Dans la vie il y a ceux qui voient toujours le pire et les autres… les fameux “Bisounours”. Ceux qui voient toujours le bon, qui croient les autres bons. Pour autant ceux que l’on qualifie assez facilement de “Bisounours” ne sont ni de grands niais, ni des charmants imbéciles.
Les Quatre Accords Toltèques : le livre plus rebelle qu’il n’en a l’air
Accueil/Culture/Lectures/HumeursVous voyez ce genre de personnes habillées comme Monsieur ou Madame Tout-le-monde et qui cachent en eux de véritables punks ? Leur équivalent existe en livre. Un livre tout sage qui n’a l’air de rien comme ça. Un livre récemment revenu à la mode qui défonce juste en cinquante-cinq pages tout ce en quoi vous croyez, tout ce qui fonde votre vie, vos actes quotidiens…
Après certaines discussions avec des hommes je ressentais un malaise impalpable… En m’intéressant aux études qui analysent le sujet j’ai mieux compris pourquoi : dans une conversation mixte, non seulement les hommes parlent plus que les femmes, mais ils se permettent aussi de leur couper la parole et le rôle de la femme est alors parfois proche de celui d’un enfant…
Entre le harem et la femme objet, il y avait hier soir une touche d’espoir
Accueil/Humeurs/Société/FéminismeHier soir étaient diffusées trois belles fictions aux héroïnes féminines : Après moi le bonheur avec Alexandra Lamy sur TF1, La loi, le combat d’une femme pour toutes les femmes avec Emmanuelle Devos et Winter’s Bone sur Arte. Trois histoires extrêmement fortes, intéressantes et émouvantes qui m’ont soufflées une question : pourquoi la plupart des films ne traitent-ils jamais, ou si peu, ou si mal, des vies des femmes, des histoires de femmes, de leurs destins, leurs combats ?
Nous avons vraiment une très mauvaise manie avec nos proches, nos collègues, dans la vie en général… Vous ne voyez pas laquelle ?
Sommes nous encore capable d’apprécier un visage féminin sans maquillage ?
Accueil/Humeurs/La Beauté/La Beauté, autrement/Société/FéminismeÇa m’a sauté aux yeux en regardant la série de survivalisme Walking Dead. Même là, alors que les femmes sont censées ne pas avoir accès au maquillage, la production choisit d’accentuer leur regard d’un trait de crayon et d’un peu de mascara. Alors je pose la question : est-on encore capable de trouver belle une femme qui ne porte pas une once de maquillage ?
Si du jour au lendemain nous n’avons plus d’emplois, de monnaie, de système de santé… Que tout notre monde moderne s’effondre… Que ferons-nous ? Avez-vous déjà prévu ce genre d’éventualité ?
Les Français sont-ils de bon moutons dociles ? Jamais ne bougeront-ils pour faire cesser les abus sociaux, politiques? Pourtant je sens monter quelque chose en ce moment, comme une vent de révolte qui, je l’espère, va passer de la parole aux actes.