Femmes regardées dans la rue comme des bouts de viande, couples brisés, attention professionnelle phagocytée par “l’obsession de la branlette” : à y regarder de plus près le porno n’est pas si anodin qu’on voudrait nous le faire croire et génère peut-être plus de souffrances que de plaisirs. Une voix s’élève pour dénoncer les graves conséquences que peut entraîner une dépendance au porno, dépendance dont on sous-estime certainement le nombre de personnes touchées directement et… indirectement.