Vous avez des douleurs chroniques (maux de tête, problèmes de peau, sinusites à répétition) ou une maladie plus grave et votre corps n’arrive plus à reprendre le dessus quoi que vous fassiez.
Mais avez-vous pensé que ce corps, avant de se soigner, doit d’abord nourrir vos muscles, perdre de l’énergie à digérer, lutter contre la pollution, le froid, etc. ? Le tout avec souvent des heures de sommeil en moins et une alimentation bancale. Voici donc un principe tout simple à prendre en compte qui peut vous aider à comprendre où commence la guérison…
Ce principe est celui de la priorité des fonctions, théorisé par mon ami ostéopathe et blogueur santé Wladislas Barath.
Il a récemment publié un article que je vous invite à lire : La priorité des fonctions : une donnée CAPITALE qui explique bon nombre d’échecs en thérapie expliquant en détail en quoi consiste cette idée.
En gros voici quatre paramètres à repenser totalement si vous faites partie des malades ou épuisés chroniques :
- remédier en priorité au manque de sommeil, unes des conditions sine qua none à la guérison
- votre corps peut abriter sans que vous le sachiez des foyers infectieux qui l’agressent en permanence (dent ou amygdale infectée, etc.) qui empêchent une pleine santé mais ne se remarquent pas forcément par des signaux évidents
- pour commencer à guérir mieux vaut éviter de trop manger parce que c’est autant d’énergie que votre corps ne passe pas dans les processus de guérison
- enfin soyez un peu dans le lâcher-prise face à vos maux, votre corps sait comment les gérer si vous n’interférez pas sans arrêt
Allez lire l’article pour mieux comprendre tout cela en détail car, posés comme ça, ces quatre points paraissent évidents, et pourtant Dieu sait que nous les négligeons bien souvent!
Pour résumer, Wladislas a cette phrase très sensée :
“La réparation n’arrive qu’en quatrième place. Ceci veut dire que pour guérir, il ne faut être ni fatigué, ni épuisé et ni en phase de digestion.”
Je vous invite donc à aller lire tous les détails dans l’article rédigé par Wladislas qui, fort de ses années de pratique de l’ostéopathie et de son envie d’aller plus loin produit régulièrement des articles de santé au naturel riches d’enseignements !
C’est lui qui m’avait donné l’envie de me sevrer du sucre blanc raffiné et je l’ai d’ailleurs classé parmi mes blogs chouchous si vous souhaitez en apprendre plus sur qui il est 🙂
« Toutes ces maladies qui ne sont en fait que des guérisons » (proverbe persan).
La maladie est une chose décidée par le corps pour sa survie, suite à un choc ou une blessure. Alors effectivement le laisser faire et lui donner les bonnes conditions pour le faire me semble très sage.
Encore faut-il se préserver de deux illusions je crois :
– penser que le problème vient de l’extérieur,
– croire que la solution viendra de l’extérieur.
Le « problème » est ce que tu appelles la cause, la vraie cause première des symptômes, la cause derrière la cause, la cause racine, pas toujours la plus évidente. Elle porte toujours son remède avec elle. Trouver l’un c’est trouver l’autre.
Sinon, on peut continuer bêtement à soigner les symptômes….
Oui et c’est un long et douloureux chemin que certains je crois n’ont pas envie d’entamer préférant laisser ce son à d’autres et ne comprenant pas que là se trouverait la solution…
Bonjour,
Merci pour ces informations que je partage à 100%, mais surtout pour la découverte du blog passionnant de W Barath. Je viens déjà d’y passer un bon moment à lire des articles enrichissants, et sais que dès que j’aurais à nouveau un peu de temps, je vais poursuivre.
Il a là une façon simple et instructive d’expliquer des choses que nous devrions tous prendre en considération pour mieux nous connaitre et prendre soin de nous.
belle journée, Corinne
Oui Wladislas est un professionnel de santé très attentif, ouvert et pédagogue, il a vraiment à cœur d’aider profondément ses patients et c’est ce qui le rend bon.
Heureuse de vous l’avoir fait découvrir !
Merci pour cet article, je ne connaissais pas ce monsieur. Je suis adepte du naturel alors quand je suis malade je ne suis pas du style à sauter sur les médocs (qui souvent guérissent d’un côté mais détraquent de l’autre). J’essaie au maximum de laisser faire la nature, en l’aidant un peu avec des astuces douces.
Salut Elodie,
Oui, je crois aussi que la santé passe principalement par la prévention c’est à dire hygiène de vie, activité physique + alimentation et par le fait… d’être heureux dans sa tête, d’être et d’agir en accord avec ce que l’on trouve important. Ensuite si lors d’un coup de fatigue on tombe malade (grippe, angine, gastro) il n’y a pas grand chose d’autre à faire qu’attendre si la vie n’est pas menacée. La médecine douce marche extrêmement bien et évite de polluer l’environnement et son corps, la chimie est selon moi utile en dernier recours (et encore peut-être tout simplement parce que l’on a perdu certaines utilisations des plantes qui pourraient agir aussi fortement si on savait les utiliser), enfin comme cela concerne nos corps chacun fait ce qu’il veut, là est l’essentiel 🙂 mais médecine douce et plus traditionnelle auraient tout à gagner à s’allier !