Le penseur est-il aussi mal chaussé que le cordonnier ?
Du paradoxe du penseur ou comment il n’y a parfois rien de pire que de trop poursuivre un but pour le louper… Quoi de mieux dans la vie que la vie en elle-même, ses rencontres, ses affres pour nous faire réfléchir ? Est-ce que tout n’est pas là sans avoir besoin d’aller chercher encore et toujours plus loin jusqu’à ne perdre parfois le sens ? Et puis, d’abord, pourquoi cherche-t-il autant de sens ce penseur : parce qu’il est totalement perdu ?