poudre libre 100% minérale
En soirée: Curaspot (maxi 2 minutes) + gel aloévera juste après (pour hydrater)
Avant de me coucher: Eau micellaire Bioderma + si besoin gel Hyaluspot Vichy normaderm application ciblée sur le bouton
Une fois semaine je fais également un maque à l’argile (de chez Vichy Normaderm)
Pour info:
– Les premières fois, j’ai appliqué Curaspot 5 minutes en pensant que ce serait plus efficace….grosse erreur, j’ai eu la peau brulée (comme un maxi coup de soleil) en quelques jour d’application. Donc si vous souhaitez essayer Curaspot je vous conseille d’y aller progressivement pour voir comment réagit votre peau.
– J’ai essayé une crème de jour “spécial acné”, une BB crème “spécial acné” et dans mon cas, ma peau était nettement moins grasse quand je ne mettais aucune crème.
– La poudre 100% minérale : je trouve que c’est le top pour matifier et absorber le sébum. J’en mets 2 ou 3 fois dans la journée et j’absorbe le sébum avec un mouchoir en papier avant de remettre de la poudre. En plus c’est simple à transporter dans mon sac à main et c’est facile à appliquer.
Mi décembre, j’ai fait quelques recherches sur internet et depuis début janvier 2018 je ne suis lancée dans un régime alimentaire anti acné. Il y a une grande amélioration dans mon dos (qui est nickel). Pour le visage, il y a du mieux également (la période des règles est encore un petit passage délicat pour ma peau. je ne désespère pas). Pour ce régime, je ne vais pas rentrer dans les détails, mais globalement j’ai arrêté tous les produits laitiers et tous les aliments avec un fort indice glycémique (je vous laisse chercher sur internet pour vous faire votre propre avis).
Voili, voilou….BON COURAGE à toutes celles qui ont de l’acné !!!
Audrey
Bonjour Audrey et merci beaucoup pour ce témoignage qui, j’en suis sûre, en intéressera plus d’une ! 🙂
Bonjour Sabrina bonjour à toutes et tous je viens de relire tout ces nouveaux messages sa me donne du courage pour continuer dans ma voie naturelle même si c’est très dure aujourd’hui j’ai 31 ans je me suis regarde dans le miroir et le bilan pas Jojo j’ai perdu et je perd tous un tas de cheveux de repousse chevelure extra clairsemé au dessus du front méga trou pourtant je ne veux pas reprendre de pilule car c’est elle qui m’a fais sa pour preuve aucune femme dans ma famille n’a sa que des beaux cheveux épais souple toutes mes analyses sont bonnes pas de sopk pour mon acné post arrêt diane 35 ça se calme j’ai une belle peau grâce à la bardane pensée sauvage , spiruline, sa va faire 8 mois d’arrêt prochaine étape me raser la tête
Franchement en plus je suis en recherche d’emploi sa le fait pas merci les labo pharmaceutique tu as bien fait de parler des méfaits de la pilule car c’est réel courage et plein d’ondes bio et positive
Merci Laura ! 🙂
Bonjour,
Ce n’est pas la première fois que je viens relire cet article avec l’envie de retrouver espoir.
Cela fait exactement 8 mois où j’ai arrêté totalement Androcur après un an de sevrage. Aujourd’hui, je fais toujours face à plusieurs microkystes et points noirs, surtout en fin de cycle…
Je ne vois pas le bout personnellement malgré tous mes efforts (sport, sommeil, produits clean et doux…)
Pensez-vous qu’il faut que je patiente encore, et pour combien de temps minimum?
merci
Pour certaines cela peut mettre des années. Il faut comprendre qu’un dérèglement hormonal (ou un dérègelment hormonal qui était là mais masqué par la prise de pilule) prend du temps à se réguler, parfois des années (dans mon cas encore plus de trois ans après ma peau n’est pas exactement celle d’une trentenaire…). C’est donc un choix propre à chacune qui dépend de notre degré de patience et de nombreux autres paramètres car il est vrai que vivre ces désagréments gâche réellement le quotidien. Ce qu’il faut savoir en tout cas c’est que je ne connais aucune femme qui a arrêté la pilule depuis plus de 5 ans et pour qui cela n’a pas fini par s’arranger. Il faut donc savoir que la patience est souvent récompensée en ce domaine, il n’y a souvent malheureusement pas grand chose d’autre à faire.
Bonjour Sabrina, je reviens faire ici pour faire un bilan après avoir écrit quelques messages sur mon début d’expérience.
Cela fait maintenant 15 mois que j’ai arrêté Jasmine totalement (après avoir fait un arrêt progressif de 6 mois), c’était en janvier 2017. Il y a tout d’abord eu une période difficile de transition avec mauvaises odeurs de transpiration, cheveux gras, une ENORME crise d’acné qui a duré plusieurs mois, j’avais pris 4kg, et d’après une écho j’ai développé un début de SOPK. Mais le principal problème qui a surgit post arrêt pilule c’est l’aménorrhée. J’ai eu mes règles une fois en avril 2017, une fois en septembre, et c’est tout! :/
Aujourd’hui j’ai toujours quelques petits boutons d’acné qui sortent régulièrement, ma peau n’est jamais nickel, elle est plus “rouge” qu’avant, je lave mes cheveux 2 fois par semaine, j’ai perdu 2kg (donc j’en ai toujours 2 en trop!), et je n’ai pas retrouvé mes règles. C’est incroyable cette histoire car je n’ai jamais eu de problème de cycle avant/pendant la pilule. Je suis allée voir 3 gynéco différents qui ne peuvent pas expliquer le phénomène. Mes analyses de sang, mes taux hormonaux sont normaux, donc ça ne les inquiète pas. Moi je dois avouer que ça me chiffonne un peu de ne plus avoir mes règles… J’ai essayé un tas de trucs pour les faire revenir mais rien n’a fonctionné. Je suis un cas mais voilà, ça existe. Malgré tout je ne regrette pas de m’être débarrassée de toutes ces hormones synthétiques dans mon corps.
Bonjour Lili, il semblerait malheureuseent au vu des témoignages que les pilules contenant de la drospirénone comme Jasmine génèrent plus de troubles à l’arrêt, y compris jusqu’à très longtemps après. Pour les règles, la prise de gattilier est ce qui semble marcher le mieux en naturel pour faire revenir les règles. As-tu essayé ?
Bonjour Sabrina, merci pour ta réponse.
Après un test au Duphaston négatif on peut affirmer que je suis en grosse carence d’oestrogènes/oestradiol (plus d’autres signes comme sécheresse, mauvais sommeil). Mes tests sanguins sont normaux mais c’est comme si j’étais ménopausée! Donc pas sûr que le gattilier soit utile. Je ne sais pas quoi faire, les médecins et naturopathes non plus… c’est perturbant tout ça :(. Je n’arrive pas à croire que Jasmine ait pu perturber à ce point mes hormones et qu’il n’y ait rien à faire.
Malheureusement (et pour le vivre un peu aussi), la prise d’hormones sythétiques (et surtout de progestatifs aussi puissants que la drospirénone contenue dans Jasmine) ne devrait jamais se faire à la légère, entre autres pour ces raisons. Tu fais partie d’une minorité malchanceuse mais qui existe, comme le démontre mon enquête. Si les professionnels ne savent pas quoi te dire je ne te serai pas d’une grande aide supplémentaire. Tout ce que je peux dire c’est que souvent le temps arrange les choses. Je ne connais aucune femme qui a eu de sproblèmes post-pilule qui ont duré plus de 5 ans, plus de 99,9 % des cas semblent “normalisés” après plus de 3 ans.
Pour le gattilier et autre souvent il faut tester pour voir (et tu n’as pas grand chose à perdre si tu as tout essayé). Mais si le naturopathe ne le conseille pas il doit avoir ses raisons. Si je t’évoque le gattilier c’est parce que de nombreuses femmes “désespérées” me contactant pour absence de règles après arrêt de la pilule ont toutes retrouvées leurs menstruations suite à la prise de gattilier, donc autant en parler, sait-on jamais.
Si cela peut te donner de l’espoir, je travaille actuellement à un livre pour vous donner des conseils concrets à l’arrêt de la pilule, pour parler des cas comme le tien.
Merci pour tes conseils Sabrina. Tu es toujours disponible pour répondre, c’est très rare et vraiment ça fait du bien de se sentir écoutée. On se sent moins seule! Je vais essayer le gattilier. J’ai lu qu’il pouvait assécher la peau, rendre anxieuse et d’autres trucs pas terribles, mais comme tu dis on ne sait jamais.
Avec plaisir Lili, c’est pour moi l’essence de mon métier 🙂
Concernant le gattilier beaucoup n’ont as les effets que tu mentionnes mais au contraire de nombreux bénéfices, il fut surtout faire attention à la surdose (sinon là c’est tensions mammaires et Cie assuré !) mais cela dépend surtout de si tu en as besoin ou pas en fonction de ton climat hormonal de base. Tu en as parlé à ton naturopathe ?
Je dois voir ma naturopathe dans 10 jours. J’espère qu’elle donnera son feu vert pour tester le gattilier car c’est ma dernière carte à jouer. Concernant mon “climat hormonal de base” je n’en ai aucune idée… tout est normal d’après les médecins, prolactine, LH, FSH. Le test au Duphaston négatif permet de dire que mon taux d’oestradiol est trop bas c’est tout. Mais c’est difficile d’évaluer les taux hormonaux quand on ne sait pas à quel moment du cycle on se trouve quant on fait le test sanguin.
Oui, et pour t’y aider, tu peux apprendre les rudiments de la symptothermie comme ça tu sauras 🙂 (cf. https://sympto.org/data/manual_fr_sympto.pdf)
Salut par expérience je te conseil le macerat cycle 21 de herbalgem grâce a celui ci mais règle reviennent tous les mois ceux sont des plantes qui régule tous sa marche aussi pour les poils et l’acné tu commence par cinq goutte par jour après tu vois si sa te convient moi j’en prend une dizaine de goutte pure sur la langue sa pique un peu mais sa marche tellement bien et le flacon de 50ml dure très longtemps essaye si tu peux moi sa ma permis de retrouver mes règles bon courage moi c’est surtout les cheveux ma galère mais grâce au bio ricin et huile essentielle …je ne serais pas chauve
Merci beaucoup Laura je viens de le commander! Je ne suis pas sûre de pouvoir prendre le gattilier avec par contre, je demanderai à ma naturopathe.
J’étais chez mon ostéo aujourd’hui car ça fait des jours que j’ai mal jour et nuit, que mon ventre est tout gonflé et dur. Diagnostic: un gros kyste qu’elle sent sous les doigts. Après 7 mois sans règles et des périodes pénibles comme en ce moment j’ai parfois envie de craquer et prendre rdv avec l’endocrino, qu’elle me prescrive un gel œstrogénique ou je ne sais quoi de synthétique pour faire revenir mes règles :/. Il faut que je tienne bon je crois…
D’ailleurs si quelqu’un connait un truc pour dégommer un kyste douloureux je suis preneuse!
Bonjour a toutes, bonjour Sabrina, je viens faire ici un bilan après 6 mois d’arrêt de Diane de 35. Je prenais Diane depuis 15 ans.
J’ai arrêté la pilule du jour au lendemain, sans d’insulter aucun médecin car j’ai quitté la France Pour l’Australie et consulter un médecin me revient beaucoup trop chère ici. J’ai 33 ans. Après 4 mois d’arrêt de la pilule, une acné très sévère est apparu sur mon visage, des kystes, sur les joues, la mâchoire, le coup. De très gros bouton rouge extrêmement douloureux. Ça en déformait mon visage. Je refuse de prendre un traitement pour ça. Pourtant, croyez moi, mon visage est catastrophique. Mais je veux croire qu’un jour, ça s’apaisera. A 33 ans quand même… concernant les cheveux, je n’aurai jamais cru ça, mais je les ai perdu terriblement. Moi qui avait de si nombreux cheveux a n’en plus finir.. je les vois se dégrader, s’affiner et disparaître sur les ôtes des tempes.. pareille, je veux croire que ça n’en pzix pas être difinitif. Autre symptôme, en plus des boutons, un du et est apparu sur un visage.. en avez vous déja entendu parler? Malgré tout cela, malgré l’handicap que le cuase l’acné dans ma vie de tout le sens jours, je ne reviendrai pas à la pilule. Je me sens légère et en self-controls de moi même.
L’espoir faire vivre et j’espère que ce n’est qu’une phase à passer.
Merci
Elodie
Je te souhaite vraiment plein de courage et t’envoie toutes mes bonnes ondes dans cette très difficile étape <3
Tu dis "jai un du qui est apparu sur mon visage", qu'entends-tu par là ?
Pardon Sabrina pour toutes ces fautes.. j’écrivais depuis un clavier QWERTY. Un duvet est apparu sur mon visage. Penses tu qu’un jour l’acné se calmera?
Chez la grande majorité des femmes cela passe, mais chez certaines cela prend jusqu’à plusieurs années (avec en général un pic d’acné sur les 4 à 10 premiers mois puis une diminution progressive, cf. mon sondage réalisé auprès de 3 616 femmes qui en parle un peu).
Bonjour sabrina je reviens pour savoir si d’autres filles ont des problèmes de cheveux comme moi car j’ai des troux partout avec des repousses fine quasi transparentes et des cheveux blanc sa me fait comme une calvitie de mec en l’espace de trois/quatre mois avec analyse de sang normale a tout les niveaux j’espère que l’homeopate que je dois consulter bientôt aura un debut de traitement car je ne pourrais jamais plus reprendre de traitement chimique je ne les supportent plus ni physiquement ni moralement heureusement que je ne me focalise pas sur mon physique car il y a plus important dans la vie mais je reviendrais témoigne dans quelques mois apres avoir suivie un traitement homéopathique pour vous dire si sa a marche courage a toutes
Bonjour,
J’ai lu votre ouvrage et lu quelques-uns de vos articles. Je suis sous Diane 35 depuis près de 10 ans. Ma gynécologue m’a fortement conseillé de ne pas faire de sevrage avec la pilule Diane 35 car cela engendrerait des saignements et des chamboulements importants dans le cycle. Avez-vous eu ce même retour ? Je pensais me sevrer mais je vais suivre son conseil. Cependant, je crains les répercussions sur ma peau.
En vous remerciant de votre attention
Effectivement Bondie nous n’avons aucunes données scientifiques à ce sujet et les médecins sont divisés entre les avis comme votre gynécos et les autres qui disent tout le contraire…. Donc à chacune de voir. La seule donnée que nous avons est issue de mon sondage auprès de 3 616 femmes et semble indiquer que les femmes ayant déjà eu beaucoup d’acné en arrêtentla pilule net une première fois semblent en avoir moins en arrêtant progressivement.
Merci Sabrina pour votre retour.
J’ai consulté un médecin naturopathe depuis et il d’accord avec l’idée du sevrage. Il m’a conseillé de prendre un comprimé tous les deux jours pendant trois mois, puis un comprimé tous les trois jours pendant trois mois. Néanmoins, il me reste une question à laquelle il n’a pu répondre : doit-on observer une semaine d’interruption de la pilule comme auparavant ou enchaîner la prise des comprimés sans interruption ?
Merci pour votre attention
Super, intéressant. Normalement pendant le sevrage il faut baisser la dose progressivement et délicatement donc éviter cette pause qui de toute façon ne sert à rien. Bon sevrage ! Tiens-nous au courant !
La pause permet d’avoir ses règles, mais effectivement avec le sevrage c’est différent. Eh bien je vais suivre ton conseil.
Merci beaucoup.
Bonjour,
Cela fait un peu plus de deux semaines que je prends un comprimé de la pilule Diane 35 tous les deux jours. La première semaine: RAS, mais depuis vendredi dernier j’ai des saignements (je m’y attendais). Vont-ils cesser ? Mon médecin m’a dit d’arrêter le sevrage au bout de deux semaines de saignement…
Merci de votre attention.
Personne ne pourra vous apprter la réponse même si en général un spotting (ce type de saignements) cessent forcément à un moment ou un autre. Il n’y a malheureusement pas de règles… même les médecins ne sont pas d’accord entre eux (puisqu’il n’y a aucune étude sur le sujet + méconnaissance générale du cycle des femmes ou des conséquences de l’arrête de la pilule).
A oui j’ai oublié de dire je n’ais plus de douleur dentaire inexpliquée ni de brûlure d’estomac ni de kyste ovarien, j’ai moins de problème de vue j’étais myope jusqu’à -3,50 avec gêne à la forte luminosité en ayant pourtant les yeux marron foncé avec vue trouble dédoublée et cette année suite à cet arrêt de diane 35 plus un rééquilibrage alimentaire je n’ai plus aucune gêne aux yeux ils sont bien brillant et hydraté et fait merveilleux j’ai regagné de la vue je suis toujours myope mais je suis passer a -3,25 j’arrête car je pourrais en dire des bienfaits sur cette arrêt mais je témoigne pour aider les autres filles et femmes, ne vous inquiéter pas on est pas et on ne doit pas se réduire à une belle peau ou des beaux cheveux moi personnellement même si mes cheveux ne repoussent pas bien et que ma peau reste un peu pourrie je me sentirais belle si je suis en phase avec moi même et si j’arrive a faire des choses a mon niveau pour aider les autres.
Coucou Sabrina j’espère que tu vas bien et bonjour à toutes et tous
suite au commenaire ou j’avais poste mon début d’expérience d’arrêt de la diane 35 l’annee derniere ou je disais que malheureusement celle ci m’avais causé un de la calvitie je viens donner des news bah au final je ne suis pas devenue chauve !!j’ai toujours un trou au dessus du front mais ils ne tombent plus et ont l’air de repoussé de meilleur qualité grâce a la consommation de spiruline, silice… pour celle qui ont du mal avec leur cycle ou des problèmes de poils le bourgeon de framboisier est parfait ca équilibre les hormones et grâce a sa je n’ai plus mal pendant mes regles ni avant, y’a vraiment tout dans la nature courage a toute faut de la patience mais je me sens tellement mieux, vivante comme tu dit, j’ai retrouvé toute ma positivité et mon hyper sensibilité et empathie je me suis retrouvé mentalement sa vaut tous les boutons et les pertes de cheveux du monde et je conseillerais a ma fille de ne jamais prendre la pilule plein d’onde positive a tous
Merci beaucoup Laura d’être revenu témoigner si longtemps après !
Je te souhaite aussi le meilleur.
Pas de quoi je ne manquerais pas de revenir commenter sur ton super blog et de faire un petit don pour t’aider dans ton travail, car il est vraiment utile et intéressant, rare sont les journalistes qui prennent partie envers plus de naturel et de simplicité c’est une bouffée d’air frais dans ce monde de plus en plus matérialiste bisous et bonne soirée a toute et tous
Merci Laura 🙂
je viens de tombé sur ce blog, qui est entre parenthèse géniale et par la même occasion sur cet article. Je confirme que je me retrouve dans certains des points que tu relèves suite à l’arrêt de la pilule.
J’ai pris la pilule pendant environ 11-12 ans de 15 à 26 ans. Il y a 11 mois que j’ai arrêté la pilule dans l’espoir de faire un bebe.
et j’ai pu constaté en arrêtant la pilule les points suivants :
– augmentation de la pilosité les 3 à 6 premiers mois suis retour à la normal
– imperfections sur le visages de 3 mois à maintenant (lol). Par chance, je n’ai jamais eu d’acné mais seulement un ou deux boutons par ci par là quelque fois. Depuis c’est de plus en plus fréquent
– imperfection et/ou petit bouton dans le dos. Ca aussi avant j’en avais un par an maintenant dès 8 mois à 11 mois (maintenant) c’est vraiment quotidien et pas un seul
– depuis 4 mois (8 mois post pilule) et encore plus depuis 2 mois soit 10 et 11 post pilule (et je crois que c’est le pire) : j’ai plein de points noir sur le nez et le menton
ah j’oubliais deux points important :
-les mycoses et désagrément vaginale : je n’en avais jamais fais avant et depuis les 3 mois post pilule j’en ai eu au moins 4 fois
– concernant les douleurs de règle, j’ai toujours eu mal au ventre pendant mes règle avec des cycles plus que d’autre.
je n’ai eu n’y + n’y – mal
la seul chose à noté c’est que durant l’ovulation des 3 à 6-7 mois post pilule, j’ai eu hyper mal. Après consultation, c’était des kyste qui sont partis apparement tous seul.
Au début mes cycles semblait toujours aussi régulier 28 jours comme sous pilule, et mes règles par contre durait seulement 3 jours et était très légère (contre auparavant 5 assez abondante). j’étais assez contente mais cela a durée seulement de post 1 à post 6. Depuis mes règles sont re quasi abondante et dure à nouveau 4-5 jours. Concernant mon cycle à plus 11 mois post pilule il ne s’est pas règle. Je suis reste à 25-28 jours les 3 premiers mois et depuis le mois 4 à 11 ça varie entre 26 et 32 jours.
je n’ai eu aucun + pour le moment (lol)
– ayant une peau sèche, je m’étais dis qu’un peu de sébum ne me ferrais pas de mal
– je pensais perdre quelque kg étant donné que j’en avais pris lors de la prise de la pilule mais là non plus rien. (j’en ai pas pris en plus, c’est déjà ça )
– redécouvrir la libido ou avoir une libido + développé : on ne peut pas dire que j’ai des souci de libido, mais celle ci n’a pas varié. J’aurai cru qu’elle se serait un peu booster
voila désolé pour le pavé, j’espère que cela poura aider certaine
merci encore pour ton article
Merci à toi pour ton témoignage et sache que tu trouveras sûrement des pistes d’explications aux désagréments ou points positif que tu cite ici dans mon enquête J’arrête la pilule qui explique précisément ces phénomènes et leur cause 🙂
Je te remercie pour ce commentaire, très sincèrement !
J’ai arrêté la pilule il y a 5 mois, j’ai connu pas mal de désagréments :
– acné alors que j’en ai jamais eu (comme toi, une peau sèche et sans imperfection pendant des années)
– ballonnements intestinaux
– augmentation significative de la pilosité (duvet partout, notamment cou et visage…).
Le fait de lire qu’au bout de 6 mois, ta pilosité est revenue à la normale me rassure. J’espère sincèrement me débarrasser de ces poils partout et on n’a que trop peu de retours positifs sur internet, alors merci à toi !
Bien sûr, il y a eu plein d’avantages à mon arrêt, mais les inconvénients sont très complexants, alors le moindre retour positif fait du bien à lire !
Bonjour,
Tout d’abord, merci pour ce super blog, très parlant!
J’etais sous Jasminelle puis Jasmine depuis mes 15 ans ( j’en ai 29 actuellement).
J’ai décidé d’arreter ma contraception en juin 2017, pour detoxifier mon corps, “anesthésié” comme vous l’avez si bien employé !
Acné, cheveux gras, pilosité accrue, douleurs bas ventre, gène vessie, etc , je sens mon corps, et ne regrette pas l’arrêt !
Il a tellement été malmené, il faut bien quil rattrape tout ce temps perdu !
Courage et foncez pour celles qui souhaitent arrêter, et soyez patiente 🙂
Merci Florence pour votre gentil message !
Si le sujet vous intéresse n’hésitez pas à visiter le site de mon enqupete d’une année sur la pilule : J’arrête La Pilule.fr vous y retrouverez informations, articles sur le sujet, interviews très nombreux et témoignages de femmes.
Avais tu essayé le fameux « talc pour bébé » contre l’acné ? Il paraît que c’est un produit miracle… 3€ chez Monoprix
Non, ayant une peau sensible j’évite d’utiliser des produits en les détournant de leur usage (et je n’utilise surtout que des produits bios et bruts). Mais pourquoi pas si cela marche…
Hello, j’ai 35 ans, je prenais une hormone macro-progestative depuis 4 ans et demi (lutenyl). Contraceptive si prise en continu ou 20 jours par mois. J’ai arrêté en Août. A la base j’ai des opk. 4 mois plus tard, et ce depuis le retour des règles, je subis tous les mois un sacré spm avec des douleurs aux seins épouvantables, que je ne connaissais pas avant… C’est infernal. C’est le bordel dans mon corps et je regrette amèrement d’avoir pris ce truc qui m’a mise en hypo-oestrogénie et paf là, si c’est bien du spm, trop oestrogènes… bref… Je dois attendre encore un peu avant de passer un bilan endocrino et revoir mon niveau opk. Je douille moralement aussi. Je ne sais pas combien de temps ça va durer encore… Si quelqu’un a connu ça après une macro-progestative (luteran, lutenyl…). Je lirai ton livre très prochainement aussi. Merci pour ton travail.
Re : Je tenais à préciser que dans mon cas, opk, je produis trop d’hormones mâles… (ouais, je suis poilue et musclée mais très menue et j’ai eu de l’acné à 23 ans). Les gynéco ne disent rien de précis sur les opk et je pense que c’est parce-que la plupart d’entre eux/elles ne sont pas très au fait et/ou pensent que tout se règle à coup d’hormones de synthèse. On lit que les femmes opk ont une résistance à l’insuline et que ça concerne surtout les femmes en surpoids mais c’est faux, ça peut concerner des femmes minces et aucun médecin ne m’a jamais fait faire de prise de sang sauf le jour où n’en pouvant plus j’ai demandé un bilan mais j’ai pas eu le droit à l’insuline par exemple… et c’est l’enfer pour obtenir des dosages hormonaux quand ça vient pas du médecin. Je me suis demandée si mes opk n’étaient pas le résultat d’une prise de minesse quand j’étais plus jeune…
J’ai eu droit à l’androcur et à diane (équivalent) mais très peu de temps tellement ça m’a bousillée mais à l’époque je ne comprenais pas le lien majeur de ces traitements dans le corps et le reste. L’acné est apparue chez moi après plusieurs mois d’arrêt de minesse et a priori c’est la faute de mes hormones à moi sauf que mon acné avait fini par se régler (quelques chtars mais rien de comparable)… alors bon… Il y a plusieurs aspects à prendre en compte… esthétique mais à mon âge, en espérant que l’acné se tienne sagement, je me fiche des poils… ça s’enlève ! je trouve très déplacé de la part d’un médecin de faire culpabiliser une femme sur sa pilosité ou son poids… L’autre aspect, santé, douleur… là, je sais que parfois, les traitements sont indispensables mais leur prise n’est jamais anodine… Pour les opk, je ne sais pas si mon cas est grave ou pas par exemple…
Le lutenyl, qui est une macro-progestative est souvent donné en association à de l’oestrgène pour les femmes ménopausées. Dans le cas où il est prescrit seul, il est indiqué pour les opk, le spm et pour les femmes fumeuses (comme moi tiens)… mais non dépourvu d’effets à long terme d’où mon arrêt au bout de 4 ans car au delà de 5 ans c’est mauvais car ça réduit la production d’oestrogènes et à mon âge… bref. Elle peut favoriser l’acné d’ailleurs mais je n’ai rien eu de ce côté…
On dit que les femmes qui se plaignent de leurs hormones et des hormones de synthèse sont chiantes ou folles ou qu’en fait, c’est dans leur tête… Parfois je souhaite aux médecins d’avoir tous les effets secondaires ou de tomber malade pour comprendre… je me demande si eux-mêmes/elles-mêmes prennent certains traitements qu’ils prescrivent… Quand j’avais des mycoses à répétition et des migraines et des saignements de nez sous minesse… la gynéco m’a envoyée chier… et à l’arrêt, pouf, c’est parti !!! Idem quand j’ai gonflé comme une baudruche à plus pouvoir poser le pied par terre sous androcur… Folie ! Heureusement que ma généraliste (acupunctrice en plus) m’a aidée à ce moment là.
Bon, après, je suis responsable et j’ai accepté de prendre des pilules … Mais quand j’ai demandé au gynéco plus d’informations sur l’après ou les effets à long terme, il est resté laconique… il a quand même mentionné que ce traitement avait tendance à aggraver l’état dépressif voire à le provoquer… sachant que je suis pas bien logée de ce côté… Et là, je ne peux pas crier victoire sur mon moral parce que je traverse une période complexe mais je sens que le cumul de ce traitement ainsi que le retour aux hormones naturelles n’aident pas. On m’a parlé d’antidépresseurs… franchement… J’en ai déjà pris mais là, je sens que je dois attendre un peu que mon corps se stabilise. A priori les opk, c’est à vie donc va falloir que j’accepte… J’ai juste les boules parce que j’ai lu des choses peu rassurantes sur ce syndrome. Je ne sais pas si ce que mon corps vit depuis plusieurs mois est uniquement du à tout ça mais entre les insomnies, les crises de larmes, les reflux, les douleurs à l’estomac puis aux intestins, la respiration courte etc… wah !!! ça va un tout petit mieux sauf que là, mon cycle a l’air de se décaler… je pensais que je n’aurais pas mal aux seins et paf le jour où j’aurais du avoir mes règles… mal aux seins, et ovaires et pas de règles…
pfiou !!! Vivement que ça cesse !!!!
Merci pour ton témoignage Lola.
Quand tu dis :
Malheureusement il y a beaucoup de témoignages qui votn dans ce sens et c’est bien là le drame. La parole des femmes n’est pas assez entendue en cabinets médicaux (cf. les très nombreux témoignages recueillis lors du grand sondage mené pour mon enquête et qui sont très nomvreux à déplorer cela : http://jarretelapilule.fr/category/temoignages/).
Tout ce que je peuxte dire c’est que les patientes doivent retrouver leur place centrale dans le processus de soin et que de nombreux patients ont entendus de nombreuses sentences définitives sur leur cas qui se sont avérées fausses aussi je ne peux que t’inviter à t’écouter et à garder espoir <3
Bonjour Lola j’espère que tu vas mieux je te comprends ce jai ete sous androcur et diane je ne suis pas opk ou je ne le suis plus.. En tout cas j’ai eu des kystes ovarien et de grosse chute de cheveux au point on me disait que j’avais de la calvitie quand j’etais sous pilule et meme d’enormes kystes a devoir me faire opérer aujourd’hui j’ai tout arrete depuis quelques mois je prend du bourgeon de framboisier sa régule toutes les hormones depuis mes cycles sont parfait je n’ai plus de kyste presque pas d’acnée je me complèmentes en vitamine bio et j’ai fait une detox avec une meilleure alimentation tu devrais prendre rendez vous avec un homéopathe sa peut aider en tout cas j’en ai vu des endocrino des gynécologues des médecins a me dire soit vous prenez des hormones soit vous accepter de rester avec vos problèmes ils ont tord il y a d’abord beaucoup de chose dont on ne prend pas soins dans notre façon d’aborder notre alimentation hygiène de vie qui meme si elle ne guérisse pas sont un debut de solution tous ce qui est sucre industriel est a bannir cela créé beaucoup de kystes dans nos corps bisous courage a toi
Merci Laura 🙂 Lutenyl ne contient pas d’anti-androgène et du coup, j’ose espérer qu’il ny aura pas d’effet rebond. Pour le moment, quelques gros boutons, trois, tjs au même endroit et oui, le sucre inflamme, je le sais bien et j’en consomme très peu. Fruits decs, pasbtrop de fruits, sarrasin, riz, quinia, patate, un peu de légumineuses… J’avais arrêté le gluten mais j’ai repris dernièrement le pain. Ma vie est compliquér en ve moment et je n’ai plus la tête à penser à cuisiner sans ceci ou cela. Pas de plats industriels, pas de produits laitiers, pas de pâtisseries saif maison et sucrées aux fruits (bananes) ou sucre complet mais j’ai des soucis de régulation de faim depuis plusieurs semaines, je ne comprends plus rien à mon organisme; j’ai faim tout le temps et je suis pas bien. Contrairement à bcp de femmes, j’aimerais me remplumer mais je reste très très menue. J’ai mes règles régulièrement depuis l’arrêt de lutenyl. 5 mois ce mois-ci. Pas encore pu faire le bilan hormonal et peur d’un soucis opk/insuline même si aucun doc n’y pense. Je consulte un acupuncteur, une seule séance pour l’instant. J’ai d’autres soucis que l’alimentation ne semble pas régler. Reste le tabac… Bref. J’espère retrouver l’équilibre car je suis fatiguée. Bonne continuation à toi !
Merci pour ta réponse je te souhaite bon courage j’espère que tu vas vite aller mieux moi j’ai arrêté de fumer quand je suis tomber enceinte ensuite j’ai repris la pilule diane 35 par peur d’être chauve(aujourd’hui je me rend bien compte que ma première prise de diane 35 a 18ans et son arrêt qui a déclenché tous mes problèmes la calvitie des énormes kystes ovarien que j’ai du me faire opérer, la chute de cheveux étant le plus embêtant et personne n’a pas ce problème la dans ma famille ma soeur n’a jamais pris cette pilule et elle n’a aucun trou dans les cheveux ni mon père ni ma mère qui ont une belle touffe pour moi j’ai eu droit au fameux androcur plus diane horrible pour la santé et pour mon morale minoxidil qui ma pourrie les cheveux… En tout cas le fait que tu ai beaucoup faim ca doit provenir d’un dérèglement hormonal j’ai eu pareil après mon arrêt de pilule j’avais pris deux kilos en une semaine depuis je prend le soir vers 18h30 19h vingt goutte de macerat de bourgeon de framboise tous les jours sauf pendant les regles je n’ai plus ce soucis et mes cheveux au bout d’un an d’arrêt repousse un peu donc c’est bien tous ces traitement qui nous pourrissent et ca peut etre psychologique aussi jusqu’à ce que je tombe enceinte j’avais beaucoup de kyste ovarien souvent depuis que je suis moins en stress et que j’ai ma fille je n’en ai plus eu hé fesais
ffectivement et les fringales sont un effet secondaire des hormones reconnu et inscrit sur les notices (cela peut perturber la sensation de satiété pour être précis).
Laura, au bout de combien de temps as tu retrouvé une régulation de ta faim ? Dans mon cas j’ai tout le système digestif chamboulé, j’ai même cru que j’avais un ulcère tant j’ai eu mal ! Mais j’ai maigri. Je suis déjà pas lourde… Et j’ai aussi des insomnies. En tout cas tu as l’air d’avoir retrouvé un équilibre et c’est le plus important mais quelle galère ces hormones ! Là ce sont les miennes qui me font douiller… Au bout de 5 mois j’imagine que j’ai éliminé. En mieux j’ai remarqué que le mois dernier et ce mois ci je n’ai plus au autant de douleurs prémenstruelles aux seins. Encore des crises de larmes mais bcp moins aussi, aux alentours des règles. Donc certaines choses se tassent. J’ai encore du mal côté digestion, faim et douleurs articulaires à n’importe quel moment… Courage !!!
Hello Lola, moi aussi j’ai retrouvé mes insomnies d’adolescente à l’arrête de la pilule (particulièrement au moment de l’ovulation où je semble littéralement déborder d’énergie) et également quelques souci de flore intestinale qui se sont régulés rapidement au bout de quelques mois. Les hormones et leur prise via cachets peuvent influer sur la flore plus ou moins grandement aussi rien d’étonnant à ces changements post-pilule.
Merci à toi Lola d’être passée par là et d’y avoir déposé ton témoignage.
Hâte d’avoir ton retour sur le livre !
Bonjour,
Dans le but d’avoir un enfant j’ai arrêté la pilule Daily Gé il y a 9 mois, j’ai 28 ans (bientôt 29…), je prenais cette pilule depuis mes 16 ans.
Je me suis reconnue dans votre article que je trouve très intéressant mais je suis pour ma part encore dans la période des effets indésirables..
En effet je n’ai jamais eu de règles douloureuses auparavant, ni d’acné..
À environ 4 mois d’arrêt de la pilule j’ai eu une énorme poussée d’acné dans le dos, j’en avait vraiment partout, maintenant plus rien dans le dos mais j’ai des poussée d’acné sur le visage et dans le cou avant mes règles…
À environ 4 mois et pendant deux mois, j’ai perdu énormément mes cheveux, maintenant j’ai en effet l’impression qu’ils sont plus épais.
Mes règles sont atrocement douloureuses surtout le premier jour où je suis pliée en deux et j’ai l’impression que c’est de pire en pire chaque mois…
Lorsqu’elles ont commencé à être moins régulières il y a trois mois j’ai revu mon gynécologue qui m’a prescrit du duphaston, depuis elles sont très régulières.
Depuis le mois dernier je sens une montée de ma libido qui avait baissé depuis l’arrêt de la pilule. Ce mois ci je pensais être enfin enceinte car grosse fatigue, mes seins étaient gonflées (ce qui n’arrivait plus depuis l’arrêt de la pilule) et maux de ventre une semaine avant mes règles.. mais elles sont venues comme si de rien n’était atrocement douloureuses accompagnées de douleurs lombaires..
Votre témoignage est encourageant car ce n’est pas une période facile surtout quand on espère tous les mois un heureux événement…
Mon gynécologue m’a dit qu’il fallait environ un an pour que tout se remette en ordre…
Je trouve qu’on ne nous informe pas assez sur la prise de la pilule et surtout sur son arrêt brutal..
Désolé pour le roman..
Hélène
Bonjour Hélène et vous pouvez écrire ici tout les pavés que vous voulez, ça nous intéresse toutes 🙂
Oui, la période post-pilule est parfois un enfer dans lequel malheureusement nous sommes parfois très mal accompagnées. Je vous souhaite que tout cela se règle au plus vite (côté douleurs de règles chez moi ça s’est vraiment calmé et aujourd’hui je suis revenue à des règles totalement peu douloureuses (alors qu’après l’arrêt je faisais des kystes ovariens à répétition, bon attention dans mon cas j’avais posé le DIU dès l’arrêt donc ça pouvait en être la cause).
Holà ! C’est mwaaa ! :,D
Dis moi, comment / quelle dose de gatillier doit on prendre ? Tu as fait un article dessus ?
Car je ne comprends pas grand chose et ne retrouve rien dessus sur ton blog. Il me semblait avoir lu tes indications qq part
Merciiiii
#35JoursDeSevrage
Hello Estelle, les indications dépendent du produit pris et de son dosage, je n’indique rien ici volontairement car je ne suis pas professionnelle. Quand ce sont des gélules contenant des plantes séchées c’est généralement une gélule par jour, pour les tisanes c’est une tisane par jour avec maximum une cuillère à café de gattilier (trop et tu te retrouves avec des tensions mammaires très fortes ou un SPM prononcé, crois-moi ne t’y aventures pas j’ai essayé ^^). Sinon la teinture-mère jamais testé…
J’ai lu cet article (et toute la saga) il y a un peu moins de deux ans et j’ai pris la décision de passer au stérilet cuivre. Je prenais la pilule depuis 10 ans. Et c’est un miracle. Mon corps me parle. Mes humeurs changent selon la période de mon cycle et petit à petit j’en prend conscience (quelques jours de dépression et d’irritabilité avant les règles). Mes cheveux, qui étaient très fins et plats poussent plus vite et sont beaucoup plus beaux. Je n’ai plus d’acné, ou alors c’est anecdotique. J’ai une libido de dingue. Et surtout, sans rien changer, j’ai perdu plus de 10kg. Kilos que j’essayais de perdre en vain depuis tant d’années… Je n’ai jamais été aussi bien dans mon corps qu’aujourd’hui. Et je suis sûre que c’est grâce à l’arrêt de la pilule. Alors merci ! Merci d’avoir partagé tout ça et de m’avoir aidé à me lancer !!!
Bonjour Bertille et merci beaucoup à toi d’être venue me redire cela et de témoigner ici. Nous sommes nombreuses à faire cette expérience et je suis réellement très heureuse pour toi ! Merci pour ton témoignage qui fait du bien de bon matin ^^
bonjour,
j’ai arrête jasmine d’un coups après 5 ans de prise de pilule, mais parallèlement durant les 3 premiers mois alors que je m’attendais à la perte de poids je me retrouve avec 7 kilos de plus pourtant je mange comme avant l’arrêt de la pilule, j’ai pas changé mes habitudes. je ne voudrais pas retourner à la pilule mais si je continue à grossir je risque de le faire car je ne me supporte plus et a la base l’arrêt de la pilule été lié au surpoids. donc c’est la cata. conseillez moi svp.
s’agit il de chamboulement d’hormones, ou bien la pilule me faisait elle maigrir?
Bonjour Nassima,
Oui effectivement, quand une femme a un profil fortement oestrogénique (qu’elle produit naturellement beaucoup d’oestrogènes, ce qui se reconnait notamment souvent à des silhouettes plus pulpeuses), le fait de prendre une pilule avec moins d’oestrogènes comme les 3ème et 4ème générations peut limiter la prise de graisse. Donc quand tu l’arrêtes tu reviens à ta tendance naturelle. Ceci dit, il y a aussi un autre phénomène très souvent sous-estimé c’est le chamboulement hormonal que vivent un certain nombre de femmes suite à l’arrêt de la pilule. Je m’explique : ton corps agit naturellement, tout va plutôt bien, tu prends la pilule X années, tu l’arrêtes et là d’un coup ton corps peine à se réguler à nouveau correctement et les problèmes arrivent : prise ou perte de poids, acné, kystes aux ovaires, etc. (selon ton problème hormonal). Comme tout cela est très compliqué, que les femmes subissent bien souvent sans trop en parler et que les gynécologues ne sont pas des spécialistes des hormones les patientes trouvent souvent peu de réponses et personne ne sait réellement leur dire ce qui a a causé tout ça (hormis leur dire bien souvent de reprendre la pilule par facilité). Donc c’est vraiment souvent malheureusement à la patiente à apprendre à se connaître et à diriger elle-même le diagnostic pour aller vers du mieux. Comprendre son corps pour faire ensuite ce qu’il faut quand les problèmes traînent trop. C’est souvent une vraie enquête digne de Sherlock Holmes !
merci pour votre réponse que j’ai republié par erreur avant de la lire ici, j’ai cru qu’elle m’a été envoyé seulement par mail.
je vous remercie pour vos explications, je vais voir et essayer de contrôler ma prise de poids, j’espère que mon corps s’adaptera rapidement et que je perds du poids je ne veux pas replongé dans lapilule. convaincre mon mari de son arrêt et l’associé à la méthode de calcul c’était un grand exploit sachant que je suis très fertile et que nous avons déjà 4 enfants je ne veux pas baissé les bras si vite j’attends encore 3 autres mois en surveillant mon poids et mon
alimentation.
si vous pouvez me conseiller des sites des articles des astuces ou des truc bio et naturel je serez très reconnaissante.
Oui effectivement, quand une femme a un profil fortement oestrogénique (qu’elle produit naturellement beaucoup d’oestrogènes, ce qui se reconnait notamment souvent à des silhouettes plus pulpeuses), le fait de prendre une pilule avec moins d’oestrogènes comme les 2ème et 4ème génération peut limiter la prise de graisse et donc quand tu l’arrêtes tu reviens à ta tendance naturelle. Ceci dit, il y a aussi un autre phénomène très souvent sous-estimé c’est le chamboulement hormonal que vivent quand même un certain nombre de femmes suite à l’arrêt de la pilule. Je m’explique : ton corps agit naturellement, tout va plutôt bien, tu prends la pilule X années, tu l’arrête et là d’un coup ton corps peine à se réguler à nouveau correctement naturellement et les problèmes arrivent (prise ou perte de poids, acné, kystes aux ovaires, etc. selon ton problème hormonal). Comme tout cela est très compliqué, que les femmes subissent bien souvent sans trop en parler et que les gynécologues ne sont pas des spécialistes des hormones les patientes trouvent souvent peu de réponses et personne ne sait réellement leur dire ce qui a acausé tout ça (hormis leur dire bien souvent de reprendre la pilule par facilité). Donc c’est vraiment souvent malheureusement à la patiente à apprendre à se connaître et à diriger elle-même le diagnostic pour aller vers du mieux. Comprendre son corps pour faire ensuite ce qu’il faut quand les problèmes traînent trop. C’est souvent une vraie enquête digne de Sherlock Holmes !
Pour les articles et autres lectures sur l’alimentation saine ou autre c’est vraiment un parcours personnel à coupler à ses envies/préférences. Ceci dit, j’ai regroupé dans mon premier livre Métro, boulot… bonheur ! de nombreux conseils santé très simples pour bien vivre sans trop se prendre la tête non plus (parce que la santé passe aussi par l’esprit et donc le fait de le laisser tranquille ^^) : pour lire le premier chapitre gratuitement et savoir où le commander (version papier ou digitale, c’est par ici : Métro, boulot… bonheur !
Bonjour,
Je suis tombée sur ton blog par hasard. Je prends Diane 35 pour l’acné depuis une dizaine d’annees…
J’avais arrêté en 2013 ; Finalement je l’ai reprise un mois après car j’avais l’acné qui était réapparu (et c’etait quasi pire qu’avant)…
Rebelotte en 2016 ; Acné dès un mois d’arrêt.
J’ai décidé d’arrêter à nouveau il y a une semaine. Pour l’instant RAS mais je sais que ça va venir ces prochains jours / semaines.
Comment gérer la chose ? J’ai peur de faire comme toi – entre autre – mais d’avoir de l’acné à vie et que tout ça ne me mène à rien…
Salut Estelle, oui c’est vraiment rageant tout ça. Difficile de dire cela dépend vraiment de chacune mais a priori quand même on ne reste jamais acnéique toute sa vie si ça peut éclaircir ton horizon 🙂
Merci de ta réponse, c’est pas faux… J’ai hâte que les premiers mois de crise passent, ca va être le plus dur. En tout cas je vais suivre quasiment tous tes conseils.
Merci d’avoir fait ce blog et ces articles, ça encourage vraiment.
Avec plaisir, et au passage essaie d’analyser tes cycles, cela aide vraiment pour savoir quelle hormone cause de l’acné (si tu as une phase lutéale trop courte, etc. tu sais que tu manques de telle hormone et donc tu pex compenser avec des plantes).
Bonjour Sabrina ! Je suis du Québec, et suis tombée sur ton site en tentant de m’informer sur l’arrêt de la pilule. Je l’ai prise pendant 9 ans, pour ensuite arrêter afin de fonder une famille. J’ai eu deux filles en 2 ans (que du bonheur), ensuite stérilet Mirena pendant presque 3 ans. Je l’ai fait enlever il y a 4 mois car je ne me reconnaissais plus (sautes d’humeur, estime de soi a zéro, faible libido), ensuite re-pilule ! J’ai pris 10 kilos en 4 mois, avec beaucoup de cellulite, que je n’arrive pas a perdre. J’ai toujours été mince, et je vis difficilement avec ce surplus de poids. Je “sens” que quelque chose cloche. J’ai décidé d’arrêter toute contraception hormonale la semaine derniere. La prise de cette décision, qui semble tellement anodine, m’a comblée de bonheur. Je suis curieuse de savoir ce que mon corps me réserve, quels sont mes vrais cycles. Ton article m’encourage sur cette voie. Je sais que ce ne sera pas facile, mais a 29 ans je me fais ce cadeau ! Merci de partager avec nous 🙂
Bonjour Marie Pier et quel parcours contraceptif !
Je te souhaite que tout cela s’arrange, j’avais moi aussi pris poids + cellulite et doucement cela a bien dégonflé avec les années 🙂
Tu peux te procurer mon livre J’arrête la pilule si tu veux vraiment tous les détails sur ce sujet.
Bonjour, j’ai lu votre livre et j’ai parcouru pas mal de blogs et autre pour m’informer. Votre livre m’a ouvert les yeux sur pas mal de choses et je souhaiterai arrêter la pilule par sevrage progressif. je prend depuis maintenant 8 ans triafémi une pilule triphasique de 3 eme génération et je n’arrive pas a me décider sur la méthode à adopter pour me sevrer. Concernant la méthode où l’on espace la prise de cachet elle me parait impossible étant donné que les dosages sont différents(7 pilule d’une couleur, 7 d’une autre couleur, et 7 encore d’une autre couleur). J’aimerai opter pour celle ou l’on coupe les comprimés mais j’ai également lu que cela pouvait nuire à la diffusion du cachet car cela l’altère et donc produit l’effet inverse du mot”progressif”. Je ne sais pas vraiment comment faire… je crains une recrudescence de boutons étant donné que j’étais sujette à cela et que c’est pour cela que l’on m’avais prescrit la pilule. Pouvez vous m’orienter vers la stratégie à adopter?
Merci encore et merci pour ce blog et pour ce livre
Bonjour Flora,
Malheureusement nous sommes des pionnières et il n’y a pas pas quinze mille façons de procéder à un sevrage progressif. Avec les pilules triphasiques le problème est encore plus compliqué. Ceci dit tu peux aussi essayer d’arrêter d’un coup, pour beaucoup cela se passe plutôt bien. Il n’y a que se jeter dans le grand bain qui soit possible pour le savoir… malheureusement.
Merci pour ton gentil message et bon courage :-*
Bonjour,
Je prends la pilule depuis presque 10 ans, et je suis sous Triafemi actuellement depuis plusieurs années.
Je cherche a arrêter la pilule, mais j’ai exactement les mêmes craintes que les tiennes à l’époque…
Plusieurs mois après, qu’as-tu décidé et quels sont les résultats ? En espérant que tu vois ce message.. ! 🙂
Un grand merci pour vos différents articles et retours d’expérience. Je prends également une contraception hormonale depuis 9 ans (5 ans sous pilule et depuis 4 ans sous anneau Nuvaring). Je suis donc encore sous Nuvaring et je souhaiterais vraiment stopper les hormones. Je lis beaucoup de choses intéressantes sur le sevrage et l’intérêt de ne pas tout stopper brutalement, en revanche je n’ai pas trouvé d’informations sur l’arrêt de l’anneau contraceptif. Comment puis-je procéder pour arrêter en douceur ? Dois-je repasser sous pilule pour espacer les prises ?
Bonjour Adeline, malheureusement il n’est pas possible de se sevrer sous autre chose que sous pilule et il serait plutôt déconseillé de ne reprendre la pilule que pour cela étant donné que c’est dans les premiers mois de prises que vous avez le plus de chance de souffrir d’un effet secondaire grave (donc, à choisir, évitez de prendre ce risque inutile uniquement pour un sevrage).
Cordialement.
Bonjour,
je voulais savoir suite a l’article que vous avez fait, ce que vous appelez “sevrage”.
comment avez-vous “sevré” votre pilule.
j’ai pris rdv chez gyneco + homeopathe qui n’ont pas conseillé ce principe, qui n’en connaissaient pas non plus la possibilité.
J’avais déjà arrêté jasminelle “brutalement”, j’ai enormement perdu de cheveux, des boutons partout, bref, une catastrophe qui empirait au fil des mois (9 mois d’arrêt). Je voudrais vraiment éviter que cela ne se reproduise…
Bonjour Angelini, le sevrage c’est arreter progressivement en diminuant les doses comme expliqué ici : J’ai testé pour vous arrêter la pilule avec sevrage… partie 2 : le sevrage progressif
Plus d’informations dans mon livre J’arrête la pilule mais aussi dans le sondage réalisé pour le livre et dans certains témoignages.
Bonjour Sabrina,
Après plusieurs recherches, car j’ai moi aussi decidé d’arreter la pilule, je tombe sur votre article. Je me sens obligée de partager mon experience car enfin, je me sens comprise et moins seule. Je vais tenter d’etre courte..
å mes 16 ans j’ai été prise d’une grande crise d’acné. Je suis aller voir la dermato qui me propose roicutane å la condition de prendre la pilule. La pilule ? mais je suis vierge ..et puis j’y connais rien.. et puis il faut la prendre tous les jours de toute sa vie ? bha dit donc ! peut importe car je souffre de mon acné. on me prescrit diance 35, que je vais prendre non stop jusqu’a mes 30 ans.. je vous laisse faire le compte. je n’ai jamais ecouté les signaux que mon corps m’envoyait. le neurologue que je suis aller voir pour mes migraines atroces, n’a jamais évoqué la pilule, ni meme la phlebologue que je suis allé voir pour ma varice å 25 ans, ni meme la gyneco lors de mes douleurs paralysante aux ovaires.. moi je fais confiance å la medecine du coup je ne pense meme pas que la diance 35 ait une relation avec tout cela. bref, a mes 30 ans je decide d’etre celibataire et arrete la pilule. quelques mois apres l’acné revient comme jamais. pire qu’une classe d’ados tous reunis. je souffre. ma dermato me scalpe le visage toutes les 3 semaines afin que je ne me mette pas en arret maladie et me propose roaccutane, que je refuse. la gyneco me prescrit leeloo qui ne fait qu’agraver les choses. je l’arrete apres les 3 mois recommandés. je parle donc de la diane 35 avec la gyneco, je savais qu’elle avait été retirée du marché sans savoir pourquoi. la gyneco me dit “ce sont des conneries, d’ailleurs vous pouvez la reprendre si vous souhaitez”. j’accepte.. apres 3 mois, plus d’acnes, mais des crises de migraine, une varice qui double de taille et gonfle, mes cheveux ne poussent plus, je prends du poids, cellulite meme sur le bout des doigts (enfin presque..). entre temps j’ai refais ma vie, quitte paris pour sydney et je decide alors, avec mon fiance d’arreter la pilule. je sais et je sens que je m’empoisonne. je l’ai donc arretée il y a presque deux mois. j’ai tres peur des effets sur ma peau, tres tres peur meme. mais encore plus peur du mal que j’ai fait a mon corps avec la pilule. jamais un medecin ne m’a fait faire une prise de sang, jamais un gyneco ne m’a ecouté. je ne souhaite pas critiquer les medecins ici..simplement faire part de mon experience. je suis certaine que la pilule est la cause d’autre soucis.. mais je n’y fais pas attention, je ne peux donc pas le prouver. Merci sabrina pour votre site et vos articles. un bon coup de pied dans la fourmiliere ! bonne journee. Elodie
p.s : aujourd’hui je ne prends aucun contraceptif sauf le preservatif. et puis je n’ai pas reussis a faire court, desolée.. :).
Merci Elodie pour ce partage d’expérience qui va (malheureusement) dans le sens de tant d’autres témoignages de femmes… (cf. notamment ces nombreux témoignages issus de mon sondage).
Bonjour, je décide d arrêter ma pilule et me renseigne, c est ainsi que je trouve votre site et vous en remercie! 38 ans, sous pilule depuis mes 14 ans (!) avec notamment Roaccutane, Diane 35 et Belanette, acnéique à l adolescence, 3 cancers du sein chez ma maman, problèmes vasculaires dans la famille (j ai des varices et suis sclérosée mensuellement depuis des années), dans un désir d enfant (même si tard oui, mais mon super gynéco me disait que je pouvais encore attendre 10 ans, lol..) je viens d arrêter Belanette depuis 1 mois avec en retour une peau plus grasse, quelques boutons blancs, chute de cheveux et cheveux qui graissent vite, je m inquiète d un retour de l acné en force et autres joyeusetés qui s amplifieraient et souhaite donc tester le sevrage progressif. Je souhaite prendre des comprimés entiers mais en les espaçant progressivement, pouvez-vous m aider sur le “dosage”? 1 tous les 2 jours pendant x semaines puis 1 tous les 3 jours? Faut-il faire la pause des 7 jours comme habituellement? Merci d avance de vos réponses et bonne journée!
Bonjour Sophie, oui c’est mieux avec des comprimés entiers parce qu’en les coupant tu réduis l’efficacité des principes actifs. Je t’invite à lire le livre pour le reste des détails mais en gros oui c’est en espaçant la prise de vos cachets. D’abord 1 jour sur 2, puis 1 jour sur 3, etc. en changeant de pallier tous les 15 jours et non sans la pause d’une semaine qui ne sert finalement à rien (uniquement à déclencher de fausses règles et là comme tu n’es même plus dans un cadre contraceptif autant rester sur des doses qui ne varient pas sans cesse).
Bonjour et merci beaucoup pour cette réponse même si moi je tarde à faire la mienne! je vais suivre ce protocole et lire l ouvrage des que possible! en croisant les doigts.. et encore merci!
Bonjour Sabrina,
J’avais déjà posté a la suite d’un autre article sur l’arrêt de la pilule qui m’a provoqué un SOPK ainsi qu’une aménorrhée à rallonge pour laquelle je ne sais plus quoi faire. Suite à 6 mois d’arrêt progressif j’ai arrêté Jasmine il y a 9 mois, et je me retrouve seulement maintenant avec une grosse crise d’acné sur le bas des joues. ON peut parler d’un sacré effet bombe à retardement! Voici ma routine:
-Démaquillage avec Créaline de Bioderma
-Le matin nettoyage/masque avec du rhassoul
-Application d’huile de nigelle + aloe vera pour hydrater
-Aplication d’HE Tea tree et Palmarosa sur les boutons (pas vraiment d’effet)
-le soir masque miel + bicarbonate de soude pdt 30 min sur les boutons et cicatrices.
Je prends Du Zinc en gélules chaque matin car quand j’avais de l’acné ça calmait bien les inflammations, cela dit Algozinc d’Aromazone n’a aucun effet lui.
Aurais-tu des conseils pour me sortir de cette crise d’acné? Je pense à aller voir ma dermato pour faire un nettoyage de peau, ayant plein de petits grains et points noirs qui se transforment en boutons et des microkystes sous-cutanés rouges et douloureux (je sais déjà que je vais en ressortir avec une ordonnance pleine de crèmes bien chimiques, beurk)
Salut Nanouille, le problème c’est qu’il faut traiter le problème de fond et avec les hormones et le fait que chaque femme soit particulière rien n’est facile, il n’y a pas de solution miracle qui marche pour toutes. Côté cosmétiques les masques quotidien de rhassoul et quelques gouttes ‘huile essentielle d’arbre à thé quand un bouton pointe le bout de son nez peuvent s’avérer très utiles pour endiguer une poussée. L’acide salicylique est également très performant pour aider à traiter rapidement l’acné (pour limiter l’inflammation). Voilà pour mon expérience.
Bonjour, J’ai eu la même démarche que vous il y a plus de vingt ans : ARRÊT brutal de la pilule après 10 ans d’adepal. Je ne me souviens pas d’effets négatifs mais d’un intense sentiment de renaissance, que mon horloge biologique se remettait en route. Un vrai bonheur ! Et je me suis jurée de ne plus jamais reprendre d’hormone… je suis donc passé au stérilet en cuivre, mais ayant toujours eu des règles très abondantes mon gynéco m’a prescrit un temps le stérilet Minera : une vraie galère pour moi, règles en continu, acné (je n’en ai jamais eu avant), intenses migraines, bref quand j’ai regardé la liste des effets secondaires, j’en avais plus de 80%, je suis revenu au traditionnel stérilet en cuivre… Aujourd’hui ménopausée, je ne prends toujours pas d’hormone.
Et que dire du pourcentage de toutes ces substances qui retourne dans la nature, contribuant à la féminisation de nos petits poissons…
Merci merci merci pour cette série d’article si bien détaillée ! J’ai arrêté la pilule après 15 ans de prise sans me poser la moindre question jusqu’à ce que les choses se gâtent 6 mois après…c’est rassurant de lire que « c’est normal » et encore plus que « ça s’arrange » ! Pour ma part, après un pic assez violent fin juillet pour ma peau, une routine cosmétique adaptée a permis de calmer le jeu (Merci La Roche Posay). Pour le reste, on est d’accord : c’est que du bonheur 😉 Merci encore d’avoir partagé ton expérience !
Merci à toi Gadji, après cela reste différent pour chaque femme mais oui les témoignages étant les seules infos que l’on a à ce sujet c’est intéressant.
J’Ai arrete mercilon en novembre 2016. J’avoue que je ressens enormement le syndrome premenstruel qui commence des le 14ème jour…ma poitrine est beaucoup plus tendue. Et j’ai souvent des douleurs aU niveau des ovaires. Sinon pas d’acne pour moi.
Bonjour Antonucci,
Oui ça m’a fait ça à moi aussi durant les deux premières années post-pilule puis ça s’est calmé (comme mes hormones).
[…] BILAN APRES 20 MOIS D’ARRET […]
BONJOUR, je prends encore la pilule mais je pense L’ARRÊTER pour mon prochain cycle. Je prends Pacilia (ADEPAL)depuis 6 ans, et je commence à ne plus en pouvoir, je me sens mal dans mon corps,le moral dans les chaussettes et je suis sûre que la pilule a son rôle là dedans. Je crois que PAcilia contient des Angrogènes, étant plutot poilue je me demande si en ARRÊTANT ma pilosité aura tendance à diminuer ou pas ?
A mon avis c’est le moment pour moi D’ARRÊTER car grosse fatigue générale, transpiration excessive….
En tout cas je te remercie pour ton blog , vraiment vraiment top !
Bonjour Papou et merci pour ton gentil commentaire,
Si tu en arrives à ce point il me semble évident que cette contraception ne te convient plus (tu n’es pas la seule je te rassure). Adepal ne contient pas d’androgène ni d’anti androgène à ma connaissance donc cela ne devrait pas avoir d’effet spectaculaire sur ta pilosité. Maintenant, un corps naturel est bien différent d’un corps sous pilule donc, forcément, des changements vont se faire sentir mais difficile de prédire à quel niveau sans bilan hormonal précis réalisé par un professionnel.
bonjour
Aprés une longue discussion avc une copine sur le fait qu’elle est arrété sa pilule ce qu’elle ressentait tout ça je me suis mise à faire des recherche et j’ai lu vos articles avec un trés grand interet.
Merci pour toutes vos explications, celles ci font échos à ce que me disais mon amie et à présent je comprend bien mieux pourquoi je ne n’arrive pas à perdre du poid pourquoi je me sens tjrs gonflé et un peu deprimé… Comme quoi on nous vend la pilule comme contraception miracle mais ce n’est pas forcement la bonne solution de se poluer aux hormones chaque jour. Aprés 7 ans de pilule vous me conforter dans l’idée d’arreter.
Bonne journée !
Oui Marine, malheureusement les études ne peuvent pas tout montrer, uniquement ce qui est scientifiquement et absolument prouvable. La pilule est un médicament et comme tout médicament elle a des effets secondaires que ses utilisatrices doivent connaître. Effectivement, comme nous ne sommes pas à la base des malades cela pose un problème qui a été “résolu” il y a longtemps lors de la création de la pilule par les médecins (principalement des hommes) qui ont estimé que “les bénéfices dépassaient les risques”. A mon avis, c’est aujourd’hui à chaque femme qui prend la pilule de réévaluer si elle trouve ces risques acceptables. C’est exactement ce que beaucoup d’entre nous sont en train de faire en concluant que, décidément non, ce n’est pas acceptable et en se tournant alors vers d’autres méthodes.
Bonjour !
voilà je me permets de vous REÉCRIRE pour vous dire que j’ai définitivement arrêté ce médicament qu’est la pilule contraceptive, depuis maintenant 5 mois. Je n’ai pas fait de sevrage.
Aujourd’hui j’ai perdu 4 kg je me sens mieux dans mes basket.
J’ai un DIU cuivre et tout se passe bien je ne suis plus gonflé ni déprimer et surtout ravi de ne plus avoir a de mangé des hormones chaque jour.
Sans hormones on RESSENT bien mieux son corps et on est plus a l’écoute De celui ci.
Pour ma part ce n’est que du positif.
Je voulais également vous remercier pour votre travail sérieux sur le sujet.
Je vais acheté votre livre et je compte bien convaincre celles qui n’y croient pas.
On nous enfume tellement.. quand j’ai dis à ma gygy que je stoppait la pilule elle m’a quand même sorti que celle ci me protégeait du cancer..
Bref sur ce bonne continuation et je vous souhaite bien du succès.
Heureuse de savoir que tu as trouvé la contraception qui te convient et d’entendre ton bonheur. Merci pour ton gentil message
Salut salut !
Je reviens vers toi suite à l’arrêt de la pilule Jasmine. Ça fait 14 mois exactement que je l’ai arrêté. Les deux premiers mois progressivement, puis ensuite totalement. J’ai commencé à avoir énormément d’acné à partir du 4eme mois, puis arrivé l’été presque plus rien (jsuis tombée amoureuse alors j’imagine que ça a du aider ^^) j’étais tellement contente au niveau moral c’était le top, la libido rien à voir et même mes cheveux étaient bcp plus épais…
C’est la que ça se gâte.. je suis parti en Australie en septembre et j’étais censé y rester 1 an mais à partir du premier mois, mon acné est revenu puissance 1000 (j’ai jamais connu ça même à l’adolescence) et pas que sur le visage d’abord épaules ensuite poitrine jusqu’en bas du ventre et en bas du dos. C’était l’horreur, le climat là-bas n’aide pas c’était très très humide et ce n’était pas de petits boutons je parle vraiment d’acné sévère, du genre gros kystes qui fait bien mal sur TOUT le bas du visage, le dos et la poitrine.. j’étais un peu désespéré donc j’ai consulté un dermatologue qui m’a dit que ça pouvait provenir du soleil, allergie solaire donc j’ai eu des antibiotiques, crèmes.. mais aucun changement c’était même pire.. ça, plus mon moral dans les chaussettes par rapport à mon copain qui me manquait énormément j’ai décidé de rentrer en France en janvier.
J’ai consulté mon Dermathologue qui ma conseillé Roaccuatane, si je voulais pas avoir de marque à vie, il m’a dit que c’était la meilleure solution. Mon gynécologue ma conseillé la même chose..
À côté de ça 2 mois après l’arrêt de la pilule j’ai plus eu mes règles pdt 1 an je viens tout juste de les ravoir ce mois ci, je suis totalement déréglée..
j’ai aussi fait une diet no carbs en Australie pendant 1 mois pensant que ça venait du foie mais ça n’a pas vraiment amélioré ma peau..
Du coup c’est un peu avec regret que j’ai commencé ce traitement la, roaccutane, on m’en a tjs parlé depuis mes 16 ans mais j’ai jamais voulu le prendre.. c’est comme la pilule c’est très chimique mais bon j’ai pas trop le choix.. à 25 ans avoir autant d’acné c’est désespérant lol
Bon sinon “à part” ça et malgré le fait que j’ai pas trop le moral par rapport à mon acné, la libido c’est toujours le top avec des hauts et des bas bien sûr mais rien à voir avec les années précédentes.. j’ai bcp plus de cheveux, plus épais, plus fort bon par contre ils graissent tjs autant (je dois les laver tous les 2/3 jours).
Et Jsuis vraiment contente d’avoir réussi à arrêter cette merde même si je galère un peu avec ma peau.. je pense que ça vaut vraiment le coup !
Merci pour tes bons conseils ça m’a bcp aidé !
Cheers
J’oubliais !!
Moi qui suis migraineuse depuis toujours j’en ai beaucoup moins et je suis pratiquement certaine que c’est du à l’arrêt de la pilule ! Mes crises sont moins intenses (sauf quand je fais des excès genre alcool surtout mais bon ça c’est normal on va dire..) et plus espacées..
Et d’ailleurs ça en devenait très handicapant donc je suis vraiment contente
Voilouuu si ca peut en aider certaines….
Salut Océan et merci pour ce retour détaillé, tu as donc la malchance faire partie de cette minorité de filles qui subissent des effets à long terme (ou alors est-ce une acné pré-existante qui est revenue ?). Les effets dermatologiques après des années de prise de pilule sont encore totalement méconnus et parfois bien mystérieux. Soutenir ton foie est une bonne chose (complexe drainant à base d’artichaut et de radis noir) ainsi qu’avoir un mode de vie sain (Roaccutane malheureusement, comme la pilule, ne fait souvent que masquer l’acné pour mieux la faire revenir à l’arrêt et détraque en plus la flore intestinale qui est cruciale dans ce genre de problèmes donc je ne sais trop quoi te dire). C’est hyper dur d’en être consciente mais, finalement, il n’y a rien à faire de mieux qu’attendre et avoir une alimentation hyper saine 🙁
Moi-même, malgré une absence totale d’acné avant de prendre la pilule, je souffre encore aujourd’hui de quelques imperfections sur le dos et le visage (bien plus que quand j’avais seize ans, à mon grand désespoir) donc je suppose, avec mon exemple et d’autres, que la pilule modifie bien des paramètres corporels (puisqu’apparaissent des symptômes après l’avoir prise que l’on n’avait pas avant). Comme je l’expliquerai dans mon livre, la pilule est une vraie voleuse de vitamines et de minéraux, elle détraque pas mal la flore intestinale ce qui fait que l’on peut mettre beaucoup de temps à s’en remettre. Je suis quand même heureuse pour toi que tu trouves des avantages à ton arrêt mais je reste très amère quant à tout ce que de nombreuses femmes doivent subir qui semble relié à la pilule…
Bonjour, ton article m’a bcps eclairé. Je suis en couple depuis 7 mois (8 mois bientot). La libido ça allait normalement, j’ai commencé la pilule en aout et ma libido a diminué, j’en ai parlé à mon médecin qui m’en a prescrit une autre et pas de changements. J’ai décidé de l’arreter, ça fait un peu plus d’un mois, ET MA LIBIDO NE REVIENT TOUJOURS PAS (LES CHEVEUX GRAS AU BOUT DE 2 JOURS OUI).
Je souffre bcps de cette situation, ma baisse de libido était-elle due a la pilule? J’AI PRIS RDV CHEZ UN GYNéco.
COMBIEN DE TEMPS APRès L’arret de la pilule avez-vous retrouvé votre libido?
Merci D’AVANCE à toutes POUR VOS RéPONSES 🙂
Salut Lucie,
Comme pour tout ce qui touche à ce sujet, nous n’avons que très peu d’informations même si d’après mon sondage, sur 72 % des femmes qui ressentent des effets secondaires indésirables sous pilule, 70 % disent avoir souffert d’une baisse du désir sexuel. Sur 2 900 femmes qui ont répondu la baisse de désir sexuel était donc le premier effet secondaire indésirable de la pilule. Personnellement, ma libido est revenue très vite et très fort (à peine trois semaines après le début du sevrage, alors même donc que je prenais encore un peu d’hormones) mais cela varie vraiment d’une femme à l’autre et le contexte joue aussi parfois (c’est quand même un sujet relié à beaucoup d’autres comme le couple, le passif en la matière, l’éducation, etc.)
Je te souhaite que tout revienne comme avant et n’hésite pas à venir nous donner des nouvelles:-)
Merci pour ta réponse, ce soir je vois un gynécologue, cela fait bientot 1 mois et ma libido est toujours au point mort, j’ai peur par rapport à l’avenir, par rapport à mon couple et même si je vois mon copain tous les jours il me manque quelquechose. J’espère que ce n’est pas psychologique.
Ce n’est vraiment pas grand chose un mois, surtout en la matière mais fais comme tu le sens 🙂
Ton article est vraiment fabuleux. J’entame moi-même ce dure combat de sevrage de la pilule. Pour l’avoir prise pendant 6 ans (17 à 23) et au moins les 3 dernières avec yasmin je savais que mon corps allait subir un chamboulement. J’ai passé au sterilet jaydess sans pause entre la pilule et le sterilet. Maintenant 1 mois et demi plus tard, je me retrouve avec les cheveux tellement gras et des petits boutons qui font leurs apparition dans le front. Pour le moment, j’essais un shampoing speciale à l’argile et je chouchoute ma peau. J’espere que ca passera vite… J’ai la meme peau que quand javais 16 ans maintenant alors que sous pilule peau parfaite. Merci pour ton article je me sent moins seule et plus normale.
Avec plaisir Jojo et si le sujet t’intéresse et que tu veux aller plus loin sache que je suis en train d’écrire tout un livre autour de la pilule (j’ai eu l’idée de l’écrire en constatant que de très nombreuses femmes avaient des problèmes avec leur pilule ou après l’avoir arrêté et j’ai voulu obtenir des réponses). Le livre s’appelle J’arrête la pilule et sera publié chez l’éditeur Les Liens qui Libèrent en septembre 🙂
Re-bonsoir! Je ne parviens pas à vous répondre à la suite de notre premier échange, je re-poste directement dans les commentaires. Merci à vous d’ouvrir les discussions sur la prise de pilule. Je suis pour ma part sous pilule anti-androgène depuis plus de 10 ans afin de compenser un trouble hormonal (SOPK) mais, forte de mes récentes recherches et en particulier de votre témoignage, je viens de stopper ma prise (avec l’accord de mon médecin). Je tente l’expérience pour un mois dans un premier temps, peut être plus si mes analyses le permettent 🙂
Bonne continuation!
Eh bien bon essai alors ! Malheureusement, on en parlera dans le livre, certaines pilules pourraient justement être à l’origine de certains SOPK (on le soupçonne de plus en plus) et ensuite, une fois le SOPK déclaré il n’y aurait plus d’autres solution pour l’enrayer que… de reprendre la pilule (paradoxal non ?)
[…] à vous toutes pour vos témoignages très nombreux et fournis que vous venez publier sous mes quatre articles relatifs à l’arrêt de la pilule contraceptive. Sachez qu’ils me sont précieux pour mieux défricher ce sujet sur lequel nous sommes des […]
Bonjour,
Je viens de faire tout le tour de ce vaaaste sujet … et que de problèmes liés à la prise de la pilule !
Grâce à vos témoignages, je me rends compte que j’ai eu plein de « petits » changements qui en fait sont très certainement liés à ça, certains très récents, d’autres plus anciens mais dont je n’ai pris conscience qu’en vous lisant!! Et dire que ça fait plus de 20 ans que je la prends …
J’ai commencé tôt vers les 14 ans, car j’ai une pilosité assez développée qui n’est pas liée à un dérangement hormonal, mais visiblement à des récepteurs pileux plus sensibles. Je me suis donc très tôt retrouvée sous Androcur/Provames. Puis il y a de ça une petite dizaine d’années, j’en parle à ma gynéco ainsi que de mes maux de tête que j’avais avant chaque règles, elle se rend compte qu’en effet je prends de l’Androcur à une bonne dose depuis bien longtemps et qu’il serait temps que je change ou diminue les quantités … je passe donc à une autre pilule, la Yaz, pendant les années qui suivent.
Entre temps, les articles sur les dangers de la pilule fleurissent, m’invitant à me poser des questions.
J’entends parler par la suite de la Zoely , qualifiée de plus « naturelle », alors hop, on change … bof bof la pilosité se redéveloppe au bout de quelques mois … je reprends mes recherches (parce que franchement, les gynécos n’aident pas vraiment) et finalement me rends compte qu’il n’y a pas grand-chose de mieux que d’arrêter la pilule.
Il y a donc 3 ans, j’ai tenté l’arrêt de la pilule, et j’ai fait procéder à la pose d’un stérilet en cuivre (pas super agréable mais ça s’est bien déroulé). S’en sont suivi évidemment la découverte du fonctionnement de mon cycle naturel et de ses changements dans mon corps … wow ! ça bouge là-dedans ! ^^ … mais l’acné (dont je n’avais jamais souffert à l’adolescence) et les règles façon chutes du Niagara (vider la coupe menstruelle toutes les 2h !), ainsi que la vive repousse des poils ont eu raison de ma motivation à arrêter la pilule. Retour chez le gynéco qui me prescrit la Diane 35 …
Puis ces dernières semaines, suite à une perte de cheveux importante (entre autres), finalement j’ai à nouveau arrêté la pilule il y a 1 mois et demi, tout en prenant en homéopathie de l’androstérone (15ch) conseillée par mon médecin généraliste qui a une formation gynéco et homéo.
Rapport à la perte de cheveux, je demande tout de même un bilan sanguin et hormonal : RAS hormis un peu de cholestérol et le taux de T.S.H à peine plus haut que la valeur max. Au vu des potentiels effets négatifs de la pilule, ça ne me surprend guère, j’ai l’impression que mon corps me montre par de nombreux signes qu’il arrive à saturation.
Par ailleurs, je suis aussi allée consulter un pratiquant en médecine chinoise qui m’a conseillé de prendre un draineur pour mon foie vraisemblablement engorgé (étonnant non ? ^^), du zinc plus de la levure de bière pour les cheveux, et une séance d’acuponcture (une première ! 😀 ) pour rétablir le flux sanguin qui est bloqué par endroits.
A lire tous vos témoignages (merciiiiiii 😀 ), surtout ceux des femmes concernées par les pilules contenant des anti-androgéniques, je vais déjà voir ce que ça donne ajoutant à tout ça la prise de la tisane d’achillée-gattilier-pensée, et en mettant en place les soins que vous conseillez pour la peau en l’espoir que les réactions corporelles soient moins violentes.
Sinon dans le pire des cas, si l’acné pointe sérieusement le bout de son nez, pensez-vous qu’il soit judicieux de demander une dernière prescription de Diane 35 juste pour faire la phase de sevrage sur 6 mois ?
Merci pour votre blog! 😀
Comme quoi un problème de cheveux fins nous emmène parfois bien plus loin qu’on ne le croit ^^
Il n’y a malheureusement pas de recette miracle en la matière, chacune réagit différemment donc si tu prenais une pilule avec anti androgène, oui, bien sûr je conseille l’arrêt progressif pour éviter un effet rebond trop fort donc pourquoi pas Diane si c’était celle que tu prenais dernièrement et que tu te sens de la reprendre 🙂
Merci pour ton témoignage très complet qui ajoute aux autres et commence à former un tableau très complet pour mon livre en cours d’écriture “J’arrête la pilule”.
Bonjour Sabrina,
Merci pour cet article ! Et merci pour tes infos sur la routine visage… J’ai changé de pilule pour en prendre une moins dosée et j’ai eu les effets secondaires de l’arrêt de la pilule. Et donc de l’acné sur le visage, mais également sur le dos et le torse. J’ai fais disparaitre celle du visage mais malheureusement, celles du dos et du torse persistent… Aurais-tu des ingrédients/produits bio à conseiller, pour une utilisation à ces endroits-là ? J’ai la peau sèche, et l’hydratation pour l’instant ne change rien…
Merci par avance !
Salut Marie, oui alors au final ce qui a le mieux marché pour moi c’est :
– gommage deux fois par semaine avec un savon gommant
– masque rhassoul/miel/tepezcohuite
– application d’aloe vera pur le soir sur le visage après la crème visage
– ajout dans la crème visage d’acide salicylique (+ en application locale sur coton tige sur les imperfections : radical et non – desséchant) !
Tu m’en diras des nouvelles ! Le reste va falloir prendre son mal en patience…
[…] ce par quoi je suis passé. Malgré tout je ne regrette rien (comme je l’explique dans Arrêt de la pilule avec sevrage, vingt mois après : le bilan [+routine visage acné]. Finalement j’ai eu des imperfections assez fortes pendant six mois (dont quatre mois […]
Tes articles m’aident beaucoup! Merci!
J’ai arrêté la pilule il y a 10 mois et j’ai un diu depuis quelques semaines. Je suis totalement d’accord avec tous les effets positifs…incroyable! Mais bien sûr il y a les effets négatifs aussi. Pour les problèmes de peau, j’arrive à gérer. Par contre, j’ai de la peine avec les dérèglements du cycle. Depuis 5 mois, j’ai des cycles d’environ 15 jours…et tout est normal au niveau des contrôles! Maintenant que j’ai le diu depuis environ 5 semaines, j’ai des règles qui durent 10 jours… autant dire que c’est tout le temps! Est-ce que d’autres personnes ont vécu ça et pourraient me rassurer sur le fait que ça va passer? Je sais que les inconvénients du diu durent à peu près 2-3 mois, mais pas toujours facile de tenir moralement quand on a l’impression que ça ne s’arrête jamais. Pour tout le reste, l’arrêt de la pilule, c’est génial. Mais c’est vrai que je m’inquiète du temps qu’il faut pour 1) récupérer des cycles réguliers et 2) avoir des règles qui durent moins de 10 jours… Je lirai volontiers vos témoignages! Et en attendant, vive la vie sans pilule et merci pour ces articles!
Salut Marina, oui et la difficulté supplémentaire : nous sommes toutes différentes donc sur ce coup je ne pourrais t’aider mais espérons que quelqu’un qui passe t’apporte son soutien.
Moi je ne peux que te dire que, comme dirait l’autre “avec le temps va, tout s’en va” :-p
Bonjour,
Je découvre votre site ce jour et en particulier ces articles saga sur votre expérience de l’arrêt de la pilule. Vous me confortez dans la décision que j’ai prise tout récemment d’arrêter la pilule après 10 ans et me faire poser un stérilet.
Le déclic pour moi s’est fait par étapes. On va dire que j’ai été longue à la détente… Par trois fois, je me suis retrouvée à devoir prendre un autre générique de ma pilule (habituellement je prends Desogestrel, mais ces 3 fois-là, à la pharmacie on m’a vendu Désobel, son équivalent, mais d’un autre laboratoire). Je l’ai donc eu 3 fois 3 mois à plusieurs mois d’intervalle, dont les trois derniers mois. La première fois, je n’ai pas percuté mais gros passage à vide, fatigue extrême, nausées, symptômes similaires à ceux d’une grossesse (grosse source de stress donc pour moi ! Et plusieurs tests achetés en pharmacie). Je n’ai pas trop compris ce qui m’arrivait, puis c’est passé.
Peut-être un an plus tard, rebelote. Et comme par hasard je venais de reprendre ce même générique, Désobel. Là, j’ai commencé à me dire que cela pouvait être lié.
Puis, il y a trois mois, je m’y suis prise à la dernière minute pour renouveler ma pilule et la pharmacie où je suis allée ne proposait que Désobel. Je me suis donc dit “On verra bien, tu as peut-être psychoté. Au pire, cela confirmera tes soupçons.”. Résultat : confirmation +++. Des malaises sans raisons, retour des nausées, moral en berne (je me demande même si cette pilule n’a pas contribué à ma chute en dépression l’année dernière. Il faudrait que je resitue la période où j’ai été sous Désobel pour en être sûre) et anxiété amplifiée car j’ai cru que j’étais bel et bien enceinte cette fois.
1ère décision : arrêt nette de Désobel et retour à ma marque de pilule habituelle dès les prochaines règles (qui sont arrivées 3 jours après, hier).
2ème chose : lors de mon prochain rendez-vous chez la gynéco (le 12 mai, j’ai hâte maintenant !), je demande à ce qu’on m’installe un stérilet au cuivre. Je me rends compte maintenant de l’impact des hormones sur notre corps et notre bien-être. Même si je m’étais apparemment bien acclimatée à Désogestrel, l’expérience avec Désobel m’a prouvée la puissance des hormones sur mon organisme. Et je préfère l’en débarrasser totalement.
Votre témoignage m’ayant apporté beaucoup, je viendrais certainement vous faire un retour concernant mon expérience.
PS : je vous dis merci pour votre site. J’ai de la lecture à rattraper maintenant ! Car nombre de vos articles abordent des sujets qui m’intéressent beaucoup.
Merci Pashmilla pour ce gentil message,
Encore un parcours chaotique de plus qui résonne sur nos corps et nos esprits et que nous avons à subir juste parce que nous sommes des femmes. Ça me désole… J’espère que le sevrage et un autre moyen de contraception te permettront de tout remettre en ordre 🙂
Bonjour,
Je suis ton blog depuis un certain temps déjà, et j’avoue que c’est toi et tes expériences qui m’ont poussées à adopter une routine naturelle de soins corporels entre autres. Merci pour tout ça ! 🙂
Je vais y aller également de ma petite histoire, à propos de la pilule. Comme beaucoup, je suis restée 5 ans sous Jasminelle Continu. Il y a 6 mois, je suis passée sous Optimizette, qui est la pilule donnée aux fumeuses par exemple, ou aux migraineuses, comme moi. Elle est moitié moins dosée que Jasminelle et ne contient pas d’oestrogènes, si j’ai bien compris. La prise de cette nouvelle pilule a entrainé sur moi, je pense, l’effet d’un “petit arrêt” : perte tout d’abord des cheveux, cheveux gras ensuite, et maintenant, alors que tout le reste était fini, une acné sur le visage, le dos et le buste, alors que je n’ai jamais eu un bouton de ma vie. Je l’ai mal vécu, car à 22 ans, j’ai décroché mon premier emploi juste avant de prendre cette nouvelle pilule. Bien entendu, j’ai eu une remontée significative de libido. J’assimile la prise de cette nouvelle pilule comme quelque chose de positif, puisqu’elle est “meilleure” que la précédente et que ses effets secondaires vont dans le sens d’un arrêt.
Je n’ai pas changé ma routine, au contraire, et je pense sincèrement que l’acné va se calmer bientôt.
Néanmoins, j’essaye de trouver des informations et surtout des avis sur Optimizette, et peut-être des témoignages de personnes ayant eu le même chemin que moi. As-tu des informations sur ce sujet, ou peut-être des plateformes à me conseiller sur lesquelles je pourrais aller m’informer ?
Merci par avance, et merci pour ce blog 🙂
Salut Marie,
Ça me touche vraiment d’entendre ça car c’est toute la raison d’être de ce blog 🙂
Je ne connais pas cette pilule Optimizette mais je pense que tu as très bien analysé ce qui t’arrive, cette pilule étant différente, elle te convient visiblement mieux. Pour ma part, après encore quelques nouvelles recherches je commence à me demander si les Jasmine/Yaz et Jasminelle ne contiennent pas un produit problématique qui lors de l’arrêt dérègle tout (bien plus que pour es autres pilules). Peut-être la fameuse drospirénone dont je parle dans les autres articles… Moi non plus je n’avais jamais eu d’acné et il faut voir que deux ans après l’arrêt j’y suis encore (ma peau n’est jamais totalement nette comme elle pouvait l’être avant, je dois toujours me maquiller chaque matin) même si ça c’est bien calmé donc y’a quand même un gros problème…
Je n’ai pas de sites où tu puisse en discuter mais une bonne recherche Google devrait t’aiguiller, essaie en tapant “effets arrêt Jasminelle” ou “passage Jasminelle Optimizette” et puis bon après malheureusement nous n’avons que très peu d’informations sur le sujet c’est pour ça que je suis justement en train de rédiger un livre pour vous sur le sujet (malheureusement il ne pourra pas aborder chaque pilule et chaque cas particulier mais il couvrira déjà la plupart des questions et aura pour but de faire comprendre es phénomènes qu’il y a derrière la prise d’hormones contraceptives).
Merci pour ta réponse ! 🙂
Cette pilule a l’air de me convenir mieux, mais je ressens quand même les effets du changement et surtout de “l’arrêt” de ces pilules si dosées ! Là ou est le bien, c’est que je me dis que tant qu’à prendre une pilule, qu’elle soit moitié moins dosée me permet de mieux le vivre psychologiquement. Je me demande pourquoi, par contre, ces pilules beaucoup moins dosées ne sont pas prescrites systématiquement ? (dans le respect bien sur de ce que le corps peut accepter).
Bravo pour le livre que tu sors actuellement, les femmes doivent savoir tout cela avant de prendre la pilule, surtout que souvent, nous sommes si jeunes que finalement 1) nous n’avons pas le choix 2) nous sommes trop jeunes pour nous rendre compte de ce qui nous arrive. La sensibilisation n’arrive que longtemps après.
PS : après quelques recherches sur Optimizette, je pense que c’est une pilule qui n’a pour l’instant pas fait beaucoup de bruit puisque je n’ai pas trouvé de textes de professionnels à ce sujet.
Oui et je pense que (mal)heureusement à cause des quelques décès que nous avons eu récemment les médecins vont doucement mais sûrement commencer à changer sur le sujet, parfois parce que les femmes les y obligent elles-mêmes ^^
Bonjour Marie,
je me permet de répondre, car pour ma part depuis 2 mois je suis passé aussi à optimizette.
J’ai pris pendant 10 ans la Diane 35, puis Daily gé (4 ans) mais ma doc viens de me la changer car j’avais énormément de Kyste dans la poitrine avec celle ci plus d’autres soucis avec la Diane 35.
Par contre sur moi Optimizette ne convient pas très bien je pense.
Prise de 6 kg
Acné sévère alors que j’en avais que très peu à la base
Perte de cheveux, gras aussi,
Vertiges constant, affaiblissement
Chevilles comme des poteaux
Et surtout des douleurs atroce dans la poitrine qui m’empêche même de dormir !
Je ne sais plus trop quoi faire, si je vais arrêter la pilule ou non, ou si je reprends la Daily gé,
J’ai un peu peur de prendre énormément de poids en arrêtant la pilule, et aussi de perdre encore plus mes cheveux aussi, car j’ai de l’alopécie androgénétique diffus …
Aucun problèmes d’hormones pourtant mais bon, je sais plus quoi faire pour ma part 🙁
Voilà mon expérience Marie
Bonjour Christine,
Merci pour votre commentaire !
J’avoue, vos effets secondaires sont beaucoup plus forts que ceux que j’ai eu… Par contre, ma gynéco m’a dit qu’il n’est pas possible de faire un bilan en dessous de trois mois de prises, alors qu’en pense votre gyneco ? L’avez-vous informée de cela ?
Bonsoir,
Pour ma part cette article m’aide beaucoup dans ma prise de décision.
Ça fait maintenant 5 ans que je prends la pilule. Dans l’ordre, Yaz (6mois) Diane 35 (2ans), leeloo ge (1 an), Jasmine (2 ans), et là depuis 2 mois Triafemi.
J’ai de l’acné, pas sévère mais assez pour en pallier sur le morale.
Je prends kilos sur kilos, je me sens ettoufer dans toutes ces hormones, mon dernier comprimé ? Demain ! Je vais vraiment le faire mais j’ai vraiment vraiment peur que l’acné revienne en force et brise ma confiance en soi..
A l’époque j’avais pris la pilule pour ça et pour mes règles franchement douloureuses.. Pensez vous que l’acné pourrait avoir l’effet inverse et juste ne pas se manifester aussi gravement que je l’imagine ?
Salut Sandra,
Ravie de voir l’effet que peut faire un article comme le mien 🙂
En revanche, je suis vraiment désolé de dire ça à chaque fois mais on ne peut absolument pas prévoir ce qui va se passer à l’arrêt de la pilule pour la simple et bonne raison que nous réagissons toutes très différemment…
Alors pour ma part, je revis actuellement. Je n’ai plus de micro kystes sur le visage. J’ai essayé le masque au miel que je trouve génial et j’ai fait aujourd’hui la crème visage et le soin après masques que je vais tester dès ce soir…
Merci pour toute ses expériences partagées !!!
dd151
Avec grand plaisir ! 🙂
Super découverte ce blog
J’ai arrêté ma pilule à l’arrache y a moins d’un mois, je vais tenter un sevrage progressif parce que j’ai les joues pleines de mycrokystes
Pour les humeurs je m’en doutais un peu
(Et du coup je sais d’où viennent les problèmes de sécheresse maintenant )
Merci pour l’article
Merci Ol avec plaisir et je te souhaite que tout revienne vite à la normale 🙂
Bon je suppose que je suis chanceuse.
Masque argile verte + masque miel cannelle + aloe vera & tea tree huile essentielle + egyptian magic, ça aide à vraiment calmer le tout. A savoir que j’ai la peau sensible et mixte.
Je ne me maquille jamais la peau non plus.
Je voulais aussi tester un savon à l’argile rose à voir par la suite et de l’eau micellaire
Moins de mycros kystes (les hormones se calment peut être).
Voila si ca peut en aider d’autres
Super 🙂
En revanche l’eau micellaire c’est pas l’idéal non plus, à choisir l’huile végétale avec de l’eau sur un coton est plus saine, décroissante et écologique (enfin c’est mieux sur tous les points), le savon choisi-le bien surgras et saponifié à froid, l’idéal pour ne pas abîmer ta peau en la nettoyant ça devrait vraiment t’aider à accompagner ce changement 🙂
Bonjour j’ai lu votre article qui est super intéressant !
Je me demande depuis quelque temps si je vais continuer ma pilule car depuis l’âge de mes 11 ans (cause d’anémie) on m’à mise sous pilule,
aujourd’hui j’en ai 32. j’ai été pendant au moins 10 ans sous diane 35 que j’ai changé il y a 4 ans, et bizarrement aujourd’hui on me découvre énormément de kystes dans la poitrine très très gros, perte de libido prise de poids, mais pas que ….
A cause du changement de la Diane cela m’a provoqué une alopécie (aag) et pourtant mon bilan hormonal est normal ! Cela fait 2 ans que mon dermato incrimine mon ancienne pilule justement…
Je me demandais du coup, comme je voudrai arrêter cette pilule (mais je ne peux pas poser de stériler), si juste les préservatifs pouvaient aller, je ne sais pas si quelqu’un ici vis cette expérience.
En tout cas merci pour vos articles car ils sont très bons !
Salut Christine,
Oui effectivement situation complexe… mais concernant l’arrêt oui il suffit de choisir un autre moyen de contraception pendant le sevrage et voilà 🙂
Je suis en train de vous rédiger un e-book pdf pour répondre à toutes vos questions sur le sujet, vivement que vous puissiez en bénéficier !!
Merci pour ces articles intéressants sur ton changement de contraceptif !
De mon coté je n’ai jamais voulu prendre de contraceptif hormonal mais je ne trouve pas ca très simple de trouver des alternatives fiables…
La première fois que je suis allée chez le gynéco pour un contraceptif, je lui ai demandé la pose d’un stérilet. Il a trouvé que pour commencer ce n’était pas une bonne idée (je me demande encore pourquoi) et je suis repartie bredouille avec une ordonnance pour une pilule faiblement dosée que je ne suis jamais allée chercher à la pharmacie.
Environs 6mois plus tard, je réitérais ma demande vers un autre gynéco et me faisais poser un DIU en cuivre pour nullipare. Mais ca n’a pas du tout été une réussite. Habituellement je n’ai pas de douleur pendant mes règles ou uniquement le premier jour, une cup me fait la journée et ce sur une semaine. Là, avec le stérilet, mon flux est devenu “hémorragique” : je devais vider ma cup toutes les heures en journée avec parfois des mauvaises surprises… vraiment pas simple quand on est en cours ; la nuit je devais me relever plusieurs fois. Mes règles ont duré 15j en ayant très mal au bas du dos. Bref c’était le cauchemar.
Je ne sais pas ce que ca aurait donné sur le long terme car au bout de 15j mon stérilet fut expulsé. Et là non plus ca n’a pas été une partie de plaisir. Je me souviens encore du jour où c’est arrivé. Je rentrais chez moi en fin de journée et à chaque pas que je faisais, je sentais la même gène que durant la pose. Une fois arrivée chez moi je me suis rendu compte qu’il était descendu (moitié utérus, moitié vagin) et j’ai dû terminer de le retirer moi même…Je n’ai pas eu autant mal que comme je l’aurais imaginé au vue de sa forme en T mais c’est resté assez traumatisant quand même !
Quelques mois plus tard je commandais un moniteur de contraception Lady-Comp mais je n’ai toujours pas réussi à l’utiliser correctement de manière régulière. Ca fait maintenant deux ans que je tente de me motiver en me disant que ce n’est quand même pas la mer à boire que de prendre ca température buccale chaque matin à la même heure, et parce qu’au prix où je l’ai acheté ca fait mal de le laisser au fond d’un tiroir x)
Mais aujourd’hui j’ai envie de laisser tomber, si cette méthode me convient pas il vaut mieux avoir perdu de l’argent plutôt que de continuer à prendre des risques comme je l’ai fait ces trois dernières années avec la pseudo-méthode du retrait.
Malgré ma mauvaise expérience, je suis tentée de réessayer le stérilet car pour moi ca reste le contraceptif idéal. Mais j’ai peur de revivre la même chose. Si je retente je pense que ferai ca pendant les vacances et que j’éviterai d’utiliser ma cup les premiers mois, au cas où c’est un rapport. J’hésite vraiment ! Si ca ne marche toujours pas je me tournerai à contre cœur vers la pilule. Car pour mettre déjà pas mal renseignée, je n’ai pas le sentiment qu’il y ait d’autres contraceptifs aussi fiables sans hormones et sans barrière physique du type préservatif :/
Salut Tilou,
Tu as tout à fait raison, parmi les contraceptions non hormonales, seuls le stérilet cuivre et certaines méthodes naturelles sont aussi fiables (parfois plus que la pilule)…
Je pense donc que tu devrais réessayer même si je compatis à 2 000 % pour la douleur pour avoir vécu la même (et bon, finalement je n’ai pas supporté ce DIU mais ce n’est que mon cas).
Je suis en train de rédiger un ebook sur le sujet pour répondre à vos questions en collaboration avec un médecin, j’espère qu’il sortira à temps pour t’aider !
Merci pour ta réponse, je suis contente que tu sortes cet ebook ! Je vais l’attendre avant de retenter l’expérience ! ^^ Avoir plus d’info et me rendre compte que d’autres on eu des effets indésirables au début mais que ca a fini par s’arranger, va sûrement m’être utile et m’encourager 🙂
Passe une agréable journée
Bonjour,
J’ai arrêté la contraception le jour où je devais faire poser mon 4eme implant chez mon gynécologue.
Mais 30 minutes avant de partir pour la consultation, j’ai eu la bonne idée de lire les effets secondaires.
Depuis plusieurs mois je souffrais de douleurs articulaires ( consultation chez un rhumatologue et bilans sanguins qui n’ont rien donnés), mes intestins étaient détraqués quoique je mange ( douleurs, diarrhées) ( consultation chez un gastro-enterologue qui n’a rien trouvé et voulait que je fasse une coloscopie, j’ai décliné poliment…!), une très grosse fatigue que même les grasses mâtinées n’effacaient pas, des cystites à répétition, une libido plus qu’en berne, et l’envie de rien du tout.
Et là, révélation ! Vous savez les effets secondaires qu’on ne lit jamais, répertoriés dans un beau tableau du genre si vous avez tel symptôme vous faites parties des 1 pour 10, ou 1 pour 100 (ce qui logiquement ne devrait inquiéter personne puisqu’on fait parti de la norme, nos bobos sont écrits là noir sur blanc) et bien tout était rangé ici, à cet endroit précis. Et tous mes symptômes y figuraient.
Le plus fort, ça été de découvrir que les douleurs articulaires étaient présentes pour 1 cas pour 1000!
Alors j’ai surligné au fluo tous les symptômes sur la notice du futur implant que je devais me faire poser, c’était le Nextplanon, le même que la fois précédente.
Arrivée à mon rendez-vous, j’ai expliqué à ma gynécologue que je souhaitais pas reposer d’implant pour l’instant, pour les raisons qui sont inscrites et surlignées au fluo. Je lui ai dis que je voulais faire une pose de quelques mois pour voir si il y avait du changement. Je la sentais très très mitigée, en gros oui je pouvais faire une pause mais pour elle ça ne venait pas de l’implant.
Une ordonnance m’a été remise pour reprendre la pilule au bout de 3 ou 4 cycles.
Dès le retrait de l’implant, le lendemain, mes règles commencent. Je pensais que j’avais la gastro tellement j’avais mal au ventre, mais une heure après m’être réveillée mes règles démarraient. (Quasiment pas de règles pendant 9 ans, au naturel, on sent bien qu’on est une fille y’a pas de doute possible!!!!)
Et déjà là, mes intestins avaient un comportement différent, je sentais qu’il se passait quelque chose à l’interieur. Et le cycle suivant aussi.
J’ai compris que le cycle hormonal avait une influence sur le fonctionnement des intestins, et les problèmes de cystites aussi. Quand on nous dit que tout est lié, c’est bien vrai.
J’ai repris la pilule au bout du 4eme cycle, et en trois jours, tout revenait progressivement : la fatigue, les mots de ventre et tout ce qui va avec, et surtout les douleurs articulaires. J’ai arrêté la pilule, ma gynéco n’était pas contente : “la’pilule que je vous ai prescrite est la plus faiblement dosée (leloo), si vous ne la supportée pas, vous n’en supporterai aucune autre”
Aujourd’hui j’utilise le moniteur de contraception Clearblue qui fonctionne avec des tests urinaires pendant 8 jours chaque mois, je sais c’est cher, ce n’est pas remboursé mais ça me coute la même chose qu’une pilule non remboursée sans les effets secondaires. Je cherche les meilleurs prix sur internet plutôt que d’aller en para pharmacie : c’est très cher, ou personne ne connait le système !
C’est quand même dommage sachant que de plus en plus de femmes supportent de moins en moins les contraceptifs.
Pour les maux de ventre pendant les règles, je prends de l’homéopathie, cyclamen europaeum 9ch 3 granules (au pire un spasfon si la douleur est tenace), et pour les migraines actea racemosa 9ch granules. Sinon la tisane de thym pour les douleurs spasmodiques en tout genre ça marche très bien. Oui je sais c’est pas bon mais c’est comme tout, on s’y habitue. C’est naturel et anti-bacterien.
Quand on arrête la pilule, on se soigne de manière plus naturelle bizarrement !
Très honnêtement, si vous constatez des effets secondaires avec votre contraception, relisez votre notice et arretez la le plus vite possible.
Il faut savoir qu’il n’y a qu’en France qu’il paraît aberrant de ne pas prendre la pilule.
Prenez soin de vous et soyez vous-même, osez tenter l’expérience de vous découvrir.
Merci Sophie pour ce témoignage !
Je dois te remercier pour ce grand témoignage qui m’a redonné espoir car tu as si bien décrit ton vécu. Tu m’as grandement informé sur tous mes questionnements et tu m’as convaincu d’entreprendre les démarches pour arrêter la pilule et me faire poser un stériet de cuivre. Ça fait 10 ans que je prends la pilule dont 5 ans que je prends Jasmine et j’ai les mêmes symptômes que tu avais avant de l’arrêter. Même pour les cheveux fins et clairsemée (Jai perdu plus du 3/4 de la densité de cheveux que j’avais au paravant) graduellement durant les années biensur mais ouff … Bref tu m’as serieusement redonné espoir à retrouver une connection avec mon corps pour tout les avantages que tu as décrit ici. Merci encore.
Merci à toi et je te souhaite que cela t’apporte autant que cela m’a apporté 🙂
Merci pour cet article ! J’ai arrêté la pilule il y a 8 mois, après 11 ans de prise, sans sevrage et je suis ravie de ne plus subir ses effets chimiques et artificiels… Les effets secondaires de mon cycle naturel je les ai rapidement vu apparaître ! les points négatifs : peau et cheveux plus gras, acné visage et dos (je suis toujours en plein dedans 8 mois après… !) Les points positifs : retour de la libido, état d’esprit plus positifs, je me sens plus dynamique ! Le sentiment général pour moi dans cette expérience c’est la satisfaction d’avoir repris la main sur le fonctionnement de mon corps et de vivre mes cycles naturellement, en acceptant les désagréments !
Super merci pour ton témoignage 🙂
Oui ben côté désagréments de peau j’ai encore quelques petits restes moi aussi 22 mois après alors patience ! On ne perturbe pas son système hormonal impunément….
[…] en vous proposant divers e-books sur des sujets phares du blog comme le sevrage du sucre, l’arrêt de la pilule ou des pensées plus […]
Bonsoir,
je viens de lire ton article par hasard en cherchant des sujets sur les pilules… je ne supporte plus les pilules je crois ni les implants… après m’être faite retirer l’implant car j’avais eu une éruption de boutons dans le dos, je prends une pilule et après c’est de nouveau des boutons dans le dos… Sans parler des migraines, je suis sujette aux migraines mais je me demande si ce ne sont pas les pilules qui me les donnent… j’avais commencé par trinordiol qui me convenait plutôt bien mais j’avais eu une peu de cholestérol et mes migraines duraient plusieurs jours donc c’était parti de là le changement de pilule…
Mais là avec cette gynéco, qui me suis depuis quelques années, la mienne a du s’arrêter hélas pour raisons de santé et c’est bien dommage car je la trouvais plus sympathique en plus…
Bref, je pense que je vais devoir encore changer de pilule car douleurs aux seins, plus peut-être un urticaire possiblement lié à la pilule et puis je ne sais pas pourquoi mais j’ai senti que ça n’allait pas le faire comme on dit…
J’aimerais vraiment arrêter la pilule mais quand j’ai commencé à la prendre c’est parce que j’avais des règles qui me rendaient clairement malade : horribles douleurs, vomissements et malaises…
Et quand j’ai demandé à ma gynéco si j’arrêtais la pilule si ça allait revenir elle m’a dit que oui… j’espère pas autant sinon je me demande comment je ferai pour l’arrêter afin d’avoir un enfant…
Et pourtant, j’aimerais bien l’arrêter car en plus, je n’ai plus de vésicule biliaire depuis quelques mois et j’ai l’impression que mon corps est encore plus sensible et ne tolère plus du tout la pilule…
Salut Delphine,
Si tu as une intuition il faut la suivre. Après, personne ne pourra te garantir que l’arrêt de la pilule ne va te causer aucun désagrément… Tu ne peux que te jeter à l’eau et voir !
[…] Arrêt de la pilule, vingt mois après : le bilan, sur le blog Ça se saurait, pour avoir une idée des effets à long terme. […]
Bonsoir,
J’ai découvert votre blog alors que je me renseignais sur l’arrêt du sucre et j’ai du coup parcouru vos autres articles jusqu’à tomber sur ce sujet. Du coup je me décide à apporter ma contribution. j’ai arrêté la pilule il y a 1 mois, après 15 ans de prise. J’en avais assez de prendre des hormones, je suis donc passée au stérilet en cuivre. J’avais quelques craintes suite aux différents témoignages que j’avais lu ici ou là, mais maintenant je peux le dire: je revis! La pose s’est hyper bien passée: ma gynéco m’a décrit tout ce qu’elle faisait, j’ai eu mal 10 secondes et en 10 minutes j’étais sortie du cabinet. Quelques douleurs de règles jusqu’à la fin de la journée et dès le lendemain, je n’y pensais plus.
Mon expérience est encore assez récente, mais pour le moment ce n’est que du bonheur: mon grain de peau s’est affiné, je n’ai plus à me demander si j’ai pris ou non ma pilule, mes odeurs corporelles sont moins fortes (glamour quand tu nous tiens…), mes règles ne sont pas plus douloureuses que quand j’étais sous pilule, même si un peu plus longues… J’ai maigri mais je pense que c’est surtout lié à l’arrêt de ma consommation de sucre (bien que j’aie fait quelques écarts pendant les fêtes). J’espère perdre un peu de poitrine, on verra dans quelque mois.
La seule chose que je regrette, c’est de ne pas l’avoir fait avant!
Salut Audrey et merci pour ce témoignage qui ira rejoindre les nooooombreux autres 🙂
Attends quand même de voir après 3/4 mois d’arrêt pour être sûre de n’avoir aucun effet secondaire indésirable dû aux hormones, c’est généralement à ce moment-là qu’apparaissent les premiers signes de dérèglement.
Profite-bien en tout cas !
Bonsoir,
Je suis tombée par hazard sur cet article. Et quelle surprise, je me suis reconnue dans tout les effets indésirables que tu pouvais citer. Cela faisait déjà plusieurs mois que je pensais arreter la pillule. Je me suis enfin lancée grace à ton article, il y a 3 semaines. Je suis tellement impatiente de ressentir les premiers effets positifs, que je m’inquiéte de ne pas les ressentirs. Pour l’instant, la sécheresse cutanée a diminuer et je n’ai plus de fringale limite la nausée à chaque repas. tu avais cette sensation aussi? Au bout de combien de temps as tu eu tes regles apres l’arret de la pillule ? Je croise les doigts et merci pour ton article !
Chacune fait une expérience différente Marmotte donc ça ne t’avancera pas forcément mais oui il m’arrive aujourd’hui très vite de ressentir que je n’ai plus faim et donc parfois d’en avoir presque la nausée, c’est juste un ajustement en fait, tu avais l’habitude de trop manger et ton corps ne ressentait pas bien la satiété alors que maintenant il la sent bien donc ça devrait passer 🙂
Pour l’arrivée des premières règles post pilule, je décris tout dans l’article Le sevrage et Les effets mais comme je n’ai pas arrêté d’un coup à cause du sevrage ce n’est pas représentatif et tu peux ne pas avoir tes règles tout le temps où tu prends encore des bouts de cachet…
Bonjour,
Après avoir vu vos articles sur l’arrêt de la pilule et surtout sur le sevrage, je me suis également décidé à arrêter ma pilule Jasminelle, que je prenais depuis plus de 6 ans, il y a un peu plus de trois mois. J’ai décidé d’espacer la prise de comprimés, maintenant j’en prends un tous les trois jours, en marquant une semaine de pause comme je pouvais le faire avant. Ca va faire presque 10 jours que je fais du spotting, règles très peu abondantes et très foncées… Après avoir lu votre témoignage, je pense que cela doit être normal, que mon corps doit reprendre le dessus.
Néanmoins, ca va faire quelques mois que je perds une quantité IMPRESSIONNANTE de cheveux, alors qu’à la base mes cheveux sont fins et peu nombreux, donc là ca va finir par devenir critique et être chauve à 22 ans ne me plairait pas vraiment… J’ai pu d’ailleurs voir que vous preniez la Jasmine, donc une pilule semblable à la Jasminelle, et que l’arrêt de votre pilule a entraîné chez vous un véritable regain de vigueur pour votre chevelure. Or, après avoir vu sur le site du Centre Clauderer que la pilule Jasmine a normalement un effet positif sur les cheveux, j’ai pensé que l’arrêt devrait logiquement entraîner une chute importante de cheveux, donc je me pose pas mal de questions… A votre avis, mes cheveux vont-ils continuer de tomber ou dois-je garder espoir? 😉
Merci d’avance, Claire
Salut Claire,
Alors, a contrario de ce que ce site prétend la drospirénone contenue dans Jasmine et Jasminelle est ce que l’on appelle un anti-androgène (diminue la production d’hormones androgènes dans le corps). Un anti-androgène ayant pour caractéristique de diminuer globalement la pilosité et les cheveux, a priori, non ces pilules n’ont pas d’effet “positif” sur les cheveux ou la masse capillaire. C’est d’ailleurs l’expérience que j’ai faite puisque j’ai deux voire même trois fois plus de cheveux depuis que j’ai arrêté d’en prendre.
Ceci dit, la chute de cheveux à l’arrêt ou au sevrage de la pilule est juste due au chamboulement hormonal qui perturbe beaucoup de choses dans le corps. Avant d’avoir ma très belle repousse j’ai moi aussi eu une très forte chute. C’est normal, ça arrive et même si c’est impressionnant ça s’arrête. Vous êtes plusieurs à être venues me demander si vous alliez devenir chauves et, jusqu’à maintenant, aucune d’entre nous ne l’est devenue 🙂
Si tu veux arrêter la pilule il faut savoir que ce genre de phénomène peut se produire et que tu devras être patiente mais, promis, au final ça en vaut la peine !
Bonsoir, vous vous trompez sur les androgènes: ce type d’hormone favorise la pilosité ET la chute de cheveu. De même que certains hommes ont une pilosité importante tout en étant chauves, un taux de testostérone (ou d’androstenedione) élevé entraine une pilosité accrue et fait tomber les cheveux. C’est un problème fréquemment rencontré par les femmes ayant des dérèglements hormonaux de type dystrophie ovarienne (ou ovaires polykystiques). Les anti-androgènes régulent alors les taux trop élevé d’androstenedione (hormone masculine) ramenant une pilosité normale, régulant l’acnée et l’affinement des cheveux. Je ne m’explique donc pas pourquoi vos cheveux ont épaissi à l’arrêt de Jasmine, preniez-vous cette pilule en réponse à des taux d’hormones anormaux (ce pourquoi elle est souvent prescrite)?
Merci à vous en tous cas pour ce récit revigorant qui nous aide à franchir le pas de l’arrêt de la pilule 🙂
Bonsoir Peigne,
En effet, trop d’androgènes favorisent la chute de cheveux, d’où le nom de l’alopécie androgénique. Certains y sont plus sensibles et chez ceux-là, même un peu d’androgène favorise la chute du cheveux, affinant le cheveux au fur et à mesure (particulièrement sur l’avant et les côtés avant du crâne).
Cela dépend de notre climat hormonal de base. Les androgènes ont peu d’effets chez certaines, d’autres y sont plus sensibles. Ceci dit, il faut creuser le sujet parce que, j’avance que les anti-androgène ont un effet négatif sur le cheveux parce que c’est ce que plusieurs médecins (et pas des moindres) m’ont affirmé.
En effet d’ailleurs, sur la liste des effets secondaires d’un médicament qui reprend précisément les mêmes doses et produits qu’avait ma pilule (ethinyestradiol + drospirénone), on peut lire en effet secondaire : “alopécie” (alors que la pilule en question ne contient qu’un anti androgène) (cf. perte de cheveux (alopécie)).
Ce site explique notamment que certains progestatifs peuvent avoir un effet négatif sur la masse capillaire mais indique sur cette autre page que la drospirénone en l’occurrence aurait plutôt un effet a priori positif sur la masse capillaire.
N’oublions pas non plus que dans la pilule il y a aussi des œstrogènes et que des variations d’œstrogènes ont des effets sur les cheveux.
Bref, tout ça est à creuser et je pense effectivement que cela dépend du climat hormonal de base de chacun mais enfin déjà, si l’effet est décrit dans la notice il me semble que c’est très étoffé comme argument parce que le fabricant n’aurait pas vraiment envie à la base de le stipuler sinon vu qu’il avance le contraire en disant que sa pilule magique a des effets positifs sur les cheveux…
Je vais me plonger là-dedans plus profondément mais il semblerait que la science ne sache pas encore si c’est l’androgène qui génère la chute de cheveux ou si c’est la sensibilité que chacun de nous a envers les androgènes qui fait leur effet… ou non.
Merci beaucoup Peigne, ça m’a permis de me rendre compte qu’il faut creuser le sujet 🙂
PS : non je ne prenais pas la pilule suite à une quelconque problématique hormonale et je n’ai pas tendance à avoir naturellement (avant la pilule) de l’acné ou une pilosité forte ce qui laisserait à penser que je n’ai pas une forte activité androgénique naturelle.
Hello !!!!!!!
J’aimerais aussi donner mon témoignage. Je ne prends pas la pilule (en fait aucun contraceptif) tout simplement je suis seule :D. Je sais qu’a mon âge (20 ans) beaucoup de jeunes filles prennent la pilule. Pour ma part, c’est un choix délibéré de ne pas la prendre. J’ai rencontré une personne (que je n’aimais pas trop et la seule pour l’instant) et puis un jour, j’ai flippé et j’ai pris la pilule du lendemain (qui finalement était une TRÈS GROSSE FRAYEUR pour rien…). Cette seule prise a bouleversé le cours de mes règles pendant quelques mois… Aujourd’hui mes règles sont redevenues régulières, j’ai des maux de ventres plus intenses mais chose étonnante, dans mon cas j’ai constaté que ces maux de ventre avaient une part du mental. Donc quand je suis de bonne humeur ou que je suis très occupée, ils disparaissent… Aujourd’hui, si j’aime à nouveau une personne, je ne ferai plus les mêmes erreurs et surtout ce sera dans quelques années. Pour l’instant j’en profite, j’ai personne à charge lol.
Fait anecdotique mais intéressant: j’ai eu mes règles la semaine dernière et depuis quelque temps quand je porte des robes, je mets rien en dessous (désolée je raconte ma vie). Quand elles sont arrivées, je ne les ai même pas senties. Je pense avoir expérimenté le flux instinctif (dont tu as fait allusion dans ton article?) Aucune tâche, rien. Lorsque je suis allée aux toilettes, elles étaient pourtant bien la. J’ai commencé à flipper et puis, j’ignore comment je m’y suis prise mais c’est comme si j’ai “empêché” qu’elles débordent ou qu’elles tachent mes vêtements. Résultat: j’ai pu rentrer chez moi, tranquille mais je n’ai pas pu prolonger l’expérience plus longtemps, la peur a repris le dessus et j’ai pris ma culotte et mes serviettes chez moi…
Voila !!! Sorry for ze pavay ^^
Don’t be sorry for the pavay, here we like it <3
Pour répondre à ton pavay dans la mare (oui nous aimons aussi beaucoup les blagues pourries ^^), oui tu as d'une certaine manière expérimenté instinctivement le flux instinctif, l'urgence t'a obligé à retenir et tu as découvert seule (comme certaines depuis longtemps avant que ça ne devienne à la mode et que cela ait un nom) qu'on peut retenir le flux grâce à nos muscles. Personnellement j'ai aussi expérimenté ça quelques fois et c'est surtout depuis que j'ai écrit un article sur le sujet (le premier en France!! cf. Nexus juillet-aout 2015) eh bien même si depuis je n’ai pas vraiment pu expérimenter sur tout un cycle avec succès juste le fait de savoir ça possible je retiens naturellement bien mieux qu’avant : fou non ?
Effectivement, je trouve ça fou ! Jusqu’à peu, je ne pensais même pas qu’on pouvait retenir ses règles et pour tout te dire, quand j’ai entendu parler du flux instinctif, j’étais sceptique…jusqu’à ce que je l’expérimente moi même ! J’aurais aimé dépassé mes peurs pour l’expérimenter sur mes 3 jours de règles un de ces quatre…
Oui si tu y arrives c’est une super solution je trouve 🙂
Hello, moi c’est totalement l’inverse. Ma pilule me rendait hypersensible. Beaucoup trop. Je pétais des plombs pour rien à l’approche de mes règles, j’étais très angoissée, enfait, toujours “trop”. Trop chiante, trop fatiguée, trop tendue…. Et trop pas envie de faire l’amour !
Et puis j’ai arrété il y a 14 mois hier et alors oui, j’ai des boutons maintenant… Mais c’est tout ! Je me sens libérée de cette sur-sensibilité et je ne pète plus des plombs pour rien ! Mon humeur est stable, j’ai beaucoup plus le smile. Par contre je n’ai toujours pas retrouvé mon cycle. J’ai de minuscules règles 2 jours par mois !
[…] “Arrêt de la pilule, vingt mois après : le bilan” […]
[…] “Arrêt de la pilule, vingt mois après : le bilan” […]
J’ai bien l’intention d’arrêter en 2016, mais d’abord faut que je sois réinscrite chez mes amis de la Sécu… Un an que je bataille, j’ai déménagé et donc tout à reprendre à zéro… Et trouver un nouveau gynéco !
Cependant ça me fait un petit peu peur ces effets secondaires. Actuellement sous pilule, j’ai déjà une peau mixte avec des imperfections, et les racines grasses (shampoing tous les 2-3 jours…) alors qu’est-ce que ça va être à l’arrêt !
Oui malheureusement pas de réponse toute faite : il faut essayer (et réellement, malgré les désagréments, c’est mieux après, promis^^)
La pilule est une “camisole chimique”, dixit mon gynéco… Pas étonnant, dès lors que l’on ressente une vraie libération quand on arrête de la prendre. Impression de revivre, je suis bien d’accord! Socialement, cette pression de la plupart des gynécologues, notamment français, sur les femmes pour les inciter à prendre la pilule m’interroge… Moins sujettes aux fluctuations des hormones, donc plus disponibles? Plus corvéables? Plus éteintes et soumises?
Eh bien si même eux le disent…
Je ne sais pas s’il faut y voir un complot mondial organisé mais en tout cas, le constat est là alors autant agir !
Bonjour,
d’abord un grand merci pour ton blog, qui est un vrai espace de réflexion intelligent et tolérant et ce n’est pas si répandu de nos jours…une vraie bouffée d’oxygène! Je viens de le découvrir et j’ai des tonnes d’articles à lire, chouette!
J’ai arrêté la pilule il y a 5 ans maintenant. Je “sentais” dans mon corps que j’en avais besoin, que je voulais dire stop après 18 ans de prise ( avec quelques interruptions brèves), que ce n’était pas bon pour moi. Et puis c’était celle qui était aussi utilisée contre l’acné et des médecins m’avaient dit que c’était une pilule assez lourde et d’ailleurs, elle a été retirée du marché après…
Ca été très dur les 3 premiers mois, je me suis tapé des maux de tête assez atroces, à vouloir d’ailleurs me taper la tête contre les murs, ce qui aurait rendu les choses pires, j’en conviens! avec nausées aussi, bref le bonheur.Mais je me suis accrochée.
Et ensuite, vers la 3 ème semaine, alors là, je ne me suis plus reconnue, comme si on m’avait enlevé un voile de devant les yeux et des plombs aux chevilles, mon humeur est remontée en flèche, oui vraiment, je n’étais plus “plombée”, j’avais retrouvé le goût de vivre, de faire des choses, une belle énergie mentale, le bonheur quoi! Cet état de grâce a duré au moins 6 mois. Oui, bizarrement, les choses n’ont pas perdurées à ce niveau et je ne sais pas pourquoi…on a pas le même âge, j’ai maintenant 42 ans et en plus, je prends des hormones thyroïdiennes à cause d’une hypothyroidie. Je voudrais vraiment arrêter car je me demande si ce n’est pas ces hormones qui me plombent aussi…mais à en croire, les médecins, ce médicament est à vie et vraiment, ça me gonfle! Mais pour le moment, je ne trouve personne qui puisse me dire comment remplacer ces hormones par quelque chose de plus naturel et si c’est possible. Je déteste l’idée de prendre un médicament, comme ça, chaque jour de ma vie, surtout des hormones…et surtout parce qu’on me dit ” c’est comme ça, c’est à vie, pas le choix…”
Revenons au sujet: Pas trop d’effets sur la libido par contre mais chacune est différente. Et retour des imperfections cutanées mais bon, j’ai là aussi pris mon mal en patience. Les cheveux, j’ai continué à les perdre car apparemment, ça vient donc de la thyroïde et de mon anxiété chronique.
Non, le plus spectaculaire pour moi a été cet effet sur mon psychisme et mon moral reboosté pendant plusieurs mois.Comme si, comme toi, je me retrouvais, comme avant!
Merci beaucoup Laurence pour ces gentils compliments !
Effectivement, les problèmes de thyroïde influant puissamment sur le moral et pleins d’autres choses tu n’as pu évaluer sereinement ce qui venait de l’arrêt de la pilule ou de ça. Concernant ces médicaments à vie je pense que tu devrais voir côté naturel (avec efficacité prouvée) ce qui existe et essayer en remplacement puis si cela ne marche pas tu auras au moins essayé !
Bonjour à toutes.
Pour vous livrer mon expérience, je n’ai pris la pilule que quelques années et c’est vrai que j’ai tout de suite sentie que quelque chose ne tournait pas rond : baisse de la libido (quand on a la 20aine, c’est quand même bête !), je ne me reconnaissais pas dans mes humeurs… et surtout j’oubliais trop souvent de la prendre, avec ce que ça génère comme angoisses (inutiles heureusement).
Je me suis donc tournée très tôt vers le stérilet (à 23 ans) alors que je venais de me séparer, donc pas une vie affective stable…. mais du coup, ça donne un leitmotiv supplémentaire pour respecter son corps !
Bref, la libido est revenue très vite. Bon les problèmes de peau, j’en ai pas trop senti la différence (faut dire que je n’ai jamais eu de peau lisse sans imperfections), les cheveux, oui ils repoussaient très vite, c’est vrai (encore maintenant).
J’ai fait retirer le stérilet à 30ans pour avoir mon petit ange, et remis dans la foulée (suivant les conseils de ma gynéco).
Par contre, après la grossesse, avec les hormones qui dansent le dubstep, les syndromes prémenstruels étaient vraiment très prononcés, notamment les fameux doutes existentiels. J’ai donc été voir une diététicienne naturopathe qui m’a conseillé l’alchemille et/ou le gattilier… et ça a très bien marché. Aujourd’hui, je n’en prend plus, mais j’hésiterai pas à y retourner, car ça remet bien d’aplomb… Il faut juste penser à le prendre pendant les quinze derniers jours du cycle.
Merci pour ton article 🙂
Salut Elodie et merci pour ce témoignage 🙂
Oui le gattilier et les plantes qui agissent de manière générale sur les ovaires et les hormones féminines jouent un très beau rôle si on les prend bien !
Bonjour !
Merci pour cet article…
Petite question qui me taraude : vous souvenez vous au bout de combien de temps vous avez retrouvé une libido normale après arrêt de la pilule… ?
Bonjour Clémentine,
Les changements sont tous arrivés en même temps soit 3/4 mois après la pose du stérilet (donc 3 mois et quelques de sevrage) :-), et ça n’a fait qu’augmenter avec le temps.
Bonjour Sabrina, quel plaisir de lire un nouvel article de cette saga !
J’avais lu avec beaucoup d’attention les trois premiers chapitres – y compris tous les commentaires – ainsi que votre billet sur les 10 habitudes santé du quotidien dans lequel vous classiez l’arrêt de la pilule en numéro un ! Je n’avais cependant pas osé commenter, les billets datant un peu…
Jusqu’à présent, je ne m’étais jamais souciée des effets secondaires de la contraception hormonale, malgré les scandales des pilules 3e et 4e génération. Je m’étais vaguement dit que si on commençait à prendre une contraception à l’adolescence jusqu’à la ménopause, ça faisait beaucoup d’années sous hormones, mais ça ne m’avait pas alarmée plus que ça.
La lecture de vos trois chapitres fut le point de départ d’une grosse remise en question.
Je n’ai jamais voulu essayer la pilule (trop contraignante), mais j’utilise une contraception hormonale : j’ai commencé par l’anneau vaginal puis je suis rapidement passée à l’implant contraceptif. Je pensais que mon organisme le tolérer plutôt bien, un des effets secondaires chez moi est l’absence de règles – un vrai bonheur – mais malheureusement, il a aussi favorisé ma prise de poids.
Après avoir lu vos billets, j’ai commencé à m’interroger : et s’il y avait d’autres effets secondaires qui s’étaient installés insidieusement en moi, comme vous le dites si bien dans le premier chapitre ? C’est bête, mais on ne s’en rend pas forcément compte. On met la fatigue sur le compte du travail, la chute de cheveux à cause d’une carence alimentaire, idem pour les ongles mous ou cassants.
En parallèle, je me suis documenté sur Internet, puis récemment j’ai acheté le livre de Fabienne Beguerie (Quelle contraception choisir ?) et je compte me procurer aussi celui de Martin Winckler. Toutes ces informations m’ont fait réfléchir, car j’ai lu des passages assez préoccupants.
Malheureusement, au moment où j’ai lu vos billets sur la pilule, j’arrivais au terme de mon 2e implant. À la fois pressée par le temps, mais aussi parce que je ne me sentais pas prête pour le stérilet, j’ai opté pour l’insertion de mon 3e implant. Je m’accorde ainsi deux dernières années d’aménorrhée, mais aussi deux ans pour me préparer psychologiquement au stérilet en cuivre et au retour de mes règles (jadis douloureuses), ainsi que pour trouver un bon gynécologue qui acceptera de me le poser.
Car ma décision est prise : je ne veux plus de contraception hormonale. Certes, les premiers temps je vais peut-être râler de retrouver mes règles douloureuses de jeune fille, et j’espère tolérer le stérilet, mais ma santé vaut bien ce prix-là.
Bref, tout ça pour vous dire un grand merci, vos articles m’ont fait prendre conscience que les hormones contraceptives ne sont pas anodines. 🙂
Bonjour Delphine,
Heureuse que vous commentiez enfin. N’hésitez pas à le faire même sur des billets anciens (ils restent d’actualité), je suis toujours heureuse d’échanger. Vos commentaires sont une vraie valeur ajoutée au blog alors, désormais, soyez en assurée !
Moi aussi, la pilule avait l’avantage de me procurer de très très légères règles totalement indolores et j’ai effectivement du me faire à ce corps qui “vit”. Le mot principal, je dirais, pour qualifier mon corps depuis l’arrêt de la pilule c’est qu’il n’est plus “sclérosé”. Alors, oui, c’est parlant et, oui, ça change énormément de choses 🙂
Bon parcours et n’hésitez pas à venir nous tenir au courant ici ou à nous faire part de vos ressentis.
Bonjour !
J’ai lu de près vos articles sur l’arrêt de la pilule parce que j’avais moi-même très envie de la stopper. Pour plein de raisons autre que de tomber enceinte. Du coup, ça fait 3 mois que je ne la prends plus et du coup je vois bien les effets. Je crois que j’ai tout comme vous : du cheveux gras à la libido qui se ravigote, en passant par les boutons sur la zone T. Merveilleux, j’ai de nouveau 18 ans ! Je dis merveilleux mais les boutons et les cheveux gras c’est pas une partie de plaisir… Je perds aussi beaucoup mes cheveux. Et heureusement que j’en ai beaucoup, parce que sinon je serais chauve à l’heure actuelle.
Du coup j’ai une question : vous utilisiez quoi comme soin contre l’acné et la peau grasse ? J’ai testé pas mal de choses mais je ne suis jamais convaincue. Sois j’ai la peau qui tire car le soin dessèche, sois la peau qui brille. Par contre un truc top : j’avais la peau hyper sensible et tendance aux rougeurs (une bise d’un oncle mal rasé et HOP ! J’étais rouge pendant 2h..)et je vois que les rougeurs se réduisent considérablement.
Tout ça pour dire une chose : la pilule est vraiment vraiment vraiment quelque chose qui abîme le corps. Il ne faut pas oublier que c’est un médicament qu’on avale, pour la plupart d’entre nous, en continu pendant des années. Que font les médecins et gynéco ?! C’est quand-même à eux de nous informer de tout ça, des risques et des autres moyens de contraceptions ! Et d’ailleurs je rebondi aussi pour pousser un coup de pas-content contre les gynéco qui font peur à leurs patientes en leur disant que le stérilet c’est mal quand on a pas eu d’enfant parce que “vous comprenez bien madame, dans stérilet, il y a le mot stérile.” (j’ai vécu un RDV horrible chez ma gynécologue ça se sent non ? hahaha !)
Salut Julie oui malheureusement comme moi tu entames le parcours du combattant contre le yo-yo hormonal !
Bon alors comme soin à l’heure actuelle (et ce qui a le mieux marché) c’est un savant mélange entre hydratation et assainissement, je te copie-colle ce que j’avais déjà écrit à d’autres :
– Démaquillage naturel maison “J’ai trouvé le démaquillant bio, pas cher et efficace !
– Ne laver le visage à l’eau qu’une fois tous les deux-trois jours max (Pourquoi se laver le visage à l’eau c’est le mal …
– Hydratation avec hydrolat de rose + crème MuLondon ( à la lavande en ce moment plutôt que rose) qui traite vraiment et hydrate en même temps, ne pas hésiter à hydrater, ou alors avec ma crème maison
– Faire de temps en temps des masques miel-cannelle ainsi qu’un gommage doux (au sucre, café ou avec un savon exfoliant)
– Ne mettre que du maquillage qui n’aggrave pas le problème : “Lily Lolo, le maquillage minéral bon pour votre peau”!
Avec ça ça devrait s’améliorer rapidement et surtout ne pas se triturer le visage, c’est con mais crucial ! Et traiter en profondeur en essayant de calmer le yo-yo hormonal avec des plantes en tisane comme l’achilée milefeuille, le gattilier et la pensée sauvage ainsi qu’une cure dépurative pour le foie que la pilule a tendance à engorger (Drainaflore est parfait, complexe de plantes à boire).
Voilà ! Tu sais tout !
Sinon pour les gynécos encore une fois no comment (tu a d’ailleurs peut-être lu mon article en presse écrite sur le sujet…)
Merci !!
J’avais en effet cherché sur le site et trouvé cette réponse que vous aviez donné. Désolée de vous faire vous répéter… :-S
Pas de souci, on ne la redonnera jamais assez, et puis c’est tellement angoissant tout ça que si je peux permettre à d’autres de limiter les dégâts… 🙂
Merci pour cet article. Pour ma part, ça fait bientôt 3 mois et je suis bien heureuse de cette décision. C’est grâce à toi et ton blog. Merci.
Très contente de l’entendre 🙂
C’est en partie grâce à tes articles que j’ai arrêté la pilule. Mais je n’ai pas fait de sevrage progressif, sinon je savais que ma gynéco me pousserait à continuer. Alors en septembre, j’ai arrêté. Brutalement. Et je l’ai mise sur le fait accompli.
Depuis, plus de règles… Mon corps doit doucement se remettre en marche. Mais je sens cette libération, ne serait-ce que mentale : mon téléphone a arrêté de sonner tous les soirs à 21h15…
Salut Adeline, bon ben super si tu te sens déjà mieux. En revanche, tu sais, ta gynéco n’en aurait rien sur si tu t’étais sevrée progressivement ^^
C’est fou, parfois on dirait que vous parlez de vos gynécos comme d’une relation enfant/parent autoritaire, ça craint un peu non ?
Salut,
Effectivement, je sens comme toi les réticences des femme à propos de leur gynécos, comme si celle-ci allaient se faire engueuler de prendre leur propres décisions en ce qui concernent leur corps… 🙂
Et je les comprend, j’ai les même appréhensions qu’elles, je redoute de tomber sur un ou une gynéco pas très sympa. J’en ai pas eu des particulièrement engageantes jusque là (sans être ressortie traumatisée non plus).
Aujourd’hui, je veux passer au DUI cuivre après des années de pillule DayliGé, mais j’ai mis quelques temps à aller poser mes questions à un nouveau gynéco…et je ne vais pas n’importe où, je vais au planning famillial du coin.
C’est une amie qui me l’a conseillée, car elle à très bien été reçue, contrairement à 2-3 gynécos de la région qui lui ont ressorti les discours culpabilisants, apparemment habituels : t’as pas eu d’enfants, c’est un mini-avortement, je réponds pas à tes questions…
Donc quitte à perdre de l’énergie et du temps, que ça soit pour un rendez-vous dont on ressort satisfaite et comprise ! 🙂
Je te remercie d’ailleurs pour tes articles sur les sensations post-pillule, les mise à jour au fil des mois. C’est ça qui m’a décidé à sauter le pas aujourd’hui pour prendre rendez-vous. Je redoute la sensibilité exacerbée et les douleurs mais bon, si on retrouve sa libido et de la joie de vivre…hahaha <3
Merci et bonne continuation,
Maeh
Oui j’espère vraiment que les professionnels vont évoluer en ce sens, de toute façon si nous ne leur laissons pas le choix ils le devront ^^
Pour les article, oui, je préfère faire des “edit” plutôt que de faire un nouvel article à chaque fois. Comme ça vous avez un constat précis. D’ailleurs, en ce moment même, si j’avais réussi à ne pas me toucher du tout le visage je n’aurais qu’à peine quelques toutes petites imperfections mais j’ai pris des sales habitudes donc avant d’annoncer que “c’est totalement réglé côté peau” je vous fais part de ma croisade ^^ (mais là vraiment d’ici février je suis certaine que je n’aurai plus aucun bouton 🙂
N’hésite pas à revenir témoigner après quelques mois d’arrêt (quatre à six mois c’est mieux comme ça c’est là que tu sais si tu subis des effets ou pas côté peau) et puis au plaisir !
Ton article tombe à pic… J’ai arrêté la pilule vendredi, et définitivement je l’espère! Je ne compte pas faire de sevrage, car trop contraignant pour moi, mais j’ai vraiment peur que mes hormones s’affolent et que je me couvre de boutons… C’est ce qui me fait le plus peur d’ailleurs, j’ai déjà expérimenté les microkystes sur le visage et le dos en changeant de pilule, et ça m’avait limite mise en dépression alors là je n’imagine pas…
Enfin je vais croiser les doigts, au final tu ne regrettes pas et c’est vraiment ça qui importe, se libérer des hormones qui régissent notre vie! Comme toi j’espère mettre un stérilet après, mais ma gynéco m’a dit d’attendre 3 mois d’arrêt de pilule pour voir comment ça se passe et après on prendra une décision!
En tout cas merci beaucoup pour ton article, même si ça me fait un peu peur, ça me soulage dans un sens de voir que tu te sens bien mieux!
Coucou,
C’est bizarre que ton gynéco ne veuille pas te poser le stérilet immédiatement, il n’a aucune raison d’attendre. En a-t-il invoqué une et si oui laquelle … ?
Sinon, je ne comprends pas pourquoi tu prends le risque d’arrêter brutalement, ça ne prend pas “du temps” de couper un cachet en 10 secondes le soir, à mon avis tu devrais essayer de te prémunir un maximum des risques de yo-yo hormonaux surtout si tu sais y être sensible…
Perso ma gynéco voulait aussi attendre dans un premier temps: d’abord pour que mon cycle se régule un peu et pour que je retrouve des “sensations sans pilule” et ensuite parce qu’elle voulait que je fasse un examen biologique complet et que, le cas échéant, nous ayons le temps de suivre un traitement, afin de s’assurer que le sterilet arrivait dans un environnement parfaitement sain et accueillant… 🙂
Enfin, il fallait de toute manière attendre car elle voulait me le poser au 2ème ou 3ème jour des règles: pas avant car le saignement souvent engendré par la pause étant “masqué “par les règles, cela passe plus inaperçu et est donc moins “traumatisant” (moins flippant quoi) et pas après, car le col risquait d’être trop serré (je suis nullipare).
Bref, tout ça pour dire qu’il peu en effet y avoir des raisons pour attendre, qui me semblent cohérentes… En ce qui me concerne finalement tout allait bien donc j’ai simplement attendu un mois après la pilule, le temps de retrouver mon premier cycle… 😉
D’accord je comprends mieux 🙂